Dans le dernier Donna Leon le commissaire Guido Brunetti… brille par son absence, mais Venise est toujours plus que présente.
Derrière ce scénario pas banal se trouve la grande Cecilia Bartoli, qui a proposé à Donna Leon de « remettre à l’honneur un génie de la musique baroque » méconnu qu’est Steffani. Les deux femmes ont travaillé conjointement animées d’une admiration mutuelle : le roman de « l’Américaine de Venise » et le disque Mission publié chez Decca – dans lequel Bartoli chante des airs de Steffani – sont sortis en même temps un peu partout à travers le monde.

Donna Leon, Les joyaux du paradis, Calman-Lévy, 2012

Polars : Une perle aux éclats baroques | Le Devoir