Créateur du bouton like de Facebook, dont il a reconnu le fonctionnement addictif, Justin Rosenstein compare même Snapchat à une drogue, l’héroïne. Face à ces machines de guerre économique, comment les adolescents réussissent-ils à préserver l’authenticité de leurs relations amicales ? Comment parviennent-ils à protéger leur vie privée et la civilité de leurs échanges ?
— À lire sur theconversation.com/les-amities-des-adolescents-sont-elles-hackees-par-les-reseaux-sociaux-127882
En avril 2018, Fujifilm a annoncé l’abandon de son très apprécié film Acros 100. Un an après, Fujifilm revient avec son nouveau film Neopan 100 ACROS II. Il sera disponible au Japon dès le 22 novembre 2019 en 35mm et 120 formats.
— À lire sur www.lense.fr/news/minute-argentique-fujifilm-neopan-acros-ii/
Ouverture du « rideau de fer » lors du pique-nique européen de Sopron, à la frontière austro-hongroise, le 19 août 1989. Tamás Lobenwein/Paneuropean Picnic’ 89 Foundation
Trente ans plus tard, la fête n’est plus aussi belle que le 9 novembre 1989 quand est tombé le mur de Berlin sous la pression des Berlinois de l’Est venus vérifier s’il était bien « ouvert » comme venait de le déclarer, lors d’une conférence de presse, le porte-parole nouvellement nommé du SED (le parti communiste au pouvoir en RDA), Günter Schabowski. Pour autant le tableau est-il forcément négatif ?
Une nouvelle naked 900 sous la barre des 10000 francs chez BMW. Et ça c’est nouveau et intéressant…
Sur la même base moteur que la voyageuse F 900 XR, la F 900 R vient compléter la famille des F de manière esthétique affirmée et sportive. La machine offre un twin plein de pep délivrant 105 chevaux, un écran couleur et la connectivité, pour 9900 francs. Et plein d’équipements en option (payante).
— À lire sur www.actumoto.ch/2019/11/06/une-nouvelle-naked-900-sous-la-barre-des-10000-francs-chez-bmw/
Alors que la première édition de Ludovia#BE débute mardi soir, je décolle ce samedi pour Bruxelles à l’invitation de François Jourde, merci à lui !
L’embarquement à Genève-Aéroport se déroule dans les règles et d’une rapidité tout à l’honneur d’EasyJet. A 9h20, tout le monde est installé pour un vol prévu à 9h30.
Prêt à embarquer
Le temps est magnifique en ce début de journée. La journée promet d’être sympa dans la capitale belge et européenne.
Finalement, le brouillard s’est installé et a retardé le décollage. Normalement, nous aurons environ 30 minutes de retard.
C’est l’occasion de lire le magazine proposé par EasyJet et de découvrir comment ne pas être un touriste (même si effectivement nous en sommes un).
Parmi les recommandations, je me retrouve particulièrement dans la troisième proposition : apprendre à se perdre et sortir des sentiers battus :
Et surtout, je ne prends pas de selfie :
Légèrement décalé en plus dans le magazine de la compagnie d’aviation qui a totalement bouleversé le tourisme de masse en Europe. Ainsi, si tout le monde suivait leurs recommandations (ou du moins tous les passagers volant avec EasyJet), prendre des selfies deviendrait « untouristic », n’est-il pas? Heureusement, il reste une sacrée marge !
A l’atterrissage, le temps est également ensoleillé et nuageux à la fois. Je retrouve rapidement mes marques et prend la direction de la gare ferroviaire. Objectif, la gare centrale de Bruxelles (une des trois gares de Bruxelles desservie depuis l’aéroport). A la gare centrale, je prends une consigne pour m’alléger.
Il est alors temps de débuter ma visite « untouristic » de Bruxelles tout en retrouvant le centre historique et touristique de Bruxelles. Sacré gageure. En avant !
Gare du Nord, une des trois gares bruxelloises desservies depuis l’aéroport
A proximité de la gare centrale, me dirigeant du côté de la Grande Place, je découvre cette ancienne mercerie. So Cut :
Vieille mercerie vers la Gare centrale
Je traverse ensuite les galeries royales datant de 1847, puis je rejoins la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule, monument imposant et fort visité. Différents monuments ou plaques agrémentent cette cathédrale. Ces éléments offrent une histoire de l’élite belge tel un monument consacré à 1914-1918 et composé uniquement de membres de la noblesse ou de la bonne bourgeoisie. Une autre frise, cachée par des chaises empilées, commémore Jean Ier de Brabant.
Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule
Mais c’est la plaque de repentance concernant les fausses accusations datant de 1370 contre la communauté juive que je vous propose dans le cadre de cette visite « untouristic ». Il aura quand même fallu attendre trois cents ans pour des excuses !
Il était temps…
Je flâne ensuite et parvient devant l’entrée/sortie des artistes du Théâtre de la Monnaie. Et hop une photo dans l’action où je profite de la sortie inopinée d’un visiteur.
Théâtre de la Monnaie
Après avoir fait ma pause déjeuner, je découvre la place des Martyrs de la Révolution belge de 1830. Profitant des rayons du soleil, un homme étendu et dormant un peu comme le dormeur du Val fait office de martyr du 21e siècle.
Place des Martyrs
Au Marché aux herbes, j’écoute deux musiciens de rue et saisi à la fois une partie de la foule qui écoute et la file des clients pour la friterie Tabora.
Marché aux herbes
Rue Beurre, je ne peux m’empêcher de prendre en photo la rose accompagnant le trio de la fontaine.
Place du Beurre
Il m’est difficile ensuite, à la Grand Place/Hôtel de Ville de trouver un angle particulier pour photographier la place noire de touristes.
Grande Place/Hôtel de Ville
Puis j’oblique en direction de la Rue de l’Etuve (Manneken Pis) où je préfère photographier la foules de ces admirateurs plutôt que la statue elle-même. Il est à noter que désormais le Manneken Pis est concurrencé au niveau des photos par le café attenant qui a accroché des vélos multicolores à sa façade.
Rue de l’Etuve (Manneken Pis)
En rejoignant le boulevard Anspach, je profite pour prendre un peu de végétation.
Vous reprendrez bien un demi !
Puis un rare exemple de Street Art au centre ville.
Bruxelles Street Art
Le boulevard Anspach lui-même me séduit par sa revitalisation en espace de vie et de nature recomposée.
Boulevard Anspach requalifié
Je termine mon parcours du jour par la Halle Saint-Géry, remise au goût du jour et dans un quartier désormais fort animé.
Halle Saint-Géry
En remontant vers la gare centrale pour récupérer mes affaire, je découvre ce magasin de vinyles d’occasion. Trop bien.
The Collector
Ce sera ma dernière photo du jour pour ce parcours untouristic. A suivre…