Vevey-Riviera Une très belle journée de printemps et une très sympathique balade en suivant les indications du tourisme pédestre du Mont-Pèlerin à Corseaux en passant par Chardonne.


Voici une moto qui fait tourner les têtes. Une belle anglaise à la classe intemporelle, ou au charme rétro, au choix. C’est la plus petite – par sa cylindrée – des cinq nouveaux modèles introduits cette année en guise de renaissance de la famille Bonneville. Un nom qui remonte à 1959.
Dès les premiers mètres à son guidon, on remarque la vague de force accélératrice qui pousse moto et pilote da manière douce mais néanmoins très rapide dès que l’on ouvre un tant soit peu les gaz. Un coup d’oeil sur la fiche technique nous apprend qu’on a droit à un couple maximal de 80 Nm à déjà 3230 tr/min. Beaucoup de force très bas dans les tours. Rien ne sert de faire monter le bicylindre en ligne jusqu’à la limite – qu’on ne connaît pas précisément, parce qu’il n’y pas de compte-tours. Même sur autoroute, on peut cruiser en 5e aux vitesses légales sans le moindre effort. A part la résistance au vent: rien ne vient dévier le flux d’air qui vous atteint en pleine visière. C’est la loi de ce
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Je vous invite à suivre cet intéressant blog consacré à Reims pendant la Première Guerre mondiale. Vous aurez l’occasion de suivre le conflit au jour le jour au travers du Carnet d’un rémois Paul Hess et des contre rendus du journal Le Miroir.
Carnets du rémois Paul Hess (extraits) (…)Parmi les nouvelles plus ou moins intéressantes servant à remplir les colonnes des journaux, on en trouve une, assez amusante aujourd’hui: la voici. Quand finira la guerre? On est prié de répondre à une question que pose l’Enregistrement: quand finira la guerre? Il ne faudrait pas croire à une […]
via 612/journal de la grande guerre: 6 avril 1916 — 1914-1918: Reims dans la Grande Guerre

La claque ! Mon accompagnatrice de Reed Midem n’en revient pas. Ces jeunes venus de plusieurs pays européens* et d’Australie ne ressemblent vraiment pas aux autres festivaliers. Résultat : je devais leur faire un speech, j’ai passé mon temps à les écouter !
Et jamais le fossé des usages médias n’a paru aussi grand !
Deux exemples : Qui a regardé la télé hier ?
Personne
Qui s’informe sur Facebook ?
Tout le monde
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En conclusion : il est difficile de considérer que les Générations Y et Z ne seraient que des concepts marketing !

Rudyard Kipling Archive New Zealand, CC BY SA 2.0
Être né dans les années 1970, ou après, fait étrangement associer « Il en faut peu pour être heureux » au Livre de la Jungle et renvoie à une kyrielle de souvenirs de Mowgli et Baloo se trémoussant sur un air de jazz. Il faut l’avouer, les studios Disney sont assez doués pour nous faire oublier qu’avant le film, il y avait un livre. En effet l’histoire du « petit d’homme » grandissant dans la jungle et se soumettant à ses lois a été couchée sur le papier par Rudyard Kipling en 1894.
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Ou quand nous découvrons le nouveau quartier de Zurich jouxtant la gare principale.
L’Europaallee jouxte la gare principale de Zurich. C’est un nouveau quartier construit sur les terrains des CFF. Un nouveau downtown en quelque sorte avec ses constructions radicalement contemporaines, ses immeubles impressionnants, ses boutiques plus ou moins luxueuses et ses café-restaurants branchés.
Le plus impressionnant réside dans la manière dont est conçu l’espace public. Il n’y a pas de rupture entre les quais, la gare et ce nouveau quartier. Enfin, il n’y en aura pas lorsque les travaux seront terminés. C’est assez particuliers et doit être un casse-tête en matière de sécurité lorsqu’on pense aux attentats dans le métro ou dans les aéroports.
Pour notre part, nous avons découvert ce quartier en soirée en revenant de l’exposition de Vivian Maier.
De nuit, l’ambiance est particulière surtout avec les travaux.
Nous avons flâné, puis pris un verre et manger au Loft Five. Cet établissement nous a replongé dans l’ambiance de notre séjour à Montréal.

Au final, j’étais donc plus en Amérique du Nord qu’en Europe… Et définitivement la ville de Zurich est dans une autre catégorie que toutes les autres villes de Suisse. En cela, elle est une capitale européenne.

Jean Gabin, la gueule d’amour, le patriarche, l’acteur français par excellence… Cette icône du cinéma populaire est célébrée ce printemps à la Cinémathèque à travers cinquante films et des conférences de la critique Murielle Joudet, qui éclaire le mythe d’un nouveau jour.
Que reste-t-il à dire sur Gabin ? Pourquoi jugez-vous utile de replonger dans sa carrière ?
Gabin fonctionne comme tous les mythes : on pense le connaître mais on ne le connaît pas, ou du moins, s’y pencher c’est se rappeler les raisons qui font de lui un mythe. Gabin jeune c’est un courant d’air qui traverse le plan, c’est un idéal de naturel, d’authenticité. On pense que ces mots sont aujourd’hui surannés, or c’est encore ce qu’on demande aujourd’hui aux acteurs, c’est ce qui hante les réalisateurs : la quête de ce naturel. On réduit souvent Gabin à une figure sympathique et vieillotte qui ne nous dit plus rien, or revoir ces films c’est assister à tout le contraire, c’est un torrent, une force cinématographique, son apparition se fait toujours au présent, comme tous les grands acteurs. Avec Gabin on a là un des exemples les plus marquants de cette fascination française pour les non-acteurs, avec toujours le risque qu’ils finissent par se professionnaliser. Pour autant, il ne faut pas opposer trop facilement le naturel et la technique. Renoir aimait à rappeler que Gabin composait ses personnages et travaillait énormément pour atteindre à ce naturel.
Lire la suite de l’entretien : Retrospective Jean Gabin : la face cachée d’un mythe | Télérama
Photo by: © Alcina / DR

Le croisement des hommes modernes et des néandertaliens en Europe il y a des milliers d’années, a donné aux hommes des variations génétiques qui ont augmenté la capacité de ceux qui les portent à lutter contre les infections.
Cet héritage de l’Homme de Néandertal aurait aussi laissé certaines personnes plus sujettes aux allergies.
Ces découvertes, rapportées dans deux études indépendantes dans l’American Journal of Human Genetics en janvier dernier montrent le rôle important des relations interspécifiques dans l’évolution humaine et plus spécifiquement dans le système immunitaire inné, qui sert de première ligne de défense de l’organisme contre l’infection.
En savoir plus sur http://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2016/03/les-genes-de-neandertal-ont-ameliore.html#msvXZFqQT2qLOgE7.99

Présentée l’été dernier à Arles, l’exposition Total Records explore à Winterthour les liens unissant la photographie et la musique.
Samedi 19 mars 2016, nous embarquons pour un week-end photographique du côté de Winterthur et de Zurich. Deux expositions de photos nous tendent les bras : l’exposition consacrée à Viviane Maier que nous avions évoqué ici même (l’exposition prend fin le 3 avril) et l’exposition Total Records au Fotomuseum de Winterthur.

Deux excellents moments pour des expositions remarquables.

Total Records est consacrée à l’aventure des pochettes de disques. 500 sont présentées à Wintertur. Il s’agit d’une exposition réalisée dans le cadre des rencontres d’Arles en 2015. Une sélection de pochettes de disques suisses est également présente. Par ailleurs, vous disposerez à la sortie, si vous le désirez, d’un catalogue en français. Rareté qui mérite d’être signalée.
Les locaux de cette exposition temporaire sont magnifiques. Les salles sont vastes. L’exposition est organisée autour de plusieurs thématiques telles les « photographes » (Wahrol, Mondiano, …) ou graphistes (Hipgnosis), les labels (Blue Note, ECM, ESP, Elenco), les artistes (Rolling Stones, Bowie, Halliday). Il s’agit pour l’essentiel de pochettes vinyl 33T.

Le nombre de pochettes cultes est impressionnant. C’est un très beau voyage auquel il vous est donné de participer.
Après l’exposition, n’hésitez pas à vous rendre au centre-ville. Une grande zone piétonne vous attend ainsi qu’un joli choix de terrasses toutes plus à agréables les unes que les autres. Un jardin public vous tendra également les bras. Mon souvenir de ville triste s’est complètement effacé devant l’animation actuelle, plus le moins en journée.
L’exposition a débuté le 26 février et se poursuit jusqu’au 16 mai 2015. Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 11h00 à 18h00. Le mercredi de 11h00 à 20h00.
