

Si Pierre Assouline, Juif de confession et de coeur, ne trouvait pas en 1986 motif à s’indigner de l’aveuglement de Jean Jardin, on comprend qu’en 1942 les gens très bien s’y soient vautrés sans état d’âme…
Alexandre Jardin (2010). Des gens très bien. Paris: Grasset, p. 260
Erreur sur l’auteur de cette phrase. Il s’agit d’Alexandre, le petit-fils de Jean et non de Pasacal Jardin, le fils qui, lui, aveuglé par son amour pour son père fut incapable de lucidité. (Pascal Jardin auteur de quatre livres à la gloire de son père; Alexandre Jardin, auteur de « Des gens très bien, » est le premier à regarder les faits en face.)
Effectivement, c’est corrigé. Merci.