
Olivier Tesquet revient sur les clichés répandus dans les médias à la suite du tsunami et du risque nucléaire majeur qui s’en est suivi à Fukushima. Pour lui,
ce n’est pas un quelconque esprit de corps qui est inscrit au patrimoine génétique des Japonais, c’est la culture du risque qui est inhérente à la géographie du pays. Ou alors, est-ce une culture de la catastrophe
dont Slate , nous indique Tesquet, établit le distinguo
La culture de la catastrophe, ou culture du danger, a un côté fataliste au sens où elle suppose que les catastrophes se produiront de toute façon et qu’il faut les accepter, alors que la culture du risque est à l’opposé même de l’acceptation.
via Pour en finir avec la discipline japonaise » Article » OWNI, Digital Journalism.
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