À peine débarqué de l’avion, les rues de Copenhague s’offrent à nous ainsi que la chaleur estivale.
Directement au centre de la cité, il y règne un petit air de Venise ou de Bruges.
Flying…
La Grande Guerre et le heavy metal par la BCU
Une entrée originale consacrée à la Première Guerre mondiale.
La guerre est l’un des thèmes privilégiés dans le heavy metal et dans l’univers metal en général, et plus particulièrement les deux guerres mondiales qui ont influencé beaucoup de groupes dans le choix de leurs noms, dans l’écriture des textes, le choix des pochettes d’albums, du fait de leur caractère extraordinaire, leur côté fascinant, mais aussi le côté évidemment sombre et violent voire morbide des guerres.
Lire la suite sur Hypothèses : http://buclermont.hypotheses.org/1657
Produire ou utiliser des ressources, l’expérimentation des tablettes TED – Ludovia Magazine
Produire ou utiliser des ressources, l’expérimentation des tablettes TED – Ludovia Magazine
Source: www.ludovia.com
L’objet de cette communication est de présenter les premiers résultats de cette recherche sur la manière dont les enseignants s’approprient l’objet et son environnement logiciel et d’identifier comment ils conçoivent leurs enseignements et quelles ressources ils élaborent ou utilisent. De mars 2013 à juillet 2014 les contributeurs ont accompagné le processus qui va de l’expérimentation initiale sur 2 collèges au déploiement dans 16 collèges à partir de janvier 2014.
14-18 dans les Dardanelles: les kémalistes et l’AKP d’Erdogan se disputent le symbole
A Gallipoli, un bas-relief de la bataille des Dardanelles. © Laurent Geslin
Le 25 avril 1915, les troupes franco-britanniques débarquent sur la presqu’île de Gallipoli, à l’ouest du détroit des Dardanelles. Elles butent sur une résistance acharnée des Turcs et d’un colonel nommé Mustafa Kemal. La bataille est commémorée comme un acte fondateur de la République turque, mais le gouvernement musulman conservateur actuel tente d’en récupérer la symbolique.
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La photographe Vivian Maier, entre mystère et surexposition | Télérama.fr
Autoportrait, sans date – © Vivian Maier/Collection John Maloof Courtesy Howard Greenberg Gallery, New York Les Douches La Galerie, Paris
Née à New York en 1926, Vivian Maier mourut à Chicago en 2009, dans l’anonymat. Avant de ressortir de l’oubli, quand ce qui avait été sa double vie éclata au grand jour : la nourrice Vivian Maier, vivant dans l’ombre des familles qui l’employaient à Chicago, cachait une photographe de génie. Cette histoire est aujourd’hui l’objet d’un documentaire coréalisé par John Maloof, qui découvrit les photos de Vivian Maier, et Charlie Siskel. C’est ce dernier que Telerama a rencontré pour prolonger la vision de ce film passionnant mais qui, comme toute l’histoire de la si curieuse et si secrète photographe, soulève beaucoup de questions. Ce que le titre annonce clairement : partons donc A la recherche de Vivian Maier…
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Joe Sacco et la Première Guerre mondiale: comment il en est venu à réaliser une exceptionnelle tapisserie sur la Bataille de la Somme | Slate.fr
Le 1er juillet 1916, commence la bataille de la Somme, la plus meurtrière que l’armée britannique ait jamais connue. Rencontre de Slate.fr avec l’auteur de la longue fresque qui est exposée tout cet été à la station Montparnasse à Paris.
Détail de la tapisserie réalisée par Joe Sacco.
Se jouant des échelles et des perspectives (un centimètre sur le papier peut aussi bien représenter un mètre que dix kilomètres), la longue fresque s’inspire directement de l’art médiéval pour retracer la journée la plus meurtrière jamais connue par l’armée britannique (20.000 morts en un seul jour, dont la moitié durant la première heure de l’assaut).
Son intérêt pour la Première Guerre mondiale, Joe Sacco le tient de son enfance. Né à Malte en 1960, il passe les onze premières années de sa vie en Australie, où la bataille des Dardanelles a particulièrement marqué les esprits.
La bataille de la Somme en deux chiffres :
- 10.000 : Le nombre de morts estimé du côté britannique dans la 1re heure de l’assaut.
- 220.000 : Le nombre d’obus tirés sur les positions allemandes en 1 heure.
La fresque de Joe Sacco «Bataille de la Somme 1916» est jusqu’au 31 août 2014 à la station Montparnasse-Bienvenüe. A regarder sur le site du Centenaire, une vidéo du montage de la fresque dans la station : http://centenaire.org/fr/autour-de-la-grande-guerre/bande-dessinee/reportage/la-fresque-de-joe-sacco-bataille-de-la-somme
L’article de Slate : Joe Sacco et la Première Guerre mondiale: comment il en est venu à réaliser une exceptionnelle tapisserie sur la Bataille de la Somme | Slate.fr : http://www.slate.fr/story/89379/joe-sacco
Néandertal: il n’est pas l’homme que vous croyez | Mediapart
Il y a 430 000 ans, un groupe d’humains primitifs a vécu au nord de l’Espagne, dans la sierra de Atapuerca, une formation de roches calcaires et argileuses, creusée de galeries et de grottes souterraines. Vingt-huit individus ont été ensevelis dans une cavité au fond d’un puits de 14 mètres appelé la Sima de los Huesos, la « grotte des os », peut-être noyés par les eaux de pluie pendant qu’ils exploraient les galeries. Leurs restes, qui constituent la plus grande accumulation de fossiles humains jamais retrouvée en un même lieu, sont en train de révolutionner l’histoire de l’homme de Néandertal, prédécesseur de l’Homo sapiens en Europe.
Juan Luis Arsuaga pendant une fouille dans la Sima de los Huesos © Reuters
Les crânes de dix-sept hommes de la Sima de los Huesos ont été étudiés par l’équipe du paléontologue espagnol Juan Luis Arsuaga. Ils présentent des caractères typiquement néandertaliens : arcades sourcilières proéminentes, pommettes effacées, fortes mâchoires avec des molaires plates et larges. La Sima de los Huesos, où l’on a dénombré plus de 6 000 fragments d’os, apparaît donc comme l’un des premiers berceaux de la lignée néandertalienne. Cette dernière, dont on a longtemps situé l’origine à environ 250 000 ans, remonterait en réalité à près d’un demi-million d’années.
Depuis 2012, en deux ans à peine, une série de travaux scientifiques a totalement renouvelé les connaissances sur les Néandertaliens. Publié dans Science, l’article d’Arsuaga et de ses collègues de l’université Complutense de Madrid vient s’ajouter à une série d’études génétiques toutes récentes sur l’ADN des anciens Européens. Ces travaux, menés pour l’essentiel par un groupe de généticiens de Leipzig, ont éclairé les relations entre les hommes modernes et les Néandertaliens, cette deuxième espèce humaine qui passionne les paléontologues depuis un siècle et demi.
Qui étaient ces autres hommes, premiers habitants réguliers de l’Europe occidentale ? D’où venaient-ils ? Étaient-ils très différents des Homo sapiens ? Pourquoi ont-ils disparu ? Que nous apprennent-ils sur notre propre espèce ? Mediapart retrace les principales découvertes qui redessinent la figure de l’homme de Néandertal.
Néandertal: il n’est pas l’homme que vous croyez | Mediapart : http://www.mediapart.fr/journal/international/060714/neandertal-il-nest-pas-lhomme-que-vous-croyez