
Les jeunes, que l’on dit amnésiques et déficitaires sur le plan de la culture historique, ne sont pas sans posséder une certaine vision de l’histoire du Québec. Quelle est cette vision ? Est-elle différente selon que l’on est francophone, anglophone ou allophone ? Évolue-t-elle après que les jeunes aient suivi le cours d’histoire nationale ? Quelle est l’importance effective de ce cours dans la structuration d’une mémoire historique collective chez les jeunes Québécois ? Voilà autant de questions abordées dans cet article, premier résultat d’un grande recherche en cours, dans la Revue d’histoire de l’Amérique française.
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