

Photo: Marie-France Coallier Le Devoir Florence Sara G. Ferraris (sur la photo) a parcouru Montréal avec la photographe Ariel Tarr afin de documenter le rôle des aménagements urbains des ruelles dans le quotidien de personnes qui se les sont appropriées.
Les ruelles de Montréal sont devenues, au fil des années, des lieux de rencontre verdis occupant un rôle important dans la vie sociale de nombreuses personnes, constate Florence Sara G. Ferraris, autrice d’un livre complet sur le sujet. Pour plusieurs, une question s’impose toutefois : l’embellissement de nos ruelles contribue-t-il à la gentrification de certains quartiers de la métropole, où les moins nantis se sentent pris comme dans un étau par une hausse des loyers et des valeurs foncières ?
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