La Lécherette, samedi 3 avril 2021
J’en profite pour vous souhaiter de Joyeuses Pâques !
Jethro Tull célèbre le 50e anniversaire de son quatrième album studio, Aqualung, sorti en 1971. En l’honneur de cet anniversaire, le groupe a publié une nouvelle vidéo animée pour la chanson titre.
La vidéo, réalisée par Sam Chegini, qui a réalisé de récentes vidéos pour Jakko Jaksyzk, présente de nombreuses images tirées des paroles de la chanson, ainsi que Ian Anderson en train de jouer aujourd’hui et une représentation tout aussi graphique du sans-abrisme.
Ian Anderson a également annoncé que le prochain album de Jethro Tull s’intitulera The Zealot Gene, le premier nouvel album du groupe depuis The Jethro Tull Christmas Album, sorti en 2003.
Tout cela ne nous rajeunit pas vraiment…
Depuis ses débuts, Drafts s’est sans contexte amélioré. Au point de pouvoir concurrencer Ulysses ou iA Writer ? C’est bien une des questions à laquelle cet article tente de répondre.
Dans mon souvenir, Drafts était une application sur iPhone qui permettait de rédiger ou récupérer rapidement des « bouts » de texte pour les transmettre à d’autres applications ou en assurer leur diffusion en ligne. Une forme de presse-papier amélioré augmenté de collections de scripts pour interagir avec vos applications.
Pour réaliser ce travail de tour d’aiguillage, Drafts utilise depuis ces débuts la syntaxe markdown. C’était bien vu depuis le début, car il s’agit d’une syntaxe non propriétaire capable d’être reconnue par nombres d’applications ou service.
Ce côté-là n’a pas disparu, mais est augmenté par la possibilité d’entrer dans un « working progress » plus large désormais.
Lancée à l’origine en avril 2012, Drafts est une application de prise de notes rapide pour iPhone, iPad, Mac et Apple Watch. Drafts se lance prêt à taper, ce qui permet de saisir rapidement et facilement des pensées, des mises à jour d’état ou tout autre chose en déplacement. Après la capture, Drafts offre un puissant éventail d' »actions » hautement personnalisables (iOS uniquement) pour envoyer du texte à des courriels, des messages, des événements, à Dropbox, à Evernote, aux médias sociaux et à d’autres applications – ce qui en fait un outil indispensable pour quiconque essaie d’être productif sur iOS.
La fonction vocale sur iPhone me permet de manière bluffante de rédiger du texte à la voix. C’est extrêmement rapide et pratique avec son smartphone. Cela remplace très facilement et très utilement la frappe au clavier guère pratique sur de long texte et sur smartphone. J’imagine que cette fonction vocale s’appuie sur Siri et nécessite d’être en ligne.
Autre élément intéressant, je trouve, c’est le classement possible des notes en trois catégories. Il y a les notes en cours (inbox, les notes marquée d’un drapeau et les notes archivées. Je peux également les faire apparaître toutes.
Dans un processus de travail, cette manière de faire est très pratique. Les notes en cours de travail sont, une fois terminées, archivées. Je ne suis donc pas submergé parmi mes notes et perdu au milieu des fichiers.
Draft ne fonctionne pas selon le principe des dossiers. À la place, j’organise mes notes à l’aide de tags et d’espaces de travail (workspace). L’intérêt de cette manière de faire réside dans le fait que mes notes peuvent se retrouver dans différents espaces de travail sans avoir besoin de dupliquer ou de répliquer mes notes. Je navigue si très facilement entre mes différents entre guillemets dossiers, fichier et notes.
Je reprends l’utilisation de Draft sur iPhone et également sur Mac. L’idée serait de pouvoir l’utiliser en route pour mes fichiers markdown sur kDrive.
Dans un premier temps, cela ne m’a pas paru gagné. En fait, après quelques recherche, c’est tout à fait possible avec les opérations d’export en tant que fichier. Il faut encore configurer le navigateur de fichier d’Apple pour y faire figurer kDrive.
Par contre, la sauvegarde et la synchronisation directement via kDrive ne sont pas possibles. C’est automatiquement via iCloud. L’avantage réside probablement dans le fait que les actions sont ainsi sauvegardées et se retrouveront automatiquement sur mes différents appareil.
L’interface cependant est superbe. L’idée des actions qui permet de sauvegarder les fichiers créés sur différentes applications ou service est juste magnifique.
Il y a également une fonction vocale qui me permet de dicter du texte et ce texte s’affiche directement et en temps réel dans l’application. Tout simplement bluffant. Ce paragraphe a d’ailleurs été rédigé par ce moyen.
Sur Mac comme sur iPhone, l’apparence des fenêtres est personnalisable et peut notamment être différente en fonction du jour et de la nuit en suivant les préférences systèmes.
Cette redécouverte me ravit…
Dans son Hebdo no 1583 du 4 mars et comme chaque semaine, Courrier international explique ses choix éditoriaux et les débats qu’ils suscitent parfois au sein de la rédaction.
L’idée n’est évidemment pas de faire ici le procès de la transition écologique mais bien d’en comprendre les mécanismes et d’en décrypter les enjeux. Et les travers parfois. Dans un long reportage, The Economist explique ainsi à quel point la très forte hausse de la demande d’éoliennes, en Chine et aux États-Unis notamment, a entraîné une surexploitation forestière en Équateur – qui assure plus de 75 % de la production mondiale de balsa, bois nécessaire à la fabrication des pales – et a provoqué des ravages parmi les populations locales. “Ce boom du balsa et l’effondrement qui a suivi ne sont pas sans rappeler la fièvre du caoutchouc amazonien au début du XXe siècle”, écrit l’hebdomadaire britannique.
Autre ravage potentiellement provoqué par la course aux énergies renouvelables : l’importante pollution provoquée par l’extraction des terres rares, nécessaires à la fabrication des turbines des éoliennes. “Bien que ces terres rares ne soient pas rares, elles peuvent en revanche être très, très sales”, écrit The Daily Telegraph. Et devenir un enjeu géostratégique majeur : “Une grande partie de cette extraction de terres rares se fait à Baotou, une ville chinoise […] devenue l’épicentre de la dépendance du globe aux métaux rares.”
Côté recyclage des déchets, il y a aussi des progrès à faire. Trop de plastique, de nouveaux matériaux et des filières de tri et de transformation pas toujours à la hauteur réduisent les effets du recyclage dans la lutte contre le réchauffement climatique, estime The Atlantic, en citant notamment Project Drawdown. “Cette ONG, qui passe au crible les solutions proposées face au dérèglement climatique, s’est aperçue que le recyclage se trouvait sous la médiane en matière de répercussions, derrière la géothermie, l’amélioration de l’efficacité énergétique dans l’aérien, la protection des forêts et des dizaines d’autres mesures”, constate le magazine.
Cela veut-il dire qu’il faut en finir avec le recyclage ? Certainement pas. La difficulté à lutter contre le dérèglement climatique et le défaitisme ne doit pas aboutir à l’inaction, estime le géophysicien spécialisé en science atmosphérique Michael Mann, dans une interview accordée au magazine Rolling Stone. Pour le scientifique, il est possible d’agir – et essentiel de le faire. Même si nos actes individuels (renoncer à prendre l’avion, manger moins de viande…) ont un rôle à jouer, “ils ne remplacent pas les mesures essentielles qui doivent être prises au sommet, ni la décarbonation radicale de l’économie, qui est indispensable”, insiste-t-il.
La solution la plus viable, c’est sans doute CNBC qui l’explore dans ce dossier. La chaîne américaine a interrogé des chercheurs (économistes, anthropologues…), des “objecteurs de croissance”. Leur préconisation ? Consommer moins de ressources, en finir avec le “toujours plus”, “redéfinir les objectifs de l’humanité […] pour donner la priorité au bien-être social et écologique et non à une quête effrénée de croissance”. Leur avis ne fait évidemment pas l’unanimité, mais il offre un bon contrepoint au reste du dossier de Courrier international.
Éditeur de texte puissant recourant au langage Markdown, Ulysses 22 est en phase bêta et comporte de nouvelles fonctionnalités pour les blogueurs.
Concernant les blogueurs :
Concernant WordPress que j’utilise, c’est vraiment un plus indéniable dans la gestion de mes publications.
Après un test rapide, le processus de mise à jour d’un billet est totalement transparent. Vous pouvez modifier votre corps de publication, mais également les catégories et les étiquettes de vos billets.
Vous pouvez aussi changer le format de publication dans WordPress (WordPress 5, html ou markdown).
Vous êtes donc en mesure maintenant gérer et piloter tout votre processus de publication avec Ulysses.
Par ailleurs, les autres améliorations vont dans le sens d’une amélioration de l’ergonomie :
Il n’y a donc pas de raison de bouder cette version et son plaisir.
Pour en savoir plus ou rejoindre le programme bêta : Want to Help Test Ulysses 22?
Le Parisien a révélé la mise en production par Netflix d’une série animée basée sur l’irréductible Gaulois, Astérix. Le géant du streaming et les éditions Albert René se sont associés pour la création d’une série d’animation tirée de l’album « Le Combat des chefs ». Vingt ans après le succès au grand écran d’Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, Alain Chabat est de retour en Gaule. Le cinéaste signera l’adaptation et la réalisation de cette nouvelle série.
Produite par Alain Goldman, la série sera une adaptation du septième album de la série de bande dessinée Astérix de René Goscinny et Albert Uderzo « Le Combat des chefs » publiée en 1966. Un épisode dans lequel les Romains capturent Panoramix pour priver Abraracourcix de potion magique le temps d’un combat.
La diffusion pourrait avoir lieu d’ici 2023. Je m’en réjouis, car pour moi Alain Chabat est celui qui a su le mieux capter et transposer à l’écran l’esprit d’Astérix au cinéma.
La ville japonaise de Yahaba, qui compte 27 000 habitants, n’a rien d’exceptionnel, hormis le fait qu’elle accueille l’une des expériences les plus originales de l’histoire de la démocratie moderne, qui ouvre des horizons insoupçonnés. Depuis 2015, ses habitants participent à Future Design, une expérience unique de démocratie participative, dans le cadre de laquelle ils sont invités à des réunions publiques pour discuter des projets concernant l’avenir de leur ville. Au début, les participants sont eux-mêmes, avec leur propre point de vue. Mais ensuite, et c’est là que ça devient intéressant, ils doivent porter des sortes de toges colorées et s’imaginer vivre en 2060.
L’étonnant, c’est que quand ils se mettent dans la peau des habitants de 2060, les habitants réclament des mesures bien moins frileuses, que ce soit dans le domaine de la santé ou de la lutte contre le changement climatique. Grâce à Future Design, les habitants de Yahaba ont ainsi accepté de voir leur facture d’eau augmenter de 6 % pour financer un investissement à long terme dans les infrastructures nécessaires à une bonne gestion de l’eau de la ville. Ils s’étaient rendu compte que c’était indispensable pour leurs enfants et leurs petits-enfants.
La méthode a rapidement fait son chemin au Japon et est utilisée dans des grandes villes comme Kyoto, Matsumoto et Suita. Même le ministère des Finances japonais l’utilise comme outil pour contrecarrer le court-termisme qui domine la mise en place de stratégies économiques.
Source : De l’art d’être de bons ancêtres | Courrier International
Cette plaque de vélo a mon âge… et est difficilement biodégradable.
Ce dimanche, nous avons découvert le sentier de la truite à Tolochenaz. C’est une superbe promenade que je ne peux que vous conseiller. Nous avons notamment pu observer des hérons dans leur nid dans les arbres ou des martins-pécheurs.
Mais pas que… En traversant la grève, notre regard a été attiré par cette plaque de vélo datant de 1962, échouée sur le sable.
Si nous ne savons pas depuis combien de temps et comment cette plaque s’est retrouvée dans le lac, puis sur la grève, il est clair que vu son état elle a longtemps séjourné dans l’eau. Une preuve en quelque sorte que les décharges sauvages dans la nature ne datent pas d’aujourd’hui, ni d’hier… Malheureusement.
Bien entendu, nous l’avons ramassée. Datant de mon année de naissance, je vais la conserver.
Il faut savoir que les plaques de vélo ont été une particularité suisse. Sur la voie publique, les bicyclettes ne pouvaient circuler que si elles portaient cette plaque officielle. Les premières plaques ont été embouties en 1892 et les dernières, en 1988. Même en ce qui concerne les millésimes les plus récents, il est probable qu’il n’en subsiste pas plus de 300 exemplaires dans aucun canton.
Vous pouvez les retrouver sur le Musée Suisse de Plaques de Vélo (https://www.yearinitials.com/fr), le plus grand musée virtuel en Europe en la matière. En consultant le site, vous pourrez faire l’acquisition d’une plaque de vélo VD datant de 1962, avec certificat d’authenticité, pour la « modique » somme de chf 287.50 ! Peut-être que, si la personne s’en étant débarrassée, avait pu imaginer la valeur qu’elle prendrait, aurait-elle réfléchi à deux fois avant de le faire.
Moto Guzzi fête cette année un siècle! Un bail! A cette occasion, la marque de Mandello del Lario met à jour un de ces best-sellers. Pas ce modifications fondamentales, mais des améliorations bienvenues comme les pneus Tubless. En plus le coloris Nero Etna est sublime.
Le moteur du best-seller de la marque à l’aigle augmente son couple à bas et moyens régimes, propose deux nouveaux modes de conduite et s’embelli avec de nouvelles jantes pouvant accueillir des pneus Tubless. La version voyageuse au long cour V85 TT Travel reprend toutes les mises à niveau techniques de la V85 TT.
A lire les deux tests complets du modèle actuel sur Actu Moto :
Essai Moto Guzzi V85TT Travel – l’Italie sait aussi être raisonnable (version Travel)
Source : Moto Guzzi fête son siècle avec une mise à jour de la V85 TT – Actu Moto