
18 mars 1962.
Au bord du lac Léman, à l’hôtel du Parc dans la ville d’Evian, Louis Joxe, Robert Buron et Jean de Broglie, les négociateurs désignés par le général de Gaulle, et le vice-président du GPRA (Gouvernement provisoire de la république algérienne), Krim Belkacem, signent les accords d’Evian qui mettent fin à ce qu’on appelle encore à l’époque les événements d’Algérie. Le 3 juillet, le général de Gaulle proclame l’indépendance. C’est la liesse dans les villes et villages d’Algérie, les postes de radios crépitent, les youyous résonnent, les drapeaux sont de sortie et les slogans à la gloire de la nation fusent. C’est enfin « la paix ».
Source : 50 ans après la fin de la guerre d’Algérie, que reste-t-il ? | Le Nouvel Observateur
A débattre : Guerre d’Algérie : doit-on expliquer aux élèves la violence coloniale ? | Le Nouvel Observateur
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