
Pour moi, c’est le souvenir qui resurgit lorsque j’essaie d’appréhender l’ironie du sort ou que je tente de convaincre mes étudiants de la nécessité d’aller jusqu’au bout.
Cela concerne Roland Barthes, le grand critique littéraire auprès duquel j’étais allé étudier à Paris en 1974. Quinze étudiants seulement étaient admis à son séminaire hebdomadaire qui se tenait dans un immeuble du XVIIe siècle de la rue de Tournon, qui descend depuis le jardin du Luxembourg. J’étais le seul Américain dans un groupe essentiellement composé de Français. Il y avait aussi une Italienne, une Québécoise et un jeune diplômé venu de Mexico. Nous étions tous là pour profiter de l’enseignement d’un génie. Et ce fut le cas.
Lire la suite (et jusqu’au bout…) : La «deadline» franchie par Roland Barthes un 25 février… – Libération
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