Quand bière, histoire et politique font bon ménage… #miseenabime #Lausanne #cafégrancy #Chevallaz

Tout simplement magnifique :
Françoise Hardy va mourir. Le plus tard possible, on l’espère, mais ce jour-là les radios, les télés et les réseaux sociaux auront l’embarras du choix quant aux chansons crépusculaires, aux chants de départ que la chanteuse aura pris le soin de disperser depuis quelques années, peut-être pour conjurer le sort, en tout cas pour signaler explicitement ses adieux – heureusement toujours reportés.

Le thème de la photo du mois Contraste(s), a été choisi par Philisine Cave (http://jemelivre.blogspot.fr/). La note de l’auteur-e :
on peut interpréter le mot sur la forme (son sens photographique : propriété intrinsèque d’une image qui quantifie la différence de luminosité entre ses parties claires et sombres) ou sur le fond (deux éléments de l’image pourraient symboliser une opposition: la présence de l’un fait ressortir celle de l’autre) ou bien sur les deux ou bien sur tout autre chose (le mot Contrastre autorise plein de métaphores). Voilà, voilà! A vous de jouer!
Mon interprétation du thème :

Celle des autres participant.e.s :
Akaieric, Alexinparis, Amartia, Angélique, Aude, Betty, BiGBuGS, Blogoth67, Cara, Carolyne, Chat bleu, Chiffons and Co, Christophe, Cricriyom from Paris, Céline in Paris, Danièle.B, DelphineF, El Padawan, Escribouillages, Eurydice, François le Niçois, Frédéric, Gilsoub, Gine, Giselle 43, J’habite à Waterford, Jakline, Josette, Josiane, Julia, Kellya, Krn, La Fille de l’Air, La Tribu de Chacha, Lau* des montagnes, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Lilousoleil, Lyonelk, magda627, Magouille, Mamysoren, Marie-Paule, Mirovinben, Morgane Byloos Photography, Nanouk, Nicky, Pat, Philae, Philisine Cave, Renepaulhenry, Sandrin, Sous mon arbre, Tambour Major, Who cares?, Xoliv’, écri’turbulente.

Ce dimanche, après la visite de la très chouette exposition temporaire du Musée historique de Berne consacrée aux mouvements autour de 1968 en Suisse, nous en avons profité pour flâner dans la ville de Berne aux alentours du Palais fédéral et de découvrir la patinoire implantée juste devant le Palais fédéral.

Pour mon compte-rendu de l’exposition du Musée historique de Berne : L’exposition «1968 Suisse» | Musée d’histoire de Berne (16.11.2017 au 17.06.2018)

Osons la question: à quoi peut bien servir une librairie aujourd’hui? A priori, à rien. Vous êtes pris d’une envie de livre? Un simple clic sur Internet peut la satisfaire: sous 24 heures, il est dans votre boîte aux lettres. Mieux, vous pouvez l’avoir immédiatement en version numérique.
C’est un petit livre de 23 pages paru en Angleterre en 2014 – et pas encore traduit en France à notre connaissance – qui nous révèle à quoi peut servir une librairie dans un tel contexte.
Il s’intitule The UnknownUnknown. Il est signé Mark Forsyth*. Le titre est une allusion à une citation de Donald Rumsfeld – oui, le Secrétaire de la Défense de George W. Bush himself. Embourbé qu’il était dans le scandale de la guerre en Irak et afin de justifier le bien-fondé des frappes militaires, il avait donné aux journalistes un cours improvisé d’épistémologie. Il avait partagé le savoir humain en trois grandes catégories: le « connu connu », ces choses que l’on sait que l’on sait (par exemple, je sais qu’Umberto Eco a écrit le Nom de la Rose, que Marignan a eu lieu en 1515…) ; le « connu inconnu », c’est-à-dire, les choses que l’on sait ne pas savoir (comme le fait que je sais pertinemment que j’ignore le chiffre exact de la population de la Tanzanie, ou comment on dit « merci » en japonais…); et, enfin, « l’inconnu inconnu », ces choses que nous ne savons pas ne pas savoir (et dont je ne pourrais donner aucun exemple puisque précisément j’ignore que je l’ignore)
Ce troisième continent – appelons-le la terraincognitaincognita – est un continent immense. Infini même. Et contrairement à ce que l’on croit il nous demeure inaccessible via Internet. C’est le point aveugle de notre ordinateur ou de notre smartphone.
Lire la suite : Pourquoi nous avons encore besoin des librairies à l’heure d’Internet

*Mark Forsyth The Unknown Unknown: Bookshops and the Delight of Not Getting What You Wanted (Icon, 2014)

dans la joie et l’allégresse , événements publics , ou familial , les réjouissances en tout genre ne manquent pas dans une année Allez hop : soyons fou
Mon interprétation du thème :

Interprétation, je l’avoue, un peu décalée du thème. Après les Festivités de fin d’année, c’est l’heure des résolutions, notamment celles prises à la suite des excès de table lors de ces dernières.
L’autre raison de la prise de cette photo, c’est évidemment la référence faite par cette publicité aux affiches de la première campagne de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. C’était alors la fête. Depuis un an, on a plutôt la gueule de bois.
Celle des autres participant.e.s :
Akaieric, Alexinparis, Amartia, Angélique, Aude, Betty, BiGBuGS, Blogoth67, Bubble gones, Cara, Carolyne, Chat bleu, Chiffons and Co, Christophe, Cricriyom from Paris, Céline in Paris, Danièle.B, DelphineF, El Padawan, Escribouillages, Eurydice, François le Niçois, Frédéric, Gilsoub, Gine, Giselle 43, J’habite à Waterford, Jakline, Josette, Josiane, Julia, Kellya, Krn, La Fille de l’Air, La Tribu de Chacha, Lau* des montagnes, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Lilousoleil, Lyonelk, magda627, Magouille, Mamysoren, Marie-Paule, Memories from anywhere, Mirovinben, Morgane Byloos Photography, Nicky, Pat, Philae, Philisine Cave, Pilisi, Renepaulhenry, Sandrin, Sous mon arbre, Tambour Major, Ventsetvoyages, Who cares?, Wolverine, Xoliv’, écri’turbulente.

Depuis la révolution ukrainienne de 2014 et près de 25 ans après le démantèlement de l’URSS, le gouvernement en place cherche à effacer tous les symboles de l’ancien régime communiste.
Témoins des manifestations de la place Maïdan, Niels Ackermann et Sébastien Gobert sont partis à la recherche d’un des principaux symboles du passé communiste : les statues de Lénine. Pendant deux ans, le duo photographie près de 70 statues et recueille autant d’entretiens avec leurs gardiens ou propriétaires. Cette série se déploie aux yeux du spectateur à la manière d’un documentaire-inventaire, dans lequel se mêlent clichés et témoignages insolites.
Cette exposition a été a été réalisée en partenariat avec la Fotostiftung Schweiz. En 2017, elle a été présentée aux Rencontres d’Arles et a fait l’objet d’une publication éditée aux éditions Fuel Publishing (les éditions Noir sur Blanc pour la version française).

Photoreporter pour la presse suisse et internationale. Ses reportages en Ukraine lui ont valu de nombreuses distinctions dont le Swiss Press Award. Niels Ackermann a participé au Grand Prix Images Vevey 2007/2008. Sébastien Gobert vit en Ukraine depuis 2011, où il est correspondant pour Le Monde diplomatique, Libération et Radio France internationale.
Vernissage public le 24 janvier à 18h30
Exposition à voir jusqu’au 4 mars
ENTREE LIBRE
Je-Ve : 17h-19h / Sa-Di : 14h-18h
Informations : https://www.images.ch/fr/espace-quai1/expositions/niels-ackermann_sebastien-gobert/
