Un dossier ludique de France Télévisions pour expliquer aux plus jeunes les principales étapes de la Révolution française à travers une frise chronologique, les portraits des principaux personnages et les grands thèmes de la Révolution.
Revue de presse : Quelle place pour le numérique à l’école primaire ?
Dès sa sortie, j’indiquais que l’iPad était probalbement «premier cartable numérique véritablement crédible pour le monde de l’éducation» (iPad le chaînon manquant? ). Dans cet article, cet extrait explique bien le pourquoi :
«Les tablettes fascinent aussi bien les élèves que les enseignants. Toutefois de nombreuses imperfections bien connues apparaissent : une tablette ne fait pas un usage. Les logiciels d’entraînement systématique (exerciseurs) ne font pas l’apprentissage, surtout des objets complexes. A l’inverse la tablette répond merveilleusement bien à des éléments de contexte incontournable dans la gestion de la classe : ça prend peu de place, ça démarre sans attendre, ça se manipule de manière intuitive avec le doigt (les doigts), ça donne accès directement au travail à faire sans attendre les minutes réglementaires imposées par certains systèmes d’ordinateurs, même portable. Le numérique à portée de la main, voilà un rêve d’enseignant pour ne plus faire de l’informatique l’intrus, le tiers dérangeant d’une pédagogie.»
Revue de presse : Quelle place pour le numérique à l’école primaire ?
Dès sa sortie, j’indiquais que l’iPad était probalbement «premier cartable numérique véritablement crédible pour le monde de l’éducation» (iPad le chaînon manquant?). Dans cet article, cet extrait explique bien le pourquoi :
«Les tablettes fascinent aussi bien les élèves que les enseignants. Toutefois de nombreuses imperfections bien connues apparaissent : une tablette ne fait pas un usage. Les logiciels d’entraînement systématique (exerciseurs) ne font pas l’apprentissage, surtout des objets complexes. A l’inverse la tablette répond merveilleusement bien à des éléments de contexte incontournable dans la gestion de la classe : ça prend peu de place, ça démarre sans attendre, ça se manipule de manière intuitive avec le doigt (les doigts), ça donne accès directement au travail à faire sans attendre les minutes réglementaires imposées par certains systèmes d’ordinateurs, même portable. Le numérique à portée de la main, voilà un rêve d’enseignant pour ne plus faire de l’informatique l’intrus, le tiers dérangeant d’une pédagogie.»
Revue de presse : Place Taksim, lire c’est résister
«Après un mois de manifestations réprimées avec la violence policière que l’on sait (plusieurs morts, des milliers de blessés), et la place nette faite à coups de lance à eau et de gaz lacrymogène dans le parc Gezi attenant à la place Taksim désormais aussi célèbre que la place Tahrir, un homme seul a poursuivi la lutte à sa manière. En s’y tenant debout immobile pendant des heures. Devenu l’icône du mouvement par la force d’une seule photo, un peu comme le fut à « son corps défendant » le jeune chinois stoppant par sa seule présence une colonne de chars sur la place Tian-An-Men, le chorégraphe du nom de Erdem Gunduz a fait des émules dans toute la Turquie. D’autres « hommes à l’arrêt » ont pris le relais de sa présence muette et non-violente. Mais à Istanbul, le mouvement a pris ces derniers jours un autre visage avec l’apparition d’hommes et de femmes, certes debout et immobiles, mais ostensiblement plongés dans la lecture d’un livre. Jusqu’à inspirer un « Taksim Square Book Club », comment en témoigne le blog du photographe anglais George Henton.»
Revue de presse : Histoire et géographie : libérons les élèves du programme | Journal d’un prof d’histoire | Rue89 Les blogs
«Davantage peut-être que les sujets d’examen en eux-mêmes, c’est la lourdeur des programmes qui focalise le mécontentement, renforcé par le refus obstiné de l’Education nationale de prendre en considération ce que les enseignants sont quasi unanimes – chose rare – à lui signifier : en classe d’examen, est-il vraiment pertinent que la préoccupation majeure des enseignants consiste à boucler le programme, au détriment de toute autre considération ?»
Revue Presse : MOOCs… toujours
Les MOOCs n’arrêtent pas de faire parler d’eux sur la toîle. Voici deux nouveaux et intéressants articles à leur sujet. Le premier est consacré au coût d’un MOOC académique. Il intéressera les organismes qui pensent que les MOOCs peuvent leur permettre de faire des économies. Le second s’appuie sur le test d’un cours MOOC et sa capacité à changer ou non l’enseignement, plus particulièrement magistral.
Très chers MOOCs… | Thot Cursus
15, 50, 100 000 dollars ? Combien coûte un MOOC académique, exactement ? « Exactement » est peut-être un bien grand mot. Mais peut-on avoir une idée du prix des cours en ligne offerts gratuitement à des dizaines de milliers d’étudiants par les universités ?
Après un premier temps d’enthousiasme et de discours messianiques affirmant que la terre promise de l’accès universel et gratuit à l’enseignement supérieur était à portée de main, les universités commencent à faire leurs comptes, et les plus connues des plateformes de MOOC aussi.
viaTrès chers MOOCs… | Thot Cursus.
Faut-il avoir peur des grands méchants MOOCs ? | Cracking the management code
Les MOOCs font couler beaucoup d’encre. Entre ceux qui les analysent comme un énième artefact des cours à distance initiés depuis 1728 (d’après distancelearning.com) et ceux qui y voient LA nouvelle donne pédagogique, la modération n’est pas de mise.
Iabelle Barth a choisi de se livrer à une analyse marketing du sujet éclairée par des recherches récentes. Afin de, peut-être, pouvoir répondre à la question : faut-il avoir peur des grands méchants MOOCs?
via Faut-il avoir peur des grands méchants MOOCs ? | Cracking the management code.
Revue de presse : Bibliographie – sitographie – Les Cahiers pédagogiques
Bibliographie consacrée à la Bande dessinnée, avec un chapitre spécifique en relation avec l’histoire et la géographie.
Fête de la musique (22.06.2013) | La Tour-de-Peilz
Ce Samedi 22 juin, la scène installée au Verger de la Ville a accueilli une belle sélection de musiciens régionaux. La quantité et la qualité ainsi que des spectateurs heureux et nombreux ont été au rendez-vous dans ce cadre enchanteur. Le soleil aussi était de la partie.

Les photos :
Les groupes présents sur les photos :
Sarah Lancman
Lauréate du prix Shure Jazz Vocal du festival de Montreux en 2012, Sarah Lancman enregistre actuellement son premier album. Française, elle connaît bien la région pour y avoir habité et suivi les cours de la Haute école de musique de Lausanne. Une voix, un piano et c’est l’embarquement immédiat pour un monde jazzy, tout en douceur… mais pas seulement. Entourée de ses Klezmorims, elle nous offre un jazz aux accents d’Europe centrale.
www.sarahlancman.com et www.noomiz.com/sarahlancman
DFX
DFX est né de la volonté de ses membres de secouer le jazz avec le fracas d’un groove bien senti, ceci depuis bientôt une année. Parti sur de bon rails, il assure des prestations enflammées dans la région lémanique.
Aydane Street
Ils sont 7 et nous viennent de Genève. Formé en 2012, Aydane Street s’inspire du groove r’n’b d’artistes tels que Maroon 5, Justin Timberlake ou Mary J. Blige. Constitué de musiciens talentueux et pour certains professionnels, Aydane Street aspire à vous faire danser et groover.
Revue de presse : Refonder l’école ou la flipper ? | Ludovia Magazine
Bien que pratiquée depuis longtemps par des pionniers, le concept, ou en tout cas l’appellation de Flipped Classrooms, est apparu vers 2007 quand deux enseignants en chimie dans l’équivalent de notre niveau secondaire, Jonathan Bergman et Aaron Sams, ont découvert le potentiel de vidéos (PowerPoint commentés, Screencast, Podcast …) pour motiver leurs élèves à préparer (à domicile ou plutôt hors classe) les leçons qui seront données en classe afin de rendre ces dernières plus interactives.
L’air de rien, cette méthode serait à la fois une petite révolution par rapport à l’enseignement dit traditionnel (le magistral, l’enseignement ex cathedra) et une piste d’évolution acceptable et progressive pour les enseignants qui souhaitent se diriger, sans négliger la transmission des savoirs, vers une formation davantage centrée sur l’apprenant, ses connaissances et ses compétences.
Marcel Lebrun, enseignant à l’Université catholique de Louvain à Louvain-la-neuve, nous présente la méthode de la classe inversée (ou flipped classroom).
Revue de presse : Refonder l’école ou la flipper ? | Ludovia Magazine
Bien que pratiquée depuis longtemps par des pionniers, le concept, ou en tout cas l’appellation de Flipped Classrooms, est apparu vers 2007 quand deux enseignants en chimie dans l’équivalent de notre niveau secondaire, Jonathan Bergman et Aaron Sams, ont découvert le potentiel de vidéos (PowerPoint commentés, Screencast, Podcast …) pour motiver leurs élèves à préparer (à domicile ou plutôt hors classe) les leçons qui seront données en classe afin de rendre ces dernières plus interactives.
L’air de rien, cette méthode serait à la fois une petite révolution par rapport à l’enseignement dit traditionnel (le magistral, l’enseignement ex cathedra) et une piste d’évolution acceptable et progressive pour les enseignants qui souhaitent se diriger, sans négliger la transmission des savoirs, vers une formation davantage centrée sur l’apprenant, ses connaissances et ses compétences.
Marcel Lebrun, enseignant à l’Université catholique de Louvain à Louvain-la-neuve, nous présente la méthode de la classe inversée (ou flipped classroom).



