Un nouveau filtre noir/blanc pour l’application iOS CameraBag.
Photo prise à Oerlikon, le dimanche 23 février, après un passage à SwissMoto.
Roadbook
Il était une fois… | Les Diablerets
Traitement «vintage» du décor extérieur pour un rappel des hivers d’antan…
Application Hipstamatic – iPhone 5S
Au chalet | Les Diablerets
Passage aux Diablerets pour un moment sympathique notamment autour d’une raclette…
Ballons @Château-d’Oex
L’album : https://www.flickr.com/photos/lyonelkaufmann/sets/72157644774317189/
Ouverture le 25 janvier 2014 de la 36e Semaine internationale de Ballons à Château-d’Oex.
Une manifestation remarquablement organisée et un magnifique ballet dispensé à un public nombreux et ravi.
Lundi 6 janvier 2014
Je redécouvre MacJournal, ce vétéran des carnets de notes sous Mac OSX.
Les ressources de son développeur Dan Schimpf sont tout simplement incroyables. Il a su faire évoluer son logiciel y compris avec l’arrivée d’IOS.
Certes tout n’est pas évident comme la synchronisation entre Mac et iPad. Quoique, dans le fond, ce n’est peut-être pas si grave si la synchronisation ne se fait pas directement via les données dans le nuage (cloudcomputing)…
Surtout à une époque où la NSA veille.
En tout cas, cela fonctionne bien entre un iPad et plusieurs Mac.
Le logiciel remplit la fonction de plusieurs logiciels : carnets de notes, journal de bord (diary), éditeur de texte (à la manière de ByWord ou Writer Pro) et rédacteur de billet de blog (Tumblr, WordPress, Blogger, LiveJournal, etc.).
Sur Mac, avec l’aide des menus contextuels et des Services, il permet de faire sa veille et sa cueillette soit en créant une nouvelle entrée, soit en ajoutant à une entrée existante.
Bon il faut quand même que je me décide à aller me coucher…
#Ludovia2013 : mon voyage retour
Le retour de Ludovia à moto m’a permis tout en appréciant la route et les paysages d’avoir le temps de faire défiler dans sa tête les images, sons et impressions de cette 10e édition de Ludovia (lire Mon bilan de #Ludovia2013). Je vous présente les images du voyage de retour en guise de clôture à cette édition 2013.
Jeudi 29 août, le barcamp de synthèse terminé, il est temps pour moi de prendre congé d’Eric, Aurélie et Laurence, les chevilles plus qu’ouvrière de Ludovia. Merci à eux pour leur énergie sans faille et leur bonne humeur constante malgré la fatigue. Je prends aussi congé de mes partenaires et amis blogueurs de Ludovia ainsi que de Pascal et Virginie. Puis, je prends la route. Il est prêt de 13h00. L’objectif de cette première demi-journée consiste à s’approcher au plus près d’Alès. Pour ce faire, je démarre de suite avec le col de Chioula, puis je rejoins les routes des chemins cathares, proches du château de Quéribus pour rejoindre Narbonne, puis Bézier. Ensuite, le Massif central me tendra les bras depuis Lodève et les Grandes Causses en passant à proximité du Cirque de Navacelles.
A Ganges, je laisse la Grotte des Demoiselles pour rejoindre Alès où je passerai comme envisagé la nuit.
Vendredi 30 août, il est 10 heures lorsque je quitte Alès en direction d’Aubenas. Je me laisse dévier de mon programme initial pour emprunter les Gorges de l’Ardèche et rejoindre ensuite Bolène et la Drôme par la vallée de l’Eygues.
Je poursuis en direction de Gap pour rejoindre ensuite les Alpes en prenant le col de Festre, massif du Dévoluy.
Laissant Bourg-d’Oisan sur ma droite, j’emprunte ensuite le col du Glandon.
Il me faut ensuite rejoindre Albertville, Mégève, puis Chamonix avant de rejoindre la Suisse et Martigny par le col des Montets, les gorges du Trient et le col de la Forclaz.
Mon album photo de cette édition de Ludovia : http://lyonelk.smugmug.com/Travel/Ludovia-2013
Sur la route de #Ludovia2013
Comme en 2010, je joins l’utile à l’agréable en profitant de rejoindre l’Ariège et la 10e édition de Ludovia en deux jours et à moto. Cette année, je suis parti ce dimanche avant 8h00 pour rejoindre Millau et son viaduc. Bien évidemment, la ligne droite n’est pas le plat principal. Aperçu en quatre photos.
Le barrage de Villefort entre Langogne et Alès
La corniche des Cévennes depuis le col de Perjuret
En arrière-plan, l’impressionnant Viaduc de Millau surplombe la ville. Pas banal.
La tour du beffroi à Millau
Je vous rendrais compte de cette édition sur mon blog professionnel et via twitter (@lyonelkaufmann + hashtag #Ludovia2013).
Sur la route de #Ludovia2013
Comme en 2010, je joins l’utile à l’agréable en profitant de rejoindre l’Ariège et la 10e édition de Ludovia en deux jours et à moto. Cette année, je suis parti ce dimanche avant 8h00 pour rejoindre Millau et son viaduc. Bien évidemment, la ligne droite n’est pas le plat principal. Aperçu en quatre photos.




Col du Susten & Lac de Brienz
Dimanche, cette troisième et dernière journée de notre virée à moto et en duo dans les Alpes suisses nous mènera de Disentis/Mustér à La Tour-de-Peilz en passant par trois cols (l’Oberalp, le Susten et le Jaun) et des Grisons au canton de Vaud en passant par les cantons d’Uri et de Berne.
A notre réveil, c’est une nouvelle journée ensoleillée qui s’annonce à nous. Après un copieux déjeuner, nous reprenons la route. Disentis/Mustér est un carrefour entre le Tessin et le canton d’Uri. En effet, au coeur du village, il vous faut choisir soit d’emprunter la route du col du Lukmanier pour rejoindre Biasca, soit d’emprunter la route du col de l’Oberalp pour rejoindre Andermatt (1316m). Choix cornélien… La raison nous entraîne sur les pentes d’accès du col de l’Oberalp (2044m). De la vallée du Rhin, nous passerons à la vallée de la Reuss.
Nous sommes séparés du sommet par 21km alors qu’Andermatt n’est qu’à 10 km du col. La route est particulièrement impressionnante depuis Disentis/Mustér alors qu’elle déroule ensuite en descendant vers Andermatt, même si la déclivité moyenne est plus importante. Il est 9h50 et la circulation encore peu importante. La route du col suit grandement la ligne du Glacier Express. Le paysage est splendide.
Arrivé à Andermatt, il nous faut maintenant rejoindre Wassen (796m) pour retrouver la route du col du Susten (2224m). Depuis Andermatt, c’est une longue procession de véhicules en tout genre qui serpente tant à la montée qu’à la descente. A Wassen, le début du col est des plus étroits. Autant ne pas se retrouver derrière un motorhome, coincé lui-même derrière un cycliste. En cette fin de matinée, la circulation est déjà plus dense et hétéroclite. Cependant, le paysage est magnifique.
Arrivés au sommet, nous en profitons pour faire une halte et admirer le paysage qui s’offre à nous.
Un décor de rochers bruts avec une pointe d’eau s’offre à nous avant la descente sur Innertkirchen (625m) et la vallée de l’Aar
Après Innertkirchen, c’est les lieux du tourisme alpestre bernois qui nous attendent avec Meiringen ou Interlaken et leurs excursions vers les chutes du Reichenbach ou la Jungrfrau. Les propos de Marc Dufour faits en 1865 résonnent à mes oreilles:
«Nous évitons Meiringen en passant au plus court sur la rive gauche de l’Aar. Des tourbillons de poussière aqueuse annoncent à quelque distance la dernière chute du Reichenbach; nous l’apercevons depuis le chemin, un peu cachée par une scie et un moulin. Pour la visiter mieux il faudrait payer 25 centimes. Gustave nous montre d’en bas les chutes supérieures auprès desquelles il y a un pavillon très peu rustique. Une paroi de planches fait son possible pour cacher la cascade à ceux qui ne veulent pas payer les finances d’entrée… C’est indigne!…»
Marc Dufour. Une course à quatre. Cinq jours au travers de la Suisse centrale en 1865. Lausanne : Edition d’en bas, p. 75
Peu de choses ont changé depuis. Bien au contraire. Nous en profitons néanmoins pour faire une halte sur les bords du lac de Brienz à Ringgenberg (602m). Nous en profitons pour admirer le paysage et le lac.
Le lac de Brienz depuis l’hôtel Seeburg à Ringgenberg
La journée est magnifique et nous reprenons la route pour rentrer tranquillement à la maison, via le col du Jaun (1509m). Plus nous approchons de la maison, plus le flot de circulation se calme. Les paysages restent magnifiques comme tous ceux que nous avons rencontrés durant nos trois jours.
Col de l’Albula & Alpes grisonnes
Samedi, deuxième journée de notre petite virée à moto et en duo dans les Alpes suisses, cette étape partant d’Altdorf nous a mené d’abord au col du Klausen, puis à Davos, au col de la Fluela, à Zernez, au col de l’Albula pour rejoindre enfin Disentis/Mustér.
Si la nuit porte conseil, elle a surtout permis de chasser la pluie et les nuages à notre réveil. Les températures restent relativement basses, mais agréables.
Après un petit déjeuner copieux, nous embarquons. Petite frayeur cependant lorsque je cherche la clé de la moto dans ma veste. Rien. Fouille dans les sacs. Rien. Puis illumination, la clé se trouve dans la veste de pluie ! Départ.
A la sortie d’Altdorf (458m), c’est tout de suite la route du col du Klausen (1948m) qui s’offre à nous. Large au début, elle se rétrécit ensuite pour, vers le sommet, se réduire à un mano a mano entre les rochers et le précipice. Toujours aussi impressionnant depuis mon premier passage en 2011. Cependant, la circulation est moins dense et je ne rencontre pas de problème lors de croisements. Au sommet, les randonneurs ont remplacé les skieurs d’hors piste. A la descente, la route n’est pas plus large qu’en montant. Passablement de motards sont déjà à l’assaut du sommet. La chaleur s’installe quelque peu.
Arrivé à Mollis (417m), nous prenons la route en direction de Lanquart. Contrairement à l’autoroute, la route serpente sur les hauts du lac de Walensee. Superbe. Petit aperçu:
A Landquart, nous prenons la route qui mène à Davos. La circulation est intense dans les deux sens. Croisement de vacanciers? Toujours est-il que nous passons d’une altitude de 563m à 1560m. A Davos, nous empruntons alors la route du col de la Fluela (2383m). Paysage rocailleux et désertique à souhait. Les Alpes grisonnes nous voilà.
Nous redescendons ensuite rapidement sur Zernez (1474m) où nous faisons une très agréable pause au l’hôtel Bär and Post.
Bien restaurés, nous allons entreprendre le troisième col du jour. L’Albula (2312m) est le seul que je n’ai pas encore eu le temps de franchir. La route du col est des plus étroites, encore plus qu’au sommet du col du Klausen. Il convient d’être prudent. Cependant, le spectacle est grandiose, particulièrement lors de la descente sur Tiefencastel en raison notamment des ouvrages d’art de la ligne de chemin de fer.
Praticable depuis 1695, l’Albula comporte un hospice à son sommet, autrefois destiné à héberger les voyageurs.
Il ne nous restera plus qu’à rejoindre Disentis/Mustér (1130m) où nous passerons la nuit.
Disentis et son Abbaye qui a connu une histoire fort tumultueuse.
A suivre…