

Une pitchenette sur le bouton qui permet de naviguer dans les menus du tableau de bord et de changer les réglages de la moto, histoire de désactiver momentanément le contrôle de traction… et on lève la roue avant dès qu’on ouvre les gaz en grand en première. Essayez donc de faire ça sur la version précédente de la Triumph Thruxton! La nouvelle bénéficie du nouveau moteur refroidi par liquide de 1200 centimètres cubes, qui permet mine de rien d’atteindre la bagatelle de 97 chevaux et surtout avec 112 Nm de couple maximal (la force mesurant la capacité à accélérer), atteint assez bas dans les tours – moins de 5000 par minute.
Comme elle a aussi droit à une montée en grade de son châssis, de ses freins et de sa partie cycle, c’est une bécane transformée pour 2016 qui s’offre à nous sur les routes portugaises près de la petite ville de Cascais, où a lieu la présentation presse de la dernière née parmi les Thruxton ainsi que de sa cousine Bonneville T 120.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cet upgrade conséquent suscite chez la totalité des journalistes présents sur cet essai un sourire sans aucune équivoque. Le Café Racer Triumph à la sauce moderne est une usine à bonnes sensations, que ce soit au niveau de sa réactivité à la commande d’accélération, que ce soit pour la finesse de ses freins et de ses suspensions, la dotation de série en aides électronique au pilotage, le son du moteur ou la richesse esthétique des détails de cette nouvelle icône motocycliste. Si c’est un Café, il est corsé!
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