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Lyonel Kaufmann blogue…

Sur la route à moto avec un café

14 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Interview de Philippe Leuba – «Ne grillons pas toutes nos cartouches immédiatement» | 24 heures

S’il était nécessaire de quantifier le basculement de l’économie mondiale vers la Chine et mesurer le déclin des Etats-Unis en tant que puissance mondiale dominante :

Il y a un mois, Mme Gorrite parlait d’un appel, lancé avec Mme Ruiz et vous, aux industriels vaudois pour fabriquer des matériels de protection. Qu’est-ce que ça a donné?

Il en est resté un projet industriel sérieux sur lequel nous travaillons. Nous avons un «business model» pour la machine, la production, pour les coûts et les délais. Et maintenant, il faut finaliser l’approvisionnement en matières premières, et l’assurer dans la durée. Vous pouvez acheter des machines sans difficulté, mais si vous n’avez pas l’assurance de la matière première, ça ne sert à rien. Nous sommes en relation avec des partenaires chinois pour ce type d’approvisionnement.

Source : Interview de Philippe Leuba – «Ne grillons pas toutes nos cartouches immédiatement» | 24 heures

Classé sous :politis

11 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Bob Dylan revient (déjà) avec une nouvelle chanson et annonce un prochain album – Les Inrocks

Après l’exhaustive balade de 17 minutes Murder Most Foul dévoilée à la fin du mois de mars, Bob Dylan est de retour avec False Prophet. Résolument plus blues/rock que son dernier morceau, le titre annonce également le nouvel album du musicien, intitulé Rough and Rowdy Ways.

Source : https://abonnes.lesinrocks.com/inrocks.tv/bob-dylan-revient-deja-avec-une-nouvelle-chanson-et-annonce-un-prochain-album/

Classé sous :TubesCafé

11 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

De bon matin… (lundi 11 mai 2020)

De bon matin. Lundi 11 mai 2020, les escargots eux aussi sont de déconfinés. La météo les invitent à sortir leur tête de leur coquille. Bonne semaine à toutes et tous. #Hipstamatic #Jane #Inas1982 #TripleCrown

Classé sous :Blogcafé, Diary

10 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En temps de pandémie : Gurnigel et Jaunpass à moto (10.5.2020)

Je crois bien que c’est la première fois que j’ai attendu quasiment mi-mai pour franchir à moto mes premiers cols de l’année. Encore un effet de la pandémie comme si encore il nous fallait une nouvelle preuve que cette année 2020 devait être particulière.

En ce dimanche 10 mai, le départ a lieu un peu avant midi, direction Châtel-St-Denis, puis autoroute jusqu’à Bulle. A la sortie de Bulle, l’objectif est de rejoindre Zollhaus pour m’engager ensuite en direction du Gurnigel. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas pris cet itinéraire. Je me souviens de la première sortie en 2010 avec BlackPearl et de la glace et de la neige encore présentes au bord de et sur la route.

Ce dimanche marque également le dernier jour de la fermeture des établissements publics. A partir de demain, ils pourront rouvrir sous conditions dont celle de composer des tables de quatre personnes au maximum et de faire respecter la distanciation sociale (2 mètres) entre les tables. Nous sommes en quelque sorte à la fin d’une ère particulière qui a duré huit semaines.

En traversant Le Pont ou Le Mouret, les effets de la pandémie sont évidents, même pour un dimanche. Alors que nous sommes le dimanche de la Fête des mères, la succession de café-restaurants fermés donne une impression, à chaque fois, de villes ou villages quasiment fantômes.

Cependant l’auberge de la Croix-Blanche au Pont vend des repas à l’emporter, via un guichet. Devant ce dernier, les clients sont sagement alignés les uns derrière les autres en respectant les deux mètres de distance. Le même scénario se répète devant les boulangeries ouvertes ce dimanche.

Nos vies ont basculé et changé très fortement en huit semaines. De nouvelles habitudes sont prises. Ces scènes sont devenues celles du quotidien. D’apparence tout paraît normal. Et en fait, il n’en est rien. Il faudra cependant s’y faire pour un bon moment encore.

Il fait déjà chaud, mais la pluie est annoncée pour l’après-midi. Plus je monte en direction du Gurnigel, plus la température baisse et le ciel s’obscurcit de nuages.

Sur la route, je rencontre peu de voitures, mais passablement de motos. Probablement un effet de la météo et de la pandémie.

Au sommet du Gurnigel, peu de voitures parquées et aucune terrasse ouverte, contrairement à d’habitude. Seules les motos sont relativement en nombre. Devant le restaurant Berghaus, la rubalise barre l’entrée fermée de l’établissement. Qu’en sera-t-il à partir de demain ?

Je redescends en direction de Thoune, puis je rejoins la route pour Zweisimmen. Dans la vallée, je m’arrête vers 13h45 pour une collation. Là, aussi la situation est nouvelle. Il faut désormais être autonome. Le cas échéant, il faut même penser prendre avec soi son papier de toilette. Là aussi il faut prendre de nouvelles habitudes. Qui vont durer malgré la réouverture des café-restaurants.

Je me suis d’ailleurs arrêté juste à côté de l’un d’eux. A l’intérieur, le patron s’affaire en prévision de la réouverture. La terrasse est prête. Les tables de quatre personnes sont bien espacées. Devant l’entrée, des affiches de couleur jaune indiquent les nouveaux horaires du restaurant et fournissent également des informations aux clients. Devant la diminution du nombre de couverts, il sera désormais nécessaire de réserver pour avoir une table, mais il ne sera pas possible de choisir sa table au moment de la réservation. Les clients seront placés à leur arrivée. Cette situation usuelle dans les établissements québécois ne l’est pas chez nous. Elle va le devenir durablement.

Chacun visiblement tâtonne et essaie de prendre ses marques.

Un peu avant deux heures, je reprends la route en direction du col du Jaun. A nouveau la circulation n’a rien à voir avec les dimanches d’avant. Toujours peu de voitures, peu de gens dehors dans les rues et passablement de moto en groupe. Même les vélos sont rares. La montagne nous appartient.

Petit arrêt au sommet du col du Jaun. Deux motos sont arrêtées. La mère, le père et le fils sont de sortie. Je m’arrête en respectant la distance sociale. Les motos suivantes qui s’arrêteront feront de même. Alors que généralement les motards parlent volontiers entre eux et se mélangent, là également les règles évoluent et c’est bizarre.

Le temps de manger une banane et de boire de l’eau et il est temps de reprendre la route. A 15h45, je mets définitivement pied à terre devant chez moi. Cette première sortie en montagne en temps de pandémie prend fin. Il faudra s’y faire et notamment le fait que les frontières sont actuellement fermées. Une bonne occasion de rester centré sur les cols suisses. Ils n’en manquent pas : https://www.motofun.ch/paessefahren.html

A suivre…

Classé sous :Roadbook

8 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Fetch The Bolt Cutters : Fiona Apple de retour avec un 5e album

Pour son cinquième album en vingt-cinq ans, « Fetch The Bolt Cutters », la chanteuse américaine Fiona Apple a choisi d’embrasser plusieurs registres et de se montrer tour à tour théâtrale, introspective, sauvage ou féministe.

Fiona Apple – I Want You To Love Me

Pour ce disque, Fiona Apple a tout enregistré dans sa maison. On pourrait alors penser « home studio », technologies à domicile, mais, ici, cette maison est présente au sens propre, puisque Fiona Apple la fait vibrer comme un instrument. Elle frappe les cloisons, le parquet, tout peut devenir percussion : un couvercle, un bidon. C’est un disque dans et avec une maison et le rythme est l’une de ses fondations.

Fiona Apple – Fetch The Bolt Cutters

Toujours très libres dans leurs formes, les treize chansons de Fiona Apple embrassent plusieurs styles. Ses chansons évoquent la maltraitance faite aux femmes, ses relations sentimentales ou sa précoce renommée trop lourde à porter. A 42 ans, l’Américaine a retrouvé un vrai mordant.

Classé sous :TubesCafé

7 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Mary Ellen Mark Immigrants Istanbul, Turquie 1965

Photo passeport de Mary Ellen Mark (1963)
400C-006-037 © Mary Ellen Mark

Grâce au dernier numéro de Réponses Photos (n0 332 mai-juin 2020), j’ai découvert la photographe Mary Ellen Mark (1941-2015) et sa photo ci-dessous prise à Istanbul en 1965.

Turkish Immigrants, Istanbul, Turkey, 1965, 501J-312-31X © Mary Ellen Mark

Réponses Photos m’apprend que Mary Ellen Mark s’est rendue en Turquie grâce à une bourse Fullbright. Les deux femmes de la photo apparaissent dans le hublot d’un bateau. Le noir et blanc rend plus intenses les regards des visages clairs sur ce fond sombre.

Par ailleurs, cette photo de ces immigrantes figure dans le premier livre publié par Mary Ellen Mark [Passport (1974). New York : Lustrum Press] et regroupant des photos prises entre 1963 et 1973.

Concernant Mary Ellen Mark, elle est née le 20 mars 1940 à Philadelphie et morte le 25 mai 2015 à New York. Elle est surtout connue pour ses reportages au travers des États-Unis, dans lesquels les portraits occupent une place prépondérante. Elle fait partie de l’agence Magnum entre 1977 et 1982.

M. E. Mark a pour thèmes de prédilection les exclus de la société : pauvres, fugueurs, prostituées, drogués, prisonnières. Principalement aux États-Unis, mais également à l’étranger comme pour la photo ci-dessus

Sisters, Central Park, New York City, 1968, 401N-002-031 © Mary Ellen Mark

Elle construit ses reportages sur le long terme en suivant certaines familles pendant des années. Cette méthode la classe parmi les documentaristes, plutôt que les journalistes.

Woody Allen et Mia Farrow, studios Kaufman Astoria, New York, 1991
215D-001-015 © Mary Ellen Mark

Elle a également été sollicitée sur des films par Francis Ford Coppola, Woody Allen ou Frederic Fellini.

Source des images : http://www.maryellenmark.com

Classé sous :Blogcafé, Photo du jour

3 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Modern Love : en première ligne de la pandémie, “je t’aime” veut parfois dire adieu

Chaque semaine, la chronique phénomène du New York Times sur l’amour vous est proposée en exclusivité, traduite en français, par Courrier international. Voici le récit d’un médecin interne dans le Washington, l’État où a commencé l’épidémie de Covid-19 aux États-Unis. Séparé de sa famille et inquiet pour ses patients, il recense les malheurs et les bonheurs de cette période. Un témoignage tout à la fois magnifique et poignant.

Brian Rea / The New York Times

Au temps du coronavirus, dire “je t’aime”préfigure la solitude ou le deuil. Ce ne sont pas les mots que l’on prononce avant de s’enlacer ou de s’embrasser.

“Je t’aime”, dit une de mes collègues à son nouveau-né quand elle apprend qu’elle a le Covid-19 et qu’elle doit se confiner à la maison.

“Je vous aime”, dit un ami urgentiste à sa famille avant que ses collègues ne l’intubent et fassent tout leur possible pour le tirer d’affaire – les émotions se bousculent et brisent l’aura d’invincibilité qui est souvent le propre des soignants.

— À lire sur www.courrierinternational.com/article/la-chronique-du-new-york-times-modern-love-en-premiere-ligne-de-la-pandemie-je-taime-veut

Classé sous :Blogcafé

1 mai 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La vigne au fil des jours

Depuis 6 semaines, les journées sont entrecoupées de sorties dans les environs.

Campagne et vignes sont au rendez-vous. Le temps est superbe à tel point que la sécheresse s’installe. Les travaux de la vigne continuent alors que nous déambulons jour après jour.

C’est aussi l’occasion de prendre des photos lors des différentes sorties. L’oeil s’attache à l’ensemble, puis au détail ou aux travaux des ouvriers tâcherons.

Lundi 20 avril : regard sur les montagne

En ce premier jour de la semaine, mon regard porte sur le paysage des montagnes avoisinantes. Le mur de vigne sert à fixer mon premier plan, la vigne, puis les montagnes forment les plans suivants.

Depuis la vigne, les montagnes. La Tour-de-Peilz (20.04.2020) #Hipstamatic #Jane #Inas1982 #TripleCrown

Jeudi 23 avril : travail dans la vigne

Au détour d’un virage, abordé évidemment très prudemment à pied, je découvre en contrebas, les ouvriers tâcherons en plein travail. Le soleil tape et le chapeau ou la casquette sont de rigueur.

Le travail de la vigne. La Tour-de-Peilz (23.04.2020) #Hipstamatic #Jane #Inas1982

Depuis que je passe sur ce chemin, j’ai toujours un moment d’arrêt sur cette maison de vigne. J’aime bien ces petites cahutes, même s’il celle-ci mériterait d’être un peu mieux entretenue. Ce jeudi-là, il est temps de l’immortaliser. Le ciel est si bleu.

Maison de vigne. La Tour-de-Peilz (23.04.2020) #Hipstamatic #Jane #Inas1982

Même si ces sorties sont agréables, le temps devient long, trop immobile pour être encore longtemps soutenable. Le manque d’action et d’espace pèsent chaque jour un peu plus.

Classé sous :Blogcafé, Diary

25 avril 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Écris, écris… et relis Dino Buzzati

Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti le besoin d’écrire, quasiment au quotidien, de manière libre sur tout et rien. Ecris, écris me souffle aussi Dino Buzzati. Et je le relis.

Crédit image : Pexels sur Pixabay

La dernière fois, c’était lorsque ma mère était en fin de vie. L’écriture me permettait d’atténuer ou d’exprimer ma douleur et mes désarrois. C’était il y a 16 ans. Déjà (pour rester poli).

Actuellement, certainement que la situation d’un relatif enfermement explique ce besoin. Vital. A nouveau.

Dans ces moments-là, je repense à Dino Buzzati qui s’efforçait à écrire tous les jours. Quitte à implorer son carnet d’écrire ne serait-ce que deux lignes.

Sur le moment, je repense plus particulièrement à son carnet “En ce moment précis”. Je redescends donc à ma cache au trésor livresque. Puis je m’aperçois que le court texte auquel je pense est dans « Nous sommes au regret de… » (p. 132). Le voilà, cher lecteur, ramené à pleine lumière :

Le salut

 

Ecris, je t’en prie. Deux lignes seulement, au moins cela, même si ton esprit est bouleversé et si tes nerfs ne tiennent plus. Mais chaque jour. En serrant les dents, peut-être des idioties dépourvues de sens, mais écris. L’écriture est une de nos illusions les plus ridicules et pathétiques. Nous croyons faire une chose importante lorsque nous traçons des lignes noires qui sur le papier blanc se contorsionnent. De toute façon, c’est là ton métier, que tu n’as pas choisi toi-même, qui t’a été attribué par le sort, c’est la seule porte par laquelle, éventuellement, tu pourras t’échapper. Ecris, écris. A la fin, parmi les tonnes de papiers à jeter, une ligne pourra être sauvée. (Peut-être).

Actuellement, au silence de la nuit s’est ajouté un certain silence de jour. Tout cela favorise des formes d’introspection.

Sûrement aussi qu’écrire témoigne d’être vivant et au monde.

Ne serait-ce qu’au travers d’un écran.

Il y a longtemps, me concernant, que le papier a laissé la place à l’écriture numérique. Cependant, lorsque je suis en route ou en voyage, j’emporte toujours un carnet papier comme carnet de bord. Et je trouve cela bien. Et alors je griffonne, maladroitement, mais je griffonne et je sens alors bien. Libre et vivant.

Dino Buzzati (1982). Nous sommes au regret de… Paris: Robert Laffont, 224 p.. Traduction de Siamo Spiacenti di (1975)

Classé sous :Blogcafé, Diary

24 avril 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

A l’écoute: I Don’t Wanna Lie par Yola

I Don’t Wanna Lie
Par Yola
De l’album Walk Through Fire (Deluxe Edition)

Listen on Spotify

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