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Lyonel Kaufmann blogue…

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L’Allemagne de l’Est est-elle la grande perdante de l’unification ?

8 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ouverture du « rideau de fer » lors du pique-nique européen de Sopron, à la frontière austro-hongroise, le 19 août 1989. Tamás Lobenwein/Paneuropean Picnic’ 89 Foundation

Trente ans plus tard, la fête n’est plus aussi belle que le 9 novembre 1989 quand est tombé le mur de Berlin sous la pression des Berlinois de l’Est venus vérifier s’il était bien « ouvert » comme venait de le déclarer, lors d’une conférence de presse, le porte-parole nouvellement nommé du SED (le parti communiste au pouvoir en RDA), Günter Schabowski. Pour autant le tableau est-il forcément négatif ?

Source : L’Allemagne de l’Est est-elle la grande perdante de l’unification ?

Elizabeth Warren a tout à gagner de la procédure d’impeachment

6 octobre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Éclaboussé par “l’affaire ukrainienne”, Joe Biden perd du terrain face à la sénatrice du Massachusetts dans la course à l’investiture démocrate en vue de l’élection présidentielle de novembre 2020. 

Elizabeth Warren a pris la tête de la course à l’investiture démocrate le jour même du lancement de la procédure de destitution de Donald Trump : c’est là pure coïncidence, mais la coïncidence est jolie.

La sénatrice du Massachusetts combat un “système truqué” qui sert les élites fortunées. Elle dénonce l’alliance mondiale entre “autoritarisme et capitalisme corrompu” qui pousse les États-Unis sur la pente glissante de la kleptocratie.

Trump est menacé d’être destitué précisément pour tout ce qu’Elizabeth Warren dénonce, ce qui tient déjà de l’aubaine pour elle. Alors quand Joe Biden, son principal adversaire à la primaire, se retrouve lui aussi dans la tourmente, cela ressemble à une manne providentielle.

-A lire : Elizabeth Warren a tout à gagner de la procédure d’impeachment

“Dernière sommation” : le roman d’une guerre sociale en France, par David Dufresne

30 septembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Par la voie de la fiction, David Dufresne rend compte du soulèvement des Gilets jaunes depuis novembre 2018 et de la dérive autoritaire du maintien de l’ordre. Un roman très politique, qui donne de grandes claques de réalité.

La sidération et la colère ont conduit Etienne Dardel, le personnage principal de Dernière sommation (qui sort ce 2 octobre aux éditions Grasset), à endosser une mission, un jour d’émeute de décembre 2018 où les Gilets jaunes avaient pris possession de la place de l’Etoile, ce “premier sens giratoire de France”. Celle de rendre visibles les violences policières, d’alerter sur les dérives illégales du maintien de l’ordre et d’empêcher le déni politique à ce sujet.

Ce jour-là, il a eu beau zapper sur les chaînes d’info en continu, aucune image des manifestants blessés ne filtrait. De toute évidence, la télévision avait choisi son côté de la barricade. Alors, Etienne Dardel, vétéran d’internet, a allumé son ordinateur et a commencé à montrer le contre-champ inavouable du maintien de l’ordre sur Twitter : mains arrachées, joues trouées, personnes éborgnées… Le tout en interpellant à chaque fois le ministère de l’Intérieur : “Allô @Place_Bauveau, c’est pour un signalement…”

Dernière sommation, de David Dufresne, éd. Grasset, 234 p., 18€

-Lire la suite : https://abonnes.lesinrocks.com/2019/09/30/livres/livres/derniere-sommation-le-roman-dune-guerre-sociale-en-france-par-david-dufresne/

Education nationale : quand le travail pousse au suicide | France Culture

28 septembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

À 58 ans, la directrice de l’école maternelle Méhul, à Pantin (Seine-Saint-Denis), a mis fin à ses jours lundi 23 septembre. Son corps a été retrouvé avant l’arrivée des enfants, dans la grande nef de cette école. Avant sa mort, Christine Renon avait envoyé à son inspecteur d’académie et à tous les directeurs et toutes les directrices d’établissements scolaires de sa ville une lettre. « Aujourd’hui, samedi, je me suis réveillée épouvantablement fatiguée, épuisée après seulement trois semaines de rentrée », écrit-elle. C’est une professionnelle à bout qui se livre, interroge le système dans sa globalité et l’absence de réponse de sa hiérarchie. Louise Tourret, productrice de l’émission « Être et savoir », revient sur ce drame dans son émission du dimanche 29 septembre et a interrogé pour cela le sociologue Vincent de Gaulejac, spécialiste de la souffrance et du mal-être au travail.

Il tente une explication sur les raisons qui ont pu pousser cette directrice d’école à commettre ce geste désespéré.

Vincent de Gauléjac : Ce drame illustre la souffrance que vivent de nombreux agents des institutions publiques que ce soit dans l’éducation, à l’hôpital, dans la police, dans le travail social. En 2008, quand j’avais participé à « L’Appel des appels » avec Roland Gori, on insistait déjà sur la transversalité de ce phénomène. On se suicide dans toutes ces institutions que l’on « modernise » : France Télécom, la SNCF, la RATP, etc. Je me souviens du témoignage de Catherine Kokoszka qui était la directrice de l’antenne parisienne de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) qui avait écrit un texte en 2009 après sa tentative de suicide dans laquelle on retrouve presque mot pour mot les termes employés aujourd’hui par Christine Renon.

Que se passe-t-il dans ces institutions ?

Vincent de Gauléjac : Les réformes successives qui y sont mises en oeuvre, cette réorganisation permanente, pèsent de plus en plus sur les agents et même sur leur hiérarchie. Ces nouvelles formes de gestion – qui sont nées avec le développement du New Public Management, de la Corporate Gouvernance – produisent deux effets : premièrement, les agents ont l’impression que ces réformes les empêchent de travailler. Deuxièmement, s’ils se sont investis dans l’éducation, dans la santé ou dans le travail social, c’est parce qu’ils croyaient aux missions de l’institution : une bonne pédagogie, prendre soin des malades, etc. Faire bien son travail c’était correspondre aux valeurs de l’institution. Mais à présent, l’organisation, tous ces nouveaux outils de gestion présentés comme devant améliorer les choses en fait les mettent en difficulté, non seulement les empêchent de travailler, mais leur font perdre le sens du travail et les valeurs qu’ils avaient mis au centre de leur choix professionnel.

Source : https://www.franceculture.fr/societe/education-nationale-quand-le-travail-pousse-au-suicide

Climat : la réplique jeune – Libération

15 février 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Alors que le mois de janvier a vu s’accumuler les mauvaises nouvelles climatiques, entre accélération de la fonte des calottes glaciaires et des neiges himalayennes et confirmation que 2018 avait été la quatrième année la plus chaude de l’histoire, la seule éclaircie est venue des jeunes. Emboîtant le pas à la Suédoise Greta Thunberg et sa grève scolaire pour le climat, les élèves belges et suisses âgés de 12 à 18 ans ont décidé de sécher massivement et régulièrement les cours pour alerter leurs dirigeants sur l’urgence climatique, avant d’être rejoints la semaine dernière par plusieurs milliers de lycéens hollandais. Si l’on prend en compte des mouvements plus épars, en Allemagne ou en Australie notamment, 70 000 jeunes font grève pour le climat chaque semaine dans 270 villes, selon un décompte du Guardian. Un chiffre promis à augmenter grâce aux Français et Britanniques qui entrent à leur tour dans la danse ce vendredi, avec une première journée de grève qui devrait ensuite suivre un rythme hebdomadaire.

—Lire la suite sur www.liberation.fr/planete/2019/02/14/climat-la-replique-jeune_1709438

Les 3 niveaux de nos identités en ligne | InternetActu

4 février 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

« S’agissant de notre profil numérique, les données que nous choisissons de partager ne sont que la pointe de l’iceberg. Nous ne voyons pas le reste, cachés sous la surface des interfaces conviviales des applications mobiles et des services en ligne. Les données les plus précieuses sur nous sont inférées hors de notre contrôle et sans notre consentement. Or, ce sont ces couches plus profondes et que nous ne pouvons pas contrôler qui prennent réellement les décisions qui nous affectent, pas nous », explique Katarzyna Szymielewicz (@szymielewicz), cofondatrice et présidente de la Fondation Panoptykon, une association polonaise de défense des libertés individuelles et des droits de l’homme dans la société de surveillance (qu’on pourrait considérer comme l’équivalent de la Quadrature du Net en France) – dans une tribune pour Quartz.

-Lire sur Les 3 niveaux de nos identités en ligne | InternetActu

Il y a 60 ans, Vaud devenait le premier canton à laisser voter les femmes – rts.ch

1 février 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Vaud a été le premier canton de Suisse à accorder le droit de vote aux femmes, 12 ans avant que ce droit ne soit étendu au niveau fédéral (image d’illustration). [ – Keystone]
Canton précurseur, Vaud a accordé le droit de vote aux femmes le 1er février 1959. Mais il a encore fallu douze ans de combat pour que ce droit soit étendu au niveau fédéral, rappelle la féministe lausannoise Simone Chapuis-Bischof.
— À lire sur www.rts.ch/info/regions/vaud/10183613-il-y-a-60-ans-vaud-devenait-le-premier-canton-a-laisser-voter-les-femmes.html

Ouvrage : Les petites mains de l’intelligence artificielle

20 janvier 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Pour Antonio A. Casilli, le remplacement des hommes par des robots n’est que pur fantasme. Derrière le monde virtuel, c’est une nouvelle précarisation du travail humain.

Bâti pour séduire investisseurs et consommateurs (et sur ce point parfaitement efficace), ce discours du remplacement ne résiste pas longtemps à l’enquête sérieuse d’Antonio A. Casilli.

« Derrière chaque plate-forme numérique se cache, en effet, démontre le sociologue, une armada de « travailleurs du clic » invisibilisés, délocalisés, précarisés. Les robots ne font pas disparaître le travail, ils l’occultent et, ce faisant, le reconfigurent dans des formes toujours encore désirables. En réalité, loin de libérer l’homme de la besogne, ils la lui « tâcheronnisent ». »

-À lire sur Les petites mains de l’intelligence artificielle | Le Monde

Antonio Casilli envisage trois évolutions possibles pour une reconnaissance sociale, économique et politique du digital labor :

« De Uber aux modérateurs des plateformes, le droit du travail classique — donc la requalification en salariat — pourrait permettre une reconnaissance de leur statut. Mais le travail dépendant n’est pas forcément la panacée. Aussi, on voit de plus en plus se développer des formes de plateformes coopératives où les usagers deviennent les propriétaires des moyens de production et des algorithmes. » Antonio Casilli voit toutefois des limites à ces deux évolutions. Pour lui, une troisième voie est possible. « Nous ne sommes ni les petits propriétaires, ni les petits entrepreneurs de nos données. Nous sommes les travailleurs de nos données. Et ces données personnelles, ni privées, ni publiques, appartiennent à tous et à personne. La vie privée doit être une négociation collective. Il nous reste à inventer et à faire émerger des institutions pour en faire un véritable bien commun. Internet est un nouveau champ de luttes » s’enthousiasme le chercheur.

-À lire sur : Enquête sur les travailleurs clandestins du clic | UP’Magazine

La présentation de l’éditeur :

L’essor des intelligences artificielles réactualise une prophétie lancinante : avec le remplacement des êtres humains par les machines, le travail serait appelé à disparaître. Si certains s’en alarment, d’autres voient dans la « disruption numérique » une promesse d’émancipation fondée sur la participation, l’ouverture et le partage.

Les coulisses de ce théâtre de marionnettes (sans fils) donnent cependant à voir un tout autre spectacle. Celui des usagers qui alimentent gratuitement les réseaux sociaux de données personnelles et de contenus créatifs monnayés par les géants du Web. Celui des prestataires des start-ups de l’économie collaborative, dont le quotidien connecté consiste moins à conduire des véhicules ou à assister des personnes qu’à produire des flux d’informations sur leur smartphone. Celui des microtravailleurs rivés à leurs écrans qui, à domicile ou depuis des « fermes à clic », propulsent la viralité des marques, filtrent les images pornographiques et violentes ou saisissent à la chaîne des fragments de textes pour faire fonctionner des logiciels de traduction automatique.

En dissipant l’illusion de l’automation intelligente, Antonio Casilli fait apparaître la réalité du digital labor : l’exploitation des petites mains de l’intelligence « artificielle », ces myriades de tâcherons du clic soumis au management algorithmique de plateformes en passe de reconfigurer et de précariser le travail humain.

« En attendant les robots. Enquête sur le travail du clic », d’Antonio A. Casilli, Seuil, 400 p., 24 euros.

Lien : http://www.seuil.com/ouvrage/en-attendant-les-robots-antonio-a-casilli/9782021401882

Crédit image en-tête : Pixabay License. Libre pour usage commercial. Pas d’attribution requise

Photo officielle du Conseil fédéral, un travail d’amateurs

4 janvier 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Un travail d’amateurs. C’est en substance le message délivré par les professionnels de la photographie de presse à propos de la traditionnelle photo de groupe du Conseil fédéral pour l’édition 2019. Voici le communiqué de presse de Photojournalistes suisses – impressum, dans sa version intégrale.

La section Photojournalistes suisses – impressum regrette que la traditionnelle photo de groupe du Conseil fédéral ait été effectuée à moindre coût par des apprentis médiamaticiens.

La profession de photographe (dont celle de photojournaliste fait partie) se trouve actuellement dans une période charnière. Souvent dénigrée, il est impératif pour la survie de cette profession que le grand public comprenne que ce métier demande de vraies connaissances, du matériel, du temps, de la créativité et de l’expérience.

Sans entrer dans des considérations esthétiques et techniques sur cette image, la réalisation de la photo officielle de cette année par des apprentis médiamaticiens donne l’impression qu’une photo se réalise par un simple clic-clac avec un smartphone et que ce travail ne vaut pas la peine d’être reconnu, ni même rémunéré.

Malgré les remarques ci-dessus, Photojournalistes suisses – impressum n’a rien contre le fait que des apprentis aient effectués cette prise de vue afin de mettre en avant la formation professionnelle, mais nous aurions apprécié que ce soient des apprentis photographes (CFC sur 4 ans) qui l’effectuent et également que ces élèves soient rémunérés pour leur travail, par exemple avec le financement d’un projet photographique.

Au nom des photojournalistes suisses, nous souhaitons malgré tout à notre Président et à ses collègues du Conseil fédéral nos meilleurs voeux et un plein succès dans les défis que notre pays devra relever cette année 2019.

Pour le comité de Photojournalistes suisses – impressum
Philippe Maeder (président)

Source : Photo officielle du Conseil fédéral, un travail d’amateurs | La Méduse

La Tour-de-Peilz – Un parcours pour Gustave Courbet le Boéland

26 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

À l’occasion des 200 ans de sa naissance, la municipalité de La Tour-de-Peilz propose sept panneaux et un site internet pour rappeler la période locale de l’artiste français. Un préavis pour un montant de 100’000.- francs est déposé au Conseil communal. 

Sept lieux ayant compté lors du séjour du maître français accueilleraient un panneau informatif d’un mètre sur deux. Trois au centre-ville: la place des Anciens-Fossés (où une stèle rappelle qu’il a été enterré à La Tour-de-Peilz avant que sa dépouille ne parte pour Ornans), le Café du Centre et la place du Temple (Buste La Liberté). Et quatre au bord du lac: la villa Bon-Port, plus trois lieux d’inspiration: La Becque (où il peignit «La vue du lac Léman»), le port et à la rue du Château («Coucher de soleil sur le lac»).

Le parcours tel que présenté dans le préavis municipal

Il est prévu de confier les contenus des panneaux à Dominique Radrizzani, historien de l’art, spécialiste de Courbet, ancien directeur du Musée Jenisch de Vevey et actuel directeur du Festival BD Fil. Un volet numérique proposera des contenus digitaux, notamment une bande-son de 2 minutes sur chacun des sept sites et une expérience ludique en réalité augmentée.

La démarche est encouragée par Montreux-Vevey Tourisme (MVT) ainsi que par le Pôle Courbet du département du Doubs. Afin que ce nouveau parcours bénéficie d’une reconnaissance culturelle et touristique ainsi que d’une visibilité maximale, un accord de principe concernant la labellisation Pôle Courbet et Pure Inspiration (Montreux-Vevey Tourisme) a été conclu avec les instances concernées. Celui-ci permettra une présence sur les plateformes numériques de ces deux institutions.

L’installation des panneaux est prévue en août prochain, de même que le lancement de la plateforme numérique. Un vernissage du parcours est agendé au 21 septembre dans le cadre des festivités du Bicentenaire. (24 heures)

Le préavis municipal : http://www.la-tour-de-peilz.ch/Documents/Documents/2018/OJ_12_2018/emb/1003-ADM-1811-PAD-rc-Preavis_17-Parcours_Courbet.pdf

-À lire : Un parcours pour Gustave Courbet le Boéland | 24Heures

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