histoire
« Créer, c’est résister. Résister, c’est créer. »
Programme de la résistance
envoyé par marxattaque
« Créer, c’est résister. Résister, c’est créer. »
Le nouvel appel du Conseil National de la Résistance (8 mars 2004)
Les résistant ne se sont pas seulement battu contre Hitler et contre les nazis: Ils avaient un idéal… Ils l’ont consigné dans le programme du conseil national de la résistance et aimerai bien qu’on oublie pas complètement leur héritage, ce pourquoi ils se sont battus.
Texte intégral: Appel du Conseil National de la Résistance
Complément: Le Programme du Conseil national de la Résistance du 15 mars 1944
À vos Marx… Prêts? Critiquez! | Le Devoir
Crise mondiale, capitalistes financiers ultra-véreux, paupérisation généralisée: la conjoncture favorise le regain des études d’inspiration marxiste. Petit tour d’horizon avec Stéphane Baillargeon, journaliste au journal Le Devoir.
Morceaux choisis:
“Les signes s’accumulent, petits et grands, majeurs ou insignifiants, notamment du côté de l’édition. Le Capital de Karl Marx vient de paraître en manga de poche au prix d’une tasse de café chez l’éditeur nippon East Press, spécialisé dans l’adaptation en bédé des grands classiques littéraires. Le dossier central du tout dernier numéro de Philosophie Magazine demande: «Comment peut-on être anti-capitaliste?».”
[…]
«Pour comprendre Marx aujourd’hui, il est fondamental de se détacher des charges idéologiques qui pèsent sur son oeuvre, dit François L’Italien, doctorant en sociologie de l’Université Laval. Pour le comprendre, il faut aussi se dire que, pour lui, le capitalisme n’est pas seulement un système économique abstrait: c’est une façon d’organiser, de rationaliser et de valoriser les rapports sociaux.»
«C’est bien simple, tous les rapports sociaux passent au cash, note M. L’Italien, qui allonge et enrichit la liste des exemples, du capital humain des entreprises au capital santé des individus.»
[…]
«Le capitalisme transforme tous les rapports sociaux, y compris ceux où il n’y a pas d’argent à faire, dit le sociologue. C’est une matrice socioculturelle dont parle Marx dans Le Capital. En lisant entre les lignes, en faisant mûrir le tout, on arrive à comprendre l’atome, la structure élémentaire d’un système qui vient insérer des rapports capitalistes entre les individus et le monde.»
[…]
“Cela dit, la critique (renouvelée) du capitalisme ne débouche pas nécessairement sur les (vieux) rêves de grands soirs. Il ne faut pas confondre la démocratie libérale («le moins pire des régimes», disait justement Churchill) et le capitalisme prédateur. D’ailleurs, il s’agit moins de se demander comment on peut être anticapitaliste aujourd’hui que comment on peut encore oser défendre ce que ce système est devenu: une sorte de socialisme pour les riches, et tintin pour les damnés de l’abondance… ”
NLS Digital Archive – First World War ‘Official Photographs’

Formidable collection de photographies prises pendant le premier conflit mondial. Elle regroupe les photographies prises par quatre photographes : Ernst Brooks, John Warwick Brooke, David McClean et Tom Aitken. Toutes les photographies sont dûment décrites et légendées.
Usages des TIC, une remise en cause de la forme scolaire ?
Pendant ce temps les jeunes continuent de développer leurs usages des TIC. De nombreux adultes (et enseignants entre autres) montrent des signes de “souffrance” intergénérationnelle qui s’amplifie, dans le monde scolaire d’un sentiment d’exaspération de plus en plus fort. Si ce sentiment s’exprime autour des questions structurelles (programmes, horaires, réunions…évaluations…) c’est que l’on a oublié que c’est dans l’espace de la classe que se joue la partie. Ou plutôt que l’on ne veut pas accepter de casser cette sacrosainte forme scolaire “moderne” (au sens qu’en donne l’histoire moderne en France). Du coup le paradoxe élèves/sujet agissant, enseignant transmetteur et “propriétaire de l’espace temps scolaire de la classe” devient de plus en plus pesant. Mais affronter le problème par cette entrée est tellement déstabilisant qu’il est difficile à accepter. Comme de surcroit une idéologie libérale sous-jacente s’est emparée du thème (pourtant cher à une certaine gauche) la confusion augmente et la tension monte.
Le vrai problème : A quoi servent les devoirs ?
«La création du site Internet « faismesdevoirs.com » soulève un tollé de protestations et provoque une violence telle que l’on n’en a pas vue depuis longtemps s’agissant de l’éducation, que l’on n’en a pas vue pour bien d’autres mesures récentes qui l’auraient pourtant largement méritée, comme la semaine de quatre jours et le soutien. Il n’est pas étonnant qu’elle fasse l’unanimité dans un contexte où le conservatisme reste dominant et où certaines pratiques apparaissent, au fil des décennies, comme naturelles, incontestables, éternelles. On passerait même plutôt pour un idiot si l’on osait les remettre en cause ou, même simplement en débat. C’est vrai pour l’organisation « le cours/l’heure/la classe », c’est vrai pour le modèle pédagogique de la transmission qui place le professeur au centre du système, c’est vrai pour une conception des progressions du faux simple au complexe, etc. Ce qui surprend aujourd’hui, c’est la rapidité et le caractère unanime de la réaction. Ce qui surprend aussi, c’est que dans la masse des protestations, on n’entend guère de voix s’élever pour s’interroger sur le sens et l’utilité des devoirs. Comme si le problème ne se posait pas, ne pouvait pas se poser. Or, si la création de ce site a au moins un mérite, c’est celui de nous interpeller sur le problème des devoirs, sur leur importance dans les apprentissages, sur leur articulation avec les cours, sur les conditions de leur mise en œuvre, sur le sens par rapport aux évolutions de des savoirs, des techniques, de la société.»
Pierre Frackowiak: Le vrai problème : A quoi servent les devoirs ?
On apprend, ce samedi, que le site «faismesdevoirs.com» a fermé (à lire sur la page d’accueil).
Perte de mémoire
Non ce n’est pas la photo des dégâts causés suite à un attentat à la bombe au Moyen Orient, mais l’état des locaux des Archives historiques de la ville de Cologne qui se sont effondrés probablement en raison des travaux de construction du métro.
Facebook : quelle attitude adopter ? – Education au Media Internet
«Le métier d’enseignant depuis l’introduction du numérique (certains parlent d’arrivée par effraction – Pierre Fonkoua ENS – Yaoundé) devient, contrairement à de nombreuses idées communément admises, très complexe.
Heureux ( ?) Dans sa simplicité le temps du face à face pédagogique circonscrit en un lieu et à un temps normé. Une classe, des murs, un lieu d’interactions entre des acteurs bien identifiés. L’ère numérique entamée à la fin du 20ème siècle a bouleversé cet équilibre. Le temps et l’espace sont devenus poreux, l’espace éducatif est en expansion. Dans cet espace qui semble sans limite est apparu Facebook. Les enseignants et les apprenants (ou l’inverse) s’en sont emparés techniquement et ont construit des espaces de collaboration qui commencent à se mêler et ils suscitent des interrogations sur leur cohérence. Faut-il, peut –on devenir ami avec ses anciens élèves ? Simple à exprimer mais complexe à résoudre la question de la réunion du singulier et du pluriel est au centre du débat.»
la démarche de type situation-problème repérable dans une activité de recherche info-documentaire | Les Trois Couronnes
«A partir d’une question d’actualité posée par un élève, un(e) professeur(e) des écoles de l’académie de Toulouse met en place une séquence d’apprentissage info-documentaire fondée sur la démarche de situation-problème. Les élèves vont être confrontés à leurs représentations et vont devoir apprendre pour mieux comprendre…»
Cet historien serait-il dangereux ?
A lire ce savoureux billet de Pierre Assouline sur ce dernier géant qu’est l’historien britannique Eric Hobsbawm
Cet historien serait-il dangereux ? – La république des livres – Blog LeMonde.fr