
J’ai beau avoir de la peine à suivre les aléas de la carrière de Françis Lalanne
J’ai beau avoir en son temps espéré un compagnon de voyage au fil de ma vie
J’ai beau avoir été déçu après trois albums parce qu’il n’en serait pas ainsi
A chaque fois que sur la platine débute La Maison du bonheur
A chaque fois que j’entre dans ce jardin
A chaque fois que l’odeur du citron mur parvient jusqu’à mes narines
Alors j’oublie le monde extérieur
Alors je me blottis devant une cheminée imaginaire
Alors j’oublie tout et Lalanne redevient ce grand frère espéré
Ce serait la maison du bonheur
Même à fort loyer, j’suis preneur
Il n’y aurait que toi contre moi
Et l’amour contre notre Amour
Il ne reste plus que cette voix
Cette manière de susurrer les mots
Et cette chaleur, et ce coeur, et cet amour…
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