
Pourquoi la révolution tunisienne de 2011 a-t-elle été perçue en France comme une réédition de 1789 ? Pourquoi les révolutionnaires tunisiens se sont-ils reconnus dans un « printemps arabe », hommage aux révolutions de 1848 ? L’historien Guillaume Mazeau enquête sur ces constructions en miroir et sur nos rapports aux temporalités révolutionnaires.
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