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Lyonel Kaufmann blogue…

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Sur la route à moto avec un café

Test Tamron 17-28 mm f/2,8 Di III RXD, zoom ultra grand-angle pour hybrides Sony plein format

4 mars 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Après son 28-75 mm f/2,8 Di III RXD, Tamron revient avec le zoom ultra grand angle 17-28 mm f/2,8 Di III RXD pour monture Sony E. Est-ce que Tamron a encore une fois réussi à proposer une optique coup de coeur pour les hybrides Sony plein format ?

Source : Test Tamron 17-28 mm f/2,8 Di III RXD, zoom ultra grand-angle pour hybrides Sony plein format

Travelogues : Hôtel Shepheard, Le Caire, 1906

1 mars 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire


© Burton Holmes Historical Collection

Ne pas connaître la terrasse du Shepheard est un crime de lèse-société. Le voyageur qui n’a pas foulé le pavé carrelé de cette terrasse vaut à peine mieux qu’un casanier. Et la femme du monde qui n’a pas siroté un thé aux tables de cette terrasse ne peut voir approcher cinq heures sans honte.

Holmes, B. (2018). Travelogues. Le plus grand voyageur de son temps (1892-1952). Edité par Genoa Caldwell. Cologne: Taschen, p. 314-315

L’hôtel Shepheard (Wikipedia)


Façade de l’hôtel Shepheard dans les années 1920 . Crédit : Photographer of American Colony Photo Department or its successor, the Matson Photo Service. * Public domain

L’hôtel Shepheard (« Shepheard’s Hotel ») est un ancien hôtel situé au Caire , en Égypte , en activité des années 1840 à 1952 , date de son incendie. Un hôtel moderne est construit à proximité en 1957 .

Le travelogue de Burton en Égypte (1906)

Burton Holmes réalise son premier reportage en Égypte en 1906. Il considère ce voyage comme lui permettant de retourner aux débuts de l’histoire humaine et la vallée du Nil comme le berceau de notre civilisation.

Entrée du temple d’Abou Simbel, 1906. © Burton Holmes Historical Collection

L’aube se levait un matin de la fin février. Notre guide se tenait dans la grande entée, regardant dehors vers le Nil, au-delà duquel se dessinaient les collines orientales contre la lueur du jour naissant.

Pour lui, grâce aux Britanniques, l’Egypte de 1906 est à la hauteur de ses traditions magnifiques :

L’Egypte, avant l’arrivée des Anglais, était une terre d’anarchie et de misère. […]. Aujourd’hui, l’Egypte se tient droite et prospère […].

Les extraits permettent d’inscrire et replacer Burton Holmes dans la vision occidentale et sociale de son époque. Par ailleurs, la photographie du temple d’Abou Simbel est tout simplement et techniquement remarquable.

Réserve naturelle de la Sauge – dimanche 23.02.2020

29 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En ce dimanche 23 février, le temps est à l’éclaircie. L’occasion est belle de profiter de l’occasion pour découvrir la réserver naturelle de La Sauge du côté de Cudrefin et la rive sud-est du Lac de Neuchâtel.

C’est aussi l’occasion de tester l’adaptateur Novoflex permettant de fixer mes objectifs Pentax (monture K) sur mon Sony Alpha 7. Pour cette sortie, je prends mon objectif Tamron 70-300mm.

Nous logerons le canal et ses arbres majestueux. Le temps reste nuageux avec des éclaircies.

La forêt n’est jamais loin. La nature est en plein droit. 

Plus nous nous approcherons du bord du lac, plus le vent nous saisira. Par moment le ciel se déchirera.  

Il est possible de rejoindre la réserve par bateau depuis Morat ou Bienne (horaire). 

Au final, nous avons passé un agréable moment. La prochaine fois, nous irons de l’autre côté du canal et de la réserve du Fanel qui s’inscrit dans le prolongement de la réserve naturelle de la Sauge.

Informations relatives à la Réserve naturelle de la Sauge

La Réserve naturelle de la Sauge se situe entre Ins (BE) et Cudrefin (VD), sur la rive sud-est du lac de Neuchâtel, le long du canal de la Broye.

La réserve naturelle de Cudrefin est l’une des plus anciennes réserves naturelles de la Grande Cariçaie avec le Fanel voisin. C’est une réserve située entièrement sur territoire vaudois, sur la Commune de Cudrefin. Elle est surtout connue pour ses grands bancs de sable affleurants par basses eaux et qui accueillent de nombreux oiseaux nicheurs, hivernants ou en transit. Un haut-lieu de l’ornithologie en Suisse.

Le chemin traversant la réserve est d’usage mixte piétons et vélos, mais le chemin se résume parfois à un simple sentier. La priorité est aux piétons.

En traversant de l’autre côté du canal, vous avez également la réserve du Fanel qui accueille la plus importante colonie d’oiseaux d’eau nicheurs de Suisse.

En savoir plus: https://www.loisirs.ch/balades/1008/le-fanel

Loisirs.ch – Les bons plans romands pour toute la famille

Comme un air d’été indien en février…

21 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En ce vendredi après-midi de mi-février, un fourmillement imperceptible gagne mes poignets devant le soleil et la douceur de cette journée. Gaz… J’enfourche résolument CaptainAdventure. Moteur…
Pendant que les Fribourgeois partent en direction des stations de ski et que l’autoroute se congestionne depuis l’échangeur de Vevey, je remonte en direction de Bulle et du Lac de Gruyère pour une escapade de fin d’après-midi.
De 12 degrés à Vevey, les températures redescendent quelque peu en arrivant en Veveyse, puis en Gruyère. Cela reste néanmoins incroyablement doux pour la saison. Il n’est même pas nécessaire d’utiliser les poignées chauffantes.
Je sors à Rossens pour me diriger vers le lac de Gruyère et le barrage de Rossens. Ce sera mon premier arrêt photo.

Barrage de Rossens | Lac de Gruyère

Décidément mon Sony Alpha 7, récemment acheté d’occasion à un prix très raisonnable, répond à mes attentes.

Comme un air d’automne et d’été indien. Barrage de Rossens

Je remonte sur mon destrier et en direction de Pont-la-Ville, puis de La Roche. Avant d’arriver à La Roche, je mets la flèche à droite pour rejoindre le port de la Serbache.
Arrivé à destination, j’ai une impression de me retrouver dans les espaces canadiens. Une question de luminosité probablement.

Un air de grand espace | Port de la Serbache @ La Roche

Toujours est-il que la lumière est superbe à cette heure du jour.

Prêt à embarquer…

Muni de mon Alpha 7, j’en profite goulument.
Le jour descendant, je ne m’attarde cependant pas trop longtemps. Je sens le froid commencé à piquer. Je remonte donc sur CaptainAdventure pour prendre le chemin du retour. De belles images plein les yeux et mon boîtier.

Photos : Sony Alpha 7, objectif Sony Carl Zeiss Vario-Tessar T* FE 24-70mm f/4 ZA

Au marché du mardi @Vevey 18.2.2020

18 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Au marché de ce mardi, le temps incite à parcourir les étals des maraîchers et de profiter du soleil. La température reste encore fraîche. Il faudra attendre l’après-midi pour plus de chaleur.

Au marché de Vevey, mardi 18 février 2020

C’est aussi l’occasion de tester mes objectifs Pentax sur l’Alpha 7. Ceci est possible grâce à une bague adaptatrice de Novaflex. Le résultat est encourageant. La bague de Novaflex permet de contrôler l’ouverture des objectifs en monture A. La mise au point se fait elle manuellement. Simple et efficace. L’ensemble reste compact.

Photo prise avec un Sony alpha 7, objectif SMC Pentax-FA 50mm f/1.4

Photo du jour : L’appel du large @Vevey | 15.02.2020

16 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En cette nouvelle journée de février qui ressemble au printemps plus qu’à l’hiver, la Veveyse se jetant dans le Léman incite à répondre à l’appel du large ou pour le moins à se placer dans le soleil pour se placer dans la ligne d’horizon.

La Veveyse se jetant dans le lac Léman

La journée incite à la flânerie et à la méditation.

Et si l’hiver ne revenait pas…

Photo : Sony Alpha 7, objectif Sony FE 35mm 2,8 1/200, f/14.0, ISO100 ©Lyonel Kaufmann

Le tour du monde en 3 500 motardes

12 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ce samedi 15 février, Londres fêtera l’arrivée du Relais mondial des motardes (Women Riders World Relay). Bravant la grêle, les stéréotypes et les contrôles douaniers sur six continents, ces femmes ont donné envie aux bikeuses du monde entier de se mettre en selle.

Voir cette publication sur Instagram

🎉🏆🤩🥳 #WRWR2019 Final Event 🎉🏆🤩🥳 We have guests from over 50 countries attending our Final event on Saturday 15th February at @bikeshedmc so far!! What an incredible opportunity to meet your fellow Ambassadors, Guardians and women riders from cultures and countries from far and wide! HURRY...ONLY 50 TICKETS LEFT! > Link to event details in our bio < We are so excited to see everyone who can make it and hear the incredible stories from around the world! Love Team WRWR xxx 🏍️♥️

Une publication partagée par Women Riders World Relay WRWR (@womenridersworldrelay) le 23 Janv. 2020 à 12 :38 PST

Lasse de l’invisibilité des femmes dans le monde de la moto et des stéréotypes auxquels elles sont exposées, Hayley Bell, jeune femme de 28 ans originaire du Nord de l’Angleterre, lance son idée folle d’un relais mondial féminin sur Facebook en août 2018.

Depuis un an, ce tour du monde à moto féminin a rassemblé “plus de 3 500 femmes de 79 pays”, qui ont sillonné le globe en deux-roues, parcourant à elles toutes “plus de 100 000 kilomètres”.

Ces femmes roulent pour beaucoup de raisons. Les mêmes que les hommes, d’abord, remarque le New York Times : “Elles en tirent du plaisir, un sentiment de liberté et de détente, et elles communient avec la nature.” Mais aussi pour tisser des liens avec une communauté de femmes qui partagent leur passion.

Source : Le tour du monde en 3 500 motardes

Crédit photo : Sarah Abou-Saleh pendant le Women Riders World Relay à Dubai le 31 janvier 2020 The New York Times/Anna Nielsen

Crise de la natalité : où sont passés les bébés ?

8 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Depuis plusieurs décennies, la natalité recule dans de nombreux pays. Cette journaliste spécialisée dans les questions de genre et de reproduction analyse ce phénomène pour le New York Times et souligne que, si la baisse de la natalité traduit d’abord un progrès, elle témoigne aussi d’une faillite du capitalisme moderne, avec ses inégalités croissantes, son individualisme et son incapacité à régler la crise climatique. Extraits traduits.

La version actuelle du capitalisme globalisé et la chute de la natalité

« Notre version actuelle du capitalisme globalisé – à laquelle peu de pays et d’individus peuvent se soustraire – a généré une richesse choquante pour certains, et la précarité pour beaucoup d’autres. Ces conditions économiques génèrent des conditions sociales défavorables à la création de familles : Nos semaines de travail sont plus longues et nos salaires plus bas, ce qui nous laisse moins de temps et d’argent pour nous rencontrer, faire la cour et tomber amoureux. Nos économies, de plus en plus gagnantes, exigent que les enfants reçoivent une éducation intensive et coûteuse, ce qui crée une anxiété croissante quant au type de vie qu’un futur parent pourrait leur offrir. Le message de toute une vie nous oriente plutôt vers d’autres activités : l’éducation, le travail, les voyages.

Ces dynamiques économiques et sociales se combinent avec la dégénérescence de notre environnement d’une manière qui n’encourage guère la procréation : Les produits chimiques et les polluants s’infiltrent dans notre corps, perturbant notre système endocrinien. Chaque jour, il semble qu’une partie du monde habité soit en feu ou sous l’eau.

S’inquiéter de la chute des taux de natalité parce qu’elle menace les systèmes de sécurité sociale ou la force de travail future, c’est passer à côté de l’essentiel ; c’est le symptôme de quelque chose de beaucoup plus envahissant.

Il semble évident que ce que nous en sommes venus à considérer comme le « capitalisme tardif » – c’est-à-dire non seulement le système économique, mais aussi toutes les inégalités, les indignités, les opportunités et les absurdités qui l’accompagnent – est devenu hostile à la reproduction. Dans le monde entier, les conditions économiques, sociales et environnementales fonctionnent comme un contraceptif diffus, à peine perceptible. Et oui, cela se produit même au Danemark. »

Chine et Danemark, le même constat devant la montée du « workisme » et le déclin de la religiosité

« Lyman Stone, un économiste qui étudie la population, souligne deux caractéristiques de la vie moderne qui sont en corrélation avec une faible fécondité : la montée du « workism » – un terme popularisé par l’écrivain atlantique Derek Thompson – et le déclin de la religiosité. « Il y a un désir de faire du sens chez les humains », m’a dit M. Stone. Sans religion, l’une des façons dont les gens cherchent une validation externe est par le travail qui, lorsqu’il devient une valeur culturelle dominante, est « intrinsèquement réducteur de fertilité ».

Le Danemark, note-t-il, n’est pas une culture de bourreau de travail, mais est très laïque. L’Asie de l’Est, où les taux de fécondité sont parmi les plus bas du monde, est souvent les deux. En Corée du Sud, par exemple, le gouvernement a introduit des incitations fiscales à la procréation et a élargi l’accès aux crèches. Mais le « travail excessif » et la persistance des rôles traditionnels des hommes et des femmes se sont combinés pour rendre l’éducation des enfants plus difficile, et surtout peu attrayante pour les femmes, qui assument un deuxième poste à la maison.

La différence entre la vie dans le petit Danemark, avec son généreux système d’aide sociale et ses notes élevées en matière d’égalité des sexes, et la vie en Chine, où l’aide sociale est irrégulière et où les femmes sont victimes d’une discrimination généralisée, est énorme. Pourtant, ces deux pays connaissent des taux de fécondité bien inférieurs aux taux de remplacement.»

Le devenir de la planète : reproduction et durabilité de l’environnement

« La crise de la reproduction se cache dans l’ombre, mais elle est visible si on la cherche. Elle se manifeste chaque année par un nouveau creux dans les taux de natalité. (…)

Les conversations sur la reproduction et la durabilité de l’environnement se sont longtemps chevauchées. Thomas Malthus craignait que la croissance démographique ne dépasse l’offre alimentaire. Les années 1970 ont vu l’émergence de l’écoféminisme. Depuis les années 1990, les groupes de défense de la justice en matière de reproduction cherchent à obtenir une meilleure planète pour tous les enfants. Aujourd’hui, les BirthStrikers désavouent la procréation « en raison de la gravité de la crise écologique ».

Si la catastrophe climatique a ravivé des éléments du discours insidieux sur le contrôle de la population, elle a également suscité une nouvelle vague d’activisme, née de la compréhension de la profondeur des liens entre ces composantes fondamentales de la vie – la reproduction et la santé de la planète – et de l’action collective nécessaire pour les maintenir.

(…)

Ces relations, entre nous et le monde naturel, et entre nous et les autres, témoignent de l’interdépendance que la logique capitaliste voudrait nous faire renier.

La reproduction est le signe ultime de l’interdépendance. Nous dépendons d’au moins deux personnes pour nous rendre possibles. Nous gestons à l’intérieur d’un autre humain, et nous émergeons avec l’aide de médecins ou de doulas ou de parents. Nous grandissons dans des environnements et des communautés qui façonnent notre santé, notre sécurité et nos valeurs. Nous devons trouver des moyens concrets de reconnaître cette interdépendance et nous résoudre à la renforcer. 

(,,,)

En réfléchissant aux dons immatériels que j’aime à penser que j’ai hérités de (mon père), il est devenu évident que j’avais besoin d’une continuité génétique, aussi fictive et ténue soit-elle. J’ai alors reconnu quelque chose de précieux et d’inexplicable dans cette aspiration, et j’ai entrevu combien il pouvait être dévastateur de ne pas pouvoir la réaliser. Pour la première fois, je me suis sentie justifiée dans mon impulsion de préserver un petit morceau de moi qui, d’une certaine manière, contenait un petit morceau de lui, qui pourrait un jour revivre.»

Anna Louie Sussman est une journaliste qui écrit sur le genre, la reproduction et l’économie.

-À lire : Something is stopping us from creating the families we claim to desire. But what?

Roadtrip : Balade interactive Harry Potter | Londres 1er février 2020

8 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En ce samedi matin post-Brexit, notre première partie de journée débute par une balade interactive dans le Londres d’Harry Potter.

Nous avons rendez-vous à 10 heures pour un parcours pédestre de 2 heures trente1. La visite est en français. Le lieu de rendez-vous est au Palace Theatre. Le théâtre est situé à l’intersection entre Charing Cross Road et Shaftesbury Avenue.

Ce lieu de rendez-vous ne doit rien au hasard, car c’est dans ce théâtre que sont données les représentations de Harry Potter and the Cursed Child. Une pièce de théâtre en deux parties de deux fois trois heures (!) narrant les aventures du fils d’Harry Potter à Poudlard.

Palace Theatre : lieu de départ de la balade interactive Harry Potter

L’action de la pièce se déroule dix-neuf ans après les évènements du livre Harry Potter et les Reliques de la Mort et suit les aventures de Harry Potter, âgé de trente-sept ans et désormais employé au ministère de la Magie, et de son plus jeune fils, Albus Potter, l’année de son entrée à Poudlard où il sera le premier Potter à intégrer la maison Serpentard. A Poudlard, le meilleur ami d’Albus Potter n’est autre que Scorpius Malefoy, le fils de Drago Malefoy ! Voilà qui ne manque pas de piquant et réserve très certainement quelques belles surprise. La pièce est jouée à Londres depuis juillet 2016.

La librairie ésotérique la plus ancienne et la plus grande de Londres, depuis 1893. Un must pour les fans d’Harry Potter

Nous partons donc ce lieu en compagnie de notre guide Florine qui se révèlera parfaite. Nous formons un groupe de 15 personnes. Nous commençons par tirer au sort une care qui nous réparti dans les quatre maisons de Poudlard. Durant le parcours, nous aurons répondre à des questions de quizz gagner des points et déterminer la maison gagnante. Ce jeu plaira tout particulièrement aux plus jeunes participants de cette balade.

Notre parcours comprend deux trajets à métro et se terminera à King Cross Station devant l’entrée présumée du quai 9 3/4.

Probablement la rue la plus étroite de Londres.

Outre le fait que nous découvrons des lieux de tournage des films d’Harry Potter, nous découvrons des rues de Londres et des anecdotes que nous aurions bien de la peine à trouver nous-mêmes.

Trafalgar Square

En réservant à l’avance (environ une semaine à l’avance, annulable), vous réaliserez cette visite pour moins de 10 francs par participant.e2, auquel il faut ajouter le prix des billets de métro et le pourboire plus que mérité à votre guide. C’est une manière des plus originales de parcourir Londres.

Je ne peux donc que vous recommander cette expérience.

Une belle, mais froide, journée.

Pour réserver votre parcours, vous pouvez passer par TripAdvisor ou par le site viator.

Sur le Millenium Bridge

Après ce parcours de près de trois heures, nous prendrons le temps de nous poser et de nous restaurer. Puis ce sera un après-midi schopping à Oxford Street et de début de soirée à Covent Garden avant de rentrer à notre hôtel.

NB : il n’y a pas de placement de produits et les billets ont été dûment payés de notre poche.

  1. Dans les faits, nous mettrons près de trois heures. Notamment en raison des arrivées tardives de certain.e.s participant.e.s, le temps de passage au métro (certains n’avaient pas de billets de métro), de l’affluence du samedi et de l’intérêt des participant.e.s aux intéressantes explications de Florine, notre guide. ↩
  2. Visiblement, le prix de la visite est fixé selon les jours de votre balade et à la manière d’EasyJet (plus vous réservez à l’avance, moins chers vous payez). ↩

« Illuminated River » à Londres

2 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La Fondation Illuminated River inaugure à Londres un projet de grande ampleur qui prévoit la mise en lumière de 14 ponts qui enjambent la Tamise, entre Tower Bridge et Albert Bridge, et ce, pour les 10 années à venir. Les ponts sont illuminés grâce aux dernières technologies LED. Les illuminations présentent de subtils nuances de violet, de bleu et d’orangé. Sur près de 4 km, voici sans doute la plus grande, et la plus longue œuvre d’art de Londres !

Le projet se déploie en plusieurs phases. Dès l’été 2019, 4 ponts ont été mis en lumière : le London Bridge, le Millennium Bridge, Cannon Street Bridge et le Southwark Bridge.

Nous avons donc pu en profiter lors de notre séjour de fin janvier-début février. C’était un peu moins impressionnant que prévu plus particulièrement le Millenium Bridge, mais la balade nocturne le long de la Tamise vaut le détour.  

A partir de l’automne 2020, 5 autres ponts seront illuminés : Blackfriars Road Bridge, Waterloo Bridge, Golden Jubilee Footbridges Bridge, Westminster Bridge et Lambeth Bridge.

Le projet a été conçu par l’artiste new-yorkais Leo Villareal et le cabinet d’architectes Lifschutz Davidson Sandilands.
Dates indicatives.

Quand : du 17 juillet 2019 au 31 janvier 2021 
Site internet : Illuminated River https://illuminatedriver.london 

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