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L’exposition au Victoria and Albert Museum de Londres révèle la personnalité de l’artiste mexicaine Frida Kahlo. REUTERS/Toby Melville
Pour la première fois en dehors de Mexico, de nombreux biens personnels de Frida Kahlo sont exposés, en ce moment, à Londres. Mis en scène avec certaines de ses œuvres les plus marquantes, ils révèlent la personnalité complexe de l’artiste mexicaine, dont l’héritage est plus que jamais d’actualité.
Derrière le mythe Kahlo, insiste The Guardian, doit aujourd’hui être considérée une artiste “hors normes” dont l’œuvre n’a pas toujours été prise au sérieux. On l’a ainsi longtemps arbitrairement rangée dans la catégorie des artistes surréalistes en Europe, ou encore étiquetée comme “une Mexicaine authentique”. On l’a aussi soupçonnée d’être “inconsciente de son propre talent, de ne pas maîtriser son art”. Pour le quotidien, c’est plutôt le contraire.
— À lire sur www.courrierinternational.com/article/art-frida-kahlo-lexposition-qui-revele-lartiste-derriere-le-mythe
Une manière très fraîche d’entrer dans l’été avec Angèle !
Extrait du 1er album d’Angèle, sortie le 5 octobre 2018 Écouter / Télécharger le titre : https://lnk.to/LaThuneDigitalYD Angèle en concert : https://lnk.to/AngeleConcertsYD

TIME’s new cover: A reckoning after Trump’s border separation policy: What kind of country are we? https://t.co/U4Uf8bffoR pic.twitter.com/sBCMdHuPGc
— TIME (@TIME) 21 juin 2018
Sur l’histoire de la photo (et de la couverture) : Du document dans le symbole (ou pourquoi la photo est devenue la reine des images). La conclusion d’André Gunthert :
De nombreuses photographies d’actualité sont utilisées à des fins allégoriques, dont la référentialité documentaire est sujette à caution. Mais toutes les illustrations ne jouent pas un rôle de symbole dans une polémique de premier plan. Dans le cas du petit Aylan, le camp hostile à l’accueil des migrants n’avait pas manqué de contester la véracité des images. Leur pertinence n’avait été établie qu’après la vérification minutieuse des conditions de prise de vue, de l’identité des acteurs ou de leur histoire familiale.
Même minime, l’écart entre l’information et le récit ruine la représentativité d’une icône. Ce constat implique une leçon essentielle: la crédibilité documentaire de la photographie continue d’agir même dans le cas d’un usage symbolique. Loin d’opposer document et fiction, l’image d’enregistrement œuvre à la composition de ces deux dimensions antagonistes. La puissance de cette ressource narrative est la clé qui explique pourquoi la photo est devenue la reine des images.

Russie – Chine ou Chine – Russie : le nouvel ordre (économique) mondial ? C’est la question que l’on peut se poser après le fiasco du dernier G7…

Source : Vladimir Poutine et Xi Jinping jouent l’unité face au « babillage » du G7 – rts.ch – Monde
Cette photo de Valdimir Poutine et Xi Jinping contraste largement avec celle qui restera probablement la photo du sommet du G7 à Charlevoix.

« Il y a eu des centaines, sinon des milliers, de photos prises au sommet du Groupe des Sept à Québec ce week-end, un rassemblement de deux jours de dirigeants d’États membres pour discuter de tout, des changements climatiques à la politique commerciale internationale.
Mais l’une d’entre elle en particulier s’est distinguée après sa publication samedi et a ricoché autour d’Internet pour sa composition surréaliste.
Sur la photo, la chancelière allemande Angela Merkel se tient derrière une longue et étroite table, les deux mains pressées fermement dans sa surface au sommet de certains documents qui sont inclinés dans tous les sens. Avec une expression aussi neutre que possible, elle regarde directement le président Trump, qui est assis de l’autre côté de la ligne de partage. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)
Source : The G-7 summit, summed up in one photo | Washington Post
Sur l’interprétation de l’attitude de Donald Trump, l’avis de Damian Paletta et Anne Gearan, toujours du Washington Post :
« Il n’a pas reculé, ni émoussé ses critiques, et malgré les références aux prénoms « Angela » et « Justin », Trump a peu fait pour masquer sa méfiance à l’égard du modèle international de consensus sur les affaires mondiales que représente le G-7.
… Trump s’était plaint aux assistants avant la réunion qu’il ne voulait pas assister aux conférences des autres leaders, et il a réfléchi à l’idée d’envoyer le vice-président Pence à sa place.
Il est arrivé à la réunion en retard et est parti tôt, tenant une conférence de presse en solo le samedi matin où il a donné l’ultimatum commercial et a dit que la taille de l’économie américaine signifie que les autres nations ne peuvent pas gagner une guerre commerciale. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)
Plus largement que la posture photographique de Donald Trump, l’analyse sur le fiasco de la conférence par Jennifer Rubin, chroniqueuse du Washington Post apportant une perspective de centre-droite (titre de son blog : Right Turn) :
« Après le comportement atroce et irrationnel du président Trump qui a conduit au sommet du Groupe des Sept, la désintégration de l’ordre mondial libéral en place depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et la possibilité d’une grave crise internationale ne semblent plus difficiles à imaginer. Le président, insensible à l’histoire, ignorant des faits et guidé par des flagorneurs, n’a pas été forcé de s’attaquer au monde réel ni d’entendre des points de vue qui ne coïncident pas avec sa vision du monde tordue, dans laquelle les alliés nous arnaquent et les hommes forts agressifs doivent être admirés et accommodés. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)
Source : After Trump’s G-7 summit fiasco, be afraid | Washington Post
Pour Jennifer Rubin,
« Trump a démontré une fois de plus qu’il est erratique et indigne de confiance – avec ses propres alliés ! Le contraste entre sa relation antagoniste avec les alliés démocratiques et le fait qu’il n’a jamais dit un seul mauvais mot à propos de la Russie défie toute explication, à moins que l’on accepte la théorie selon laquelle il est endetté d’une manière ou d’une autre envers le président russe Vladimir Poutine, dont la campagne pour interférer dans les élections américaines a aidé à faire atterrir Trump à la Maison-Blanche. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)
De toutes les façons possibles, il n’y a pas de raison de se réjouir pour l’Europe et le Japon. Et la photo de ce sommet symbolisera peut-être la fin peut-être de l’ordre mondial établit après deux guerres mondiales.
