Sélection des photographies prises lors de notre séjour au Canada en octobre 2018.
Canada 2018
Sélection des photographies prises lors de notre séjour au Canada en octobre 2018.
L’écran populaire – La Vie des idées
L’enquête menée par Olivier Masclet renoue avec l’objectif fixé par G. Friedmann dans les années 1960 de décrire la « télévision vécue ». Il cherche à comprendre comment les usages que font de la télé les familles populaires modifient ou non leur identité sociale, transforment leurs styles de vie et donnent forme à leur rapport au monde. Pourquoi Karine, femme au foyer et sans diplôme, préfère-t-elle Cristina Yang à Meredith Grey qui est pourtant l’héroïne principale de la série Grey’s Anatomy ? Pourquoi, au lieu de s’identifier à la première, tout entière orientée vers l’altruisme, se sent-elle plus proche de Cristina, virile, ambitieuse et sans pitié, « cash et rentre-dedans » ?
Analysant les transformations profondes qui travaillent notre société et plus particulièrement les catégories populaires, cette enquête qualitative sur les pratiques télévisuelles de huit familles apporte des connaissances inaccessibles à une enquête statistique puisqu’elles relèvent du rapport intime de personnes avec des émissions, des personnages, des divertissements privés. Mais ses résultats s’accordent parfaitement avec les enquêtes à grande échelle réalisées sur les fractures sociales qui traversent les catégories populaires, opposent les stables et les instables, etc.
À propos de : Olivier Masclet, L’invité permanent, la réception de la télévision dans les familles populaires, Armand Colin, 2018, 272 p., 24 €. Recensé par Christian Baudelot, « L’écran populaire », La Vie des idées , 2 janvier 2019. ISSN : 2105-3030. URL : http://www.laviedesidees.fr/L-ecran-populaire.html
-À lire : L’écran populaire – La Vie des idées
You’re the sunshine of my life…
Au-dessus du brouillard – Les Pléiades
Premier jour de l’année, alors que depuis plusieurs jours le stratus s’est installé en plaine, c’est l’occasion d’aller au-delà du plafond de verre pour retrouver le soleil.
À ce titre, à quelques encablures du Lac Léman, les Pléiades sont un lieu parfait d’excursion. On y accède en voiture, pas jusqu’au sommet, mais pas trop loin, ou directement en train soit depuis Vevey, soit Blonay.
Une belle terrasse vous y attend. L’accueil est très professionnel et sympathique. Vous y admirerez la mer de brouillard juste au-dessous de vous. L’intérieur du restaurant est aussi très sympathique.
Vous pouvez également choisir de vous hisser au sommet. Vous y trouverez suffisamment d’espace pour pique-niquer ou simplement profiter du panorama.
Vision HD et 4K garantie. A user sans aucune modération.
Photos prises avec un Ricoh GRII.
Première photo 2019 . . #Hipstamatic
Protégé : Chronique nocturne #3
L’envol – Lausanne Lumières 2018
Notre promenade urbaine 2018 réalisée dans le cadre de Lausanne Lumières.
Pont Bessières. Le dessin créé par Ralf Westerhof représente un oiseau blanc prenant son envol. En tant que symbole, il peut être utilisé dans différents contextes, les symboles les plus courants étant la liberté et la paix.
Dancing Grass – Lausanne Lumières 2018
Notre promenade urbaine 2018 réalisée dans le cadre de Lausanne Lumières.
Toit végétal des T.-L. Dancing Grass, à différentes hauteurs, tantôt debout, tantôt contre le vent, tout en se mélangeant pour former un terrain gazonné.
Cela ressemble à Lausanne où diverses personnes vivent en harmonie. Lorsque l’herbe rougeoyante se déplace avec le vent et des mouvements artificiels, elle imite un terrain d’herbe en danse.
Double Jeu – Lausanne Lumières 2018
Notre promenade urbaine 2018 réalisée dans le cadre de Lausanne Lumières.
Le projet met en valeur les arcades sud de l’église Saint-François. Cette dernière étant, avec la Cathédrale, la seule église médiévale conservée à Lausanne, l’installation joue avec cet héritage en utilisant une typologie d’éclairage d’une autre époque: le shed. Grâce à son dispositif à deux pans, il permet un double-jeu, selon le sens de cheminement.
Installé pour la première fois lors de l’édition 2017 du Festival, cette œuvre est ensuite devenue pérenne à la demande de la Ville. Depuis plus d’une année, elle illumine les arcades sud de l’église Saint-François pour le bonheur des visiteurs du Festival et des Lausannois.