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Lyonel Kaufmann blogue…

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Shane MacGowan, le chanteur du groupe The Pogues, est mort à 65 ans

30 novembre 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Shane MacGowan, le chanteur du groupe de punk celtique The Pogues, est mort à l’âge de 65 ans après une longue maladie, a annoncé jeudi son épouse.

Le groupe The Pogues est notamment connu pour son grand succès Fairytale of New York, sorti en 1987. Ce duo entre Shane MacGowan et Kirsty MacColl est devenu un classique de Noël, teinté de folklore irlandais.

Shane MacGowan est né en Angleterre, en 1957, de parents irlandais. En 1982, il a fondé le groupe The Pogues. Il jouait alors dans les pubs des ballades irlandaises interprétées à cent à l’heure par des musiciens mélangeant allègrement rythmes irlandais et énergie des punks.

Alliant légendes celtiques et ivrognerie, The Pogues est devenu dans les années 1980 la voix politique, anti-Thatcher et anti-censure, des jeunes de Londres, issus de l’immigration irlandaise. Son chanteur était connu pour ses chansons racontant la vie des Irlandais et de la diaspora irlandaise.

Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2031172/mort-shane-macgowan-pogues-65-ans

A lire aussi, l’article de The Guardian lui rendant homage : https://www.theguardian.com/music/2023/nov/30/shane-macgowan-pogues-singer-dies

Crédit photo en-tête : Shane MacGowan , du groupe The Pogues, sur scène, à Londres, en 2014. Photo : AFP / LEON NEAL

Sarah Dufour « On va-tu prendre une marche? » (2023)

17 novembre 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Une puissante bougie d’allumage! Voilà un qualificatif qui décrit parfaitement Sara Dufour. La brillante auteure- compositrice-originaire de Dolbeau Mistassini a déjà un EP et 3 albums à son actif. Depuis la sortie de son album éponyme en 2019, elle parcourt le Québec et la France et empile les honneurs. Elle a joué plus de 400 spectacles devant un public conquis et grandissant, notamment en première partie des Cowboys Fringants.  Dans ce nouvel album, Sara Dufour montre un visage musical globalement moins country, reprenant plutôt certaines textures de guitares électriques semées sur quelques pièces du précédent.

L’histoire de son troisième disque, On va-tu prendre une marche ?, c’est celle d’un album de retour aux sources, creux dans le bois aux alentours de Dolbeau (Lac Saint-Jean) d’où elle vient, mais cette transition a mené à son propre étonnement à des chansons « à coeur ouvert », plus proches de son âme et de ses émotions.

J’avais perdu un peu la connexion avec la nature au fil des années. Puis là, en allant marcher dans le bois, dans ma piste de raquette que je me suis faite avec mon chien, puis de voir un lièvre passer, de voir une perdrix s’envoler, la senteur, d’apprendre à différencier une épinette d’un sapin… c’est simple comme bonjour, mais c’est comme si je retissais ce lien-là.

– Sara Dufour

Sur On va-tu prendre une marche ?, la chanteuse montre aussi un visage musical globalement moins country, reprenant plutôt certaines textures de guitares électriques semées sur quelques pièces du précédent album. Pour Torpille,

Du point de vue musical, les tonalités de guitare électrique et l’influence de Tom Petty se font ressentir. L’orgue joue un rôle significatif, créant une atmosphère céleste en hommage à sa mère. L’album ose également des expérimentations, notamment avec des touches de punk et des sections instrumentales étendues, permettant à l’auditeur de s’immerger dans une réflexion profonde, à l’image de la démarche artistique de Sara lors de la création de « On va-tu prendre une marche? ». L’album se distingue par son caractère non linéaire, adoptant un flux de conscience artistique qui défie les conventions.

– Torpille : http://torpille.ca/2023/11/sara-dufour-nouvel-album-on-va-tu-prendre-une-marche/

Ce troisième disque complet de Sara Dufour est aussi teinté par un triste événement, la mort de sa mère. On sent son regard bienveillant sur Chu mêlée alors que la bien nommée Ma mère est un hommage à sa force et à ses valeurs.

Alors que le Québec et la Francophonie pleure la disparition de Karl Tremblay, Sara Dufour, qui était encore en première partie des Cowboys Fringants au Festival d’été de Québec en août de cette année, prouve, s’il était encore nécessaire de le faire, que la chanson québécoise parvient à être universelle tout en étant inscrite profondément dans son quotidien et son terreau. L’avenir est assuré.

A lire : « On va-tu prendre une marche » l’effet paradoxal du bois sur Sara Dufour Le Devoir

Ce soir tout le Québec pleure Karl Tremblay (Les Cowboys Fringants)

16 novembre 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ce soir tout le Québec pleure la disparition de Karl Tremblay, le chanteur emblématique du non moins emblématique groupe des Cowboys Fringants. Il a été emporté par le cancer à l’âge de 47 ans.

Photo: Jacques Boissinot La Presse canadienne

Il luttait depuis 2 ans contre le cancer. Sa dernière prestation sur scène remonte au 17 juillet dernier à l’occasion des Fêtes de Québec, devant 90’000 fans massés sur les Plaines d’Abraham. Il était déjà bien affaibli.

Le concert des Cowboys Fringants présenté dans le cadre du dernier Festival d’été de Québec avait été émotif. Dans son édition du 18 juillet 2023, le journal Le Devoir soulignait à propos du concert et de la relation du public avec le groupe

Si le cancer de la prostate se traitait avec des applaudissements, le chanteur Karl Tremblay aurait été en rémission avant le premier des deux rappels que les Cowboys Fringants ont offerts lundi soir – car, malgré tout ça, le groupe a joué pendant presque 1 h 45. [Le Devoir, 18.07.2023]

« Ça fait dix ans et des poussières / Qu’on fait face au vent d’hiver / Ensemble on n’a peur de rien », a chanté Tremblay, criant de toutes ses forces le mot RIEN que 90 000 spectateurs ont reçu comme un coup de poing dans le ventre. On a cru voir Karl essuyer une larme à ce moment-là ; on est convaincus d’avoir vu tous les spectateurs autour de nous en verser une. Bouleversant moment durant lequel tous se demandaient s’il allait tenir le coup jusqu’à la fin du concert. [Le Devoir, 18.07.2023]

Sous la publication Instagram du groupe annonçant la nouvelle, des internautes ont pleuré la disparition de l’artiste. « Vous avez bercé mon adolescence, vous avez allumé en moi une flamme que je ne soupçonnais pas », a raconté l’une d’eux. Depuis les premiers refrains écrits par Karl Tremblay et le guitariste Jean-François Pauzé en 1995, la formation s’est taillé une place de choix dans le coeur du public du Québec.

« Karl, tu as marqué plus de trois générations de Québécois et Québécoises. Aujourd’hui, le Québec et le monde entier sont “En berne” » , a écrit un autre, en référence à l’un des succès des Cowboys Fringants paru sur l’album Break syndical, en 2002.

Sources :

  • Les Québécois pleurent la disparition de Karl Tremblay | Le Devoir, 15.11.2023, 18h23
  • Karl Tremblay, la voix des Cowboys Fringants, n’est plus | Le Devoir, 15.11.2023
  • Les Cowboys Fringants, droit debout sur les Plaines | Le Devoir, 18.07.2023
  • FEQ : Tous derrière Karl! | Radio-Canada, 18.07.2023

David Bowie – Heroes (Live in Berlin, 2002)

14 novembre 2023 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Dans cet enregistrement live emblématique, David Bowie livre une interprétation envoûtante de « Heroes » lors de sa tournée 2002, judicieusement nommée « The David Bowie Heathen Tour ». Sorti à l’origine 25 ans plus tôt, en 1977, en tant que titre du 12e album studio de Bowie, « Heroes » occupe une place particulière dans le cœur des fans du monde entier. Cette interprétation capture l’essence de l’art de Bowie et sa capacité à captiver le public avec sa voix puissante et sa présence magnétique sur scène.

David Bowie « – Heroes – » Live Berlin 2002

Beth Hart LIVESTREAM | Rockpalast | Leverkusener Jazztage 2023

9 novembre 2023 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Beth Hart LIVESTREAM | Rockpalast | Leverkusener Jazztage novembre 2023

Cela faisait un petit moment que je n’avais pas vu Beth Hart aussi en forme et réaliser une prestation aussi aboutie, d’une grande intensité et de qualité. Elle est aussi accompagnée par trois musiciens d’une extrême qualité, plus particulièrement le batteur.

Le son est excellent. La vidéo comporte juste un bug à la fin du concert, malheureusement sur une des meilleurs morceaux interprétés ce soir-là.

A propos de Beth Hart

Née en 1972 à Los Angeles, Beth Hart commence à jouer du piano dès l’âge de quatre ans. Son objectif : devenir musicienne. Elle se fait remarquer par son timbre et son vibrato à la Los Angeles High School Of Performing Arts, où elle apprend le chant et le violoncelle. Elle se fait connaître pour la première fois du grand public en participant à l’émission de talent « Star Search ».

Personnellement, je l’ai découverte à l’occasion de son troisième album « Leave The Light On » où elle chante les moments les plus difficiles de son parcours de dépendance à l’alcool et aux drogues et réalisé après plusieurs cures de désintoxication. Avec cet album, elle rencontre ses premiers succès en Europe après les États-Unis.

Lors de l’enregistrement de son premier album « Immortal », Beth est déjà fortement dépendante de l’alcool et des drogues. Son deuxième album studio, « Screamin’ For My Supper », la rend encore plus célèbre . Elle passe notamment sur le plateau de David Letterman, où elle présente son tube « L.A. Song ». Elle joue aussi Janis Joplin dans une comédie musicale, un rôle quasiment écrit pour elle.

Dans les années qui suivent « Leave The Light On », elle travaille notamment avec Slash et Joe Bonamassa et accompagne d’autres grands noms comme Jeff Beck et Buddy Guy. En 2018, Beth Hart se produit au Royal Albert Hall de Londres.

Nommée aux Grammy Awards, Beth Hart a enregistré de nombreux albums très personnels et des albums de reprises (dont un hommage à Led Zeppelin) et touche par sa voix exceptionnelle et la manière dont elle gère ses abîmes psychologiques et son passé de toxicomane.

L’ensemble de la set liste de ce concert est consultable à l’adresse suivante : https://www.setlist.fm/setlist/beth-hart/2023/forum-leverkusen-germany-53a1bfb1.html

Nina Simone: You’ve Got To Learn (Newport 1966)

1 août 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le 21 juillet dernier, Verve Records/UMe/Universal Music Canada a sorti You’ve Got To Learn, un enregistrement inédit de la prestation de Nina Simone au Newport Jazz Festival de 1966. L’album est lancé dans le cadre de la campagne « Happy Birthday Miss Simone », qui célèbre tout au long de l’année le 90e anniversaire de Simone.

Nina Simone: You’ve Got To Learn

La sortie de ce magnifique album, enregistré en direct au Newport Jazz Festival en 1966, fait la une des journaux pour les fans de Nina Simone. Aucun de ces enregistrements, tous de grande qualité, n’avait été mis à disposition auparavant. Le promoteur de Newport, George Wein, a fait don des bandes de la performance de Simone à la Bibliothèque du Congrès des États-Unis, où elles sont restées dans l’oubli jusqu’à ce que, après le décès de Wein en 2021, l’historienne de Nina Simone Nadine Cohodas les déterre. Simone est en pleine forme, accompagnée par le guitariste Rudy Stevenson, le bassiste Lisle Atkinson et le batteur Bobby Hamilton, et la qualité audio est très bonne.

L’album s’ouvre sur une version lente, d’une beauté déchirante de ”You’ve Got To Learn” de Charles Azvanour et Marcel Stellman. Il s’agit du seul enregistrement en direct connu de Simone. Le journal Libération présente le morceau et la prestation de la manière suivante :

Dès les premières mesures, une ballade des plus poignantes qui paraphrase en le dépouillant de tout artifice superfétatoire Il faut savoir d’Aznavour, Nina Simone donne le ton : bleu profond. «Face au destin qui nous désarme, […] il faut savoir cacher ses larmes. […] Il faut savoir cacher sa peine, […] et retenir les cris de haine», dit notamment la chanson gravée cinq ans plus tôt par le Franco-Arménien. Dans la voix grave de l’Américaine qui l’adapte en anglais, ces mots ne manquent pas de résonner d’un tout autre écho pour celle qui est à un tournant de sa vie. Ce 2 juillet 1966, alors qu’elle monte sur la scène du festival de Newport, l’ex-little girl blue, élevée dans une famille méthodiste et révélée au Midtown Bar & Grill, un club enfumé d’Atlanta où elle conquit ses premiers fidèles, n’est plus tout à fait la même.

Nina Simone en concert à Newport en 1966 : cœur noir (Libération, 30.07.2023)

Puis, elle enchaîne avec une lecture toute personnelle de « I Loves You, Porgy » de George et Ira Gershwin, son grand succès de 1959. Vient ensuite « Blues For Mama », musique de Simone, paroles d’Abbey Lincoln, le tout premier enregistrement de la chanson. Le morceau suivant est « Be My Husband », écrit par Andrew Stroud, le mari de Simone, et interprété ici par Simone et le batteur Bobby Hamilton uniquement.

« Mississippi Goddam » (Live at Newport Jazz Festival, Newport, RI / July 2, 1966 / Audio)

Suit « Mississippi Goddam » . Simone adapte les paroles de « Mississippi Goddam » en mentionnant Watts, en Californie, où des émeutes ont éclaté l’année précédente.

Le choix du blues en dit ainsi long sur les intentions de celle qui avait déjà condamné les scélérates lois Jim Crow et interprétera quelques mois après ce concert donné dans le festival de Rhodes Island le terrible Backlash Blues, autre hymne des droits civiques légué peu de temps avant sa mort par le poète Langston Hugues. Ce retour à la quintessence de son art la marquera durablement, elle qui aurait pu demeurer une grande voix du jazz après avoir été sevrée de Bach. Elle sera bien plus que cela.

Nina Simone en concert à Newport en 1966 : cœur noir (Libération, 30.07.2023)

L’album se termine par un rappel, « Music For Lovers » de Bart Howard, comme le « Blues For Mama » susmentionné.

Pour la suite, en août, Acoustic Sounds, la série de rééditions en vinyle de Verve/UMe, célébrera le 90e anniversaire de Simone avec un pressage de qualité audiophile de son album studio de 1966, Wild Is The Wind. En octobre, les sept albums Philips de Simone datant des années 1960 seront réunis en une seule collection : Four Women : The Nina Simone Complete Recordings 1964-1967.

Vous pouvez obtenir l’album en vinyl ou en cd. Pour des fichiers au format numérique, la meilleure offre actuelle est celle de prestomusic. Vous pouvez également écouter l’album en streaming (Spotify, Apple Musique, Quobuz notamment).

When I Am With You | Warhaus

25 avril 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Parfait pour un début de soirée.

Reinhard Mey – Ich bring dich durch die Nacht – Live 2009

15 avril 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En direct lors des « Songs an einem Sommerabend » 2009
avec Manfred Leuchter (accordéon)
Sorti sur l’album « Einhandsegler » 2000.

Je vais te faire passer la nuit…

Laisse-toi aller, essaie de dormir.
Je vais t’amener à bon port.
Il ne peut rien t’arriver,
L’homme-loup et les mauvaises fées
Ne sont qu’une ronde de feuilles
Devant la fenêtre, le vent dans les branches
Dans le marronnier,
Un mauvais rêve,
Qui n’ose pas revenir avant le jour nouveau.
Lâche-moi, je te retiens, je sais comment sortir du labyrinthe.

Je te ferai traverser la nuit…

Charlebois – Ordinaire – Genève (1973)

19 mars 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Au piano, intime, le chanteur Robert Charlebois interprète Ordinaire, chanson devenue un classique du répertoire québécois.

En concert avec ses musiciens dans les studios de la TSR en 1973, Robert Charlebois chante pour le public suisse.

Journaliste : Jo Excoffier

Réalisateur : Christian Liardet

Source : https://www.rts.ch/archives/tv/varietes/nom-des-chansons/8182614-ordinaire.html

Tom Verlaine, “un père fondateur du punk américain”, n’est plus

29 janvier 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le guitariste de Television, qui a influencé toute une génération de musiciens, est décédé samedi à Manhattan. Il avait 73 ans.

La radio NPR en parle comme d’“un père fondateur du punk américain”. Pour Variety, il a “redéfini le guitar rock” dans les années soixante-dix avec son groupe Television. Tom Verlaine, un nom de scène inspiré du poète français, est mort samedi à Manhattan à l’âge de 73 ans après une brève maladie. C’est Jesse Paris Smith, la petite-fille de sa collaboratrice Patti Smith, qui l’a confirmé aux médias américains

— À lire sur www.courrierinternational.com/article/musique-tom-verlaine-un-pere-fondateur-du-punk-americain-n-est-plus

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