Un Suisse en lice pour le Prix Goncourt pour la première fois depuis Jacques Chessex en 1973.
Vous serez manipulé, dérouté, sidéré, agacé, passionné par une histoire aux multiples rebondissements, fausses pistes et coups de théâtre. Et vous vous direz qu’il n’y a qu’un Américain capable d’écrire un thriller aussi américain – lieux : New York, New Hampshire, Alabama –, aussi efficace, aussi aventureux, aussi fou. Peut-être même chercherez-vous le nom du traducteur de La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert, de Joël Dicker. C’est alors que vous découvrirez que Joël Dicker est un Suisse de 27 ans qui écrit en français et qui a obtenu le prix des écrivains genevois pour son premier roman, Les Derniers Jours de nos pères.
Lire la chronique complète de Bernard Pivot : La vérité sur l’affaire Joël Dicker (chronique de Bernard Pivot) – Chroniques – leJDD.fr.
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