Son petit ami refuse de l’emmener en roadtrip, elle le plaque et s’en va seule à moto de l’Alaska à l’Amérique du Sud
via Roadtrip : 30.000 km en solitaire pour cette motarde — Le Repaire des Motards – A la Une
Son petit ami refuse de l’emmener en roadtrip, elle le plaque et s’en va seule à moto de l’Alaska à l’Amérique du Sud
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La conseillère aux Etats Pascale Bruderer a affirmé, mercredi soir à la télévision alémanique, vouloir limiter la présence des jeunes au sein de la direction du parti.
Si je parlais de la nuit. De ce moment unique parmi les autres. De cette douceur infinie qui nappe l’espace d’une qualité de silence inégalée.
Cette dernière est possible, car seul le sommeil des justes raisonne dans les maisonnées endormies.
Tu écoutes alors sur ta platine de mêmes égarés à la poursuite des étoiles.
Tu t’enfonces dans ton canapé. Tu lis un roman ou les Inrocks. T’es alors invincible… il reste encore quelques heures avant le retour de la lumière. Rien ne presse pourtant.
Guitare-voix/piano-voix : rien ne vaut une guitare-voix ou un piano-voix pour accompagner les débordements nocturnes moelleux. Ces moments où tu écoutes les bruissements imperceptibles du monde.
Tu reviens sur ta journée. Pas mal. Tu te souviens de cette île, qui n’en fut pas toujours une, née de la volonté de l’homme de faire barrage, au sens électrique du terme : l’île d’Ogoz.
La fureur pourrait, elle, bien revenir alors que l’on commémorait ce week-end le centenaire de l’offensive au Chemin des Dames.
Seuls les artistes paraissent se rappeler l’horreur, la folie humaine et la boucherie qui en résulta. Amnésiques en chef, D. Trump et son vice-président jouent les gros bras face à la Corée du Nord qui procède, elle, de même.
Ils jouent cyniquement avec nos vies. Plastronnent comme des starlettes à la montée des marches du Festival de Cannes. Les abrutis!
Il reste, pour ceux qui le peuvent, à se réfugier dans un précieux et infini amour. Ne bouge pas mon amour, dors, profite de cette accalmie du monde. Je veille encore un peu sur les bruissements du monde avant de venir me réchauffer tout contre toi.
Depuis le temps que l’île d’Ogoz nous narguait depuis le viaduc de Gruyère, il était plus que temps de lui rendre visite en ce lundi de Pâques. Et nous n’avons pas été déçus.
C’est entre soleil et nuage que nous arrivons à destination. Le temps de nous parquer, nous suivons ensuite le chemin dégagé dans les champs. Nous rejoignons le rivage. La lumière est belle.
L’autoroute n’est jamais loin soit on entend le bruit des voitures, soit le viaduc s’inscrit majestueusement dans le paysage. Une belle intégration.
Sur place, on hésite entre les couleurs des prairies irlandaises et les forêts canadiennes. La lumière de l’eau du lac n’est, elle, pas sans faire penser aux Caraïbes. Mais nous sommes bien en Gruyère. Le dépaysement est garanti pour un prix plus que raisonnable.
Les vestiges de la cité médiévales et de ces deux châteaux n’est accessible à pied depuis le rivage qu’au printemps.
Trêve de plaisanterie, il s’agit maintenant de rejoindre l’île accessible par une étroite bande caillouteuse. Après avoir rejoint l’île nous admirerons le paysage depuis les hauts d’une des deux tours, puis nous rejoindrons le rivage.
Au retour, nous passerons par la lisière d’un cordon boisé. Dans un dernier regard nous embrassons le décor.
Quelques informations sur l’île et les vestiges :
Sources :
À travers, choisi par KK-huète En Bretannie (http://www.kkhuete-en-bretannie.fr/)Note de l’auteur-e :
découvrir, voir, remarquer, passer à travers … tout ce qui peut se faire à travers
Mon interprétation du thème :
Mosquée-cathédrale de Cordoue, également connue sous son ancien nom de grande mosquée de Cordoue (Mezquita de Córdoba) et sous son nom ecclésiastique officiel de cathédrale Notre-Dame de l’Assomption (Catedral de Nuestra Señora de la Asunción). Février 2017.
L’interprétation des autres participant-e-s :
Akaieric, Alban, Alexinparis, Amartia, Angélique, Aude, Autour de Cia, BiGBuGS, Blogoth67, Brindille, Calamonique, Carolyne, Chat bleu, Chiffons and Co, Christophe, CécileP, Céline in Paris, Danièle.B, DelphineF, E, El Padawan, Escribouillages, Eurydice, Evasion Conseil, François le Niçois, Frédéric, Gilsoub, Gine, Giselle 43, J’habite à Waterford, Je suis partie voyager, Josette, Josiane, Kellya, KK-huète En Bretannie, Krn, La Fille de l’Air, La Suryquoise, La Tribu de Chacha, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Lilousoleil, Luckasetmoi, Lyonelk, magda627, Mamysoren, Mirovinben, Morgane Byloos Photography, Nanouk, Natpiment, Nicky, Pat, Paul Marguerite, Philae, Philisine Cave, Pichipichi Japon, Pilisi, Renepaulhenry, Sous mon arbre, Tambour Major, Testinaute, The Beauty is in the Walking, Tuxana, Who cares?, Xoliv’, écri’turbulente.
Cinq ans durant, la France fut, sans s’en apercevoir, une « peuplade sauvage du Paraguay ». C’est Patrick Rambaud qui l’écrit, en citant les travaux menés dans les années 1970 par l’ethnologue Pierre Clastres sur les Indiens Guayaki, tribu primitive où le chef est celui qui parle, peu importe ce qu’il a à dire. Ainsi François Hollande s’exprima-t-il beaucoup durant son quinquennat, mais pour ne pas exprimer grand-chose, raille l’écrivain dans cette nouvelle Chronique.
Pour camper le toujours chef de l’Etat, Rambaud a trempé sa plume dans le même vitriol que celui avec lequel il a peint la présidence de Nicolas Sarkozy. De François le Simplet, il fait un monarque sans épaisseur qui se complaît dans le « flou, cet état cotonneux et mol ». Que Hollande se console : il n’est pas le seul à se faire habiller pour l’hiver.
Attaché à n’omettre aucun événement de cette seconde partie de quinquennat (les attentats parisiens et niçois, la crise des migrants comme l’affaire du « burkini »…), Rambaud n’en dézingue pas moins la classe politique dans son ensemble. Il nous apprend, ainsi, qu’Emmanuel Macron a déjà existé sous les traits d’un préfet du prétoire romain, Naevis Sertorius Macro, l’assassin possible de l’empereur Tibère.
Sa description la plus caustique est toutefois réservée à François Fillon, reconnaissable à son « allure maladroite de Mister Bean, avec des sourcils fournis comme ceux de Groucho Marx [qui], cela prêtant à sourire, rassurait ». La charge a été écrite avant les révélations du Canard enchaîné. Frédéric Potet | Le Monde
Source : Art de la fugue et de la satire : notre sélection livres
Le photographe Robert Darch invoque cette citation du formidable roman, La Route, de Cormac McCarthy, pour dépeindre l’atmosphère qu’il a créé à travers « The Moor ». Ces représentations intemporelles de la lande anglaise construisent un récit dystopique. Dans la lande, il ne semble plus y avoir de limite entre la réalité et l’imaginaire; plus de frontières entre le présent et le futur.
Source : http://www.fisheyemagazine.fr/2017/03/19/dans-la-semaine-de-fisheye-du-13-mars-au-20-mars/