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Lyonel Kaufmann blogue…

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Sur la route à moto avec un café

Films&Histoire

Retrouver 14-18 : cent ans de cinéma vus par Laurent Véray | Slate.fr

19 décembre 2014 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Il s’agit du troisième volet d’un grand entretien de Slate (et Non-fiction.fr) avec Laurent Véray, professeur d’études cinématographiques et audiovisuelles à l’université Paris III, portant sur le cinéma «de» et «sur» la Grande Guerre.

Infanterie australienne équipée de masques à gaz / Frank Hurley via Wikimedia (domaine public)

L’époque de la Grande Guerre a été l’occasion de la mise en place d’un modèle du «film de guerre», d’un dispositif cinématographique pérenne qu’on retrouve jusque dans la production contemporaine. Sur le fond aussi, 14-18 constitue un objet cinématographique récurrent, souvent retravaillé, notamment dans les deux dernières décennies. Au-delà de ces continuités, quelles sont les grandes ruptures de cette histoire des films «sur» 14-18, après les films «de» 14-18?

Laurent Véray – Sur le temps long, on observe effectivement un grand écart entre les films sur 14-18 réalisés sur le moment et postérieurement. Les éléments psychologiques –la difficulté du retour, la peur, l’angoisse des soldats au combat– se développent après la guerre, puisque pendant le conflit, les personnages sont dans des postures héroïques plus conformes aux ambitions patriotiques de la plupart des films de cette époque, dans lesquels mourir est presque un honneur très vite récompensé. Et plus généralement, tandis que les films du début du XXe siècle tendaient à glorifier la mort, les films plus récents font souvent des héros des victimes. Les soldats sont des hommes brisés, anéantis par la guerre, ce sont des personnages mutilés, traumatisés, qui perdent leur virilité.

Sur des séries telles Apocalypse à la question

Si la mise en série des archives, nécessairement fragmentaires, relève d’une forme de manipulation destinée, a minima, à faciliter le récit, quel usage peut-on faire de l’image d’archive pour en exploiter sans le tordre le potentiel d’informations historiques?

La réponse de Laurent Véray:

Il n’y a pas une seule pratique valable, et c’est cela qui, justement, va à l’encontre des séries comme Apocalypse: il n’y a pas qu’un seul mode de récit de l’histoire. Les formes du récit varient en fonction de la nature même du support et du mode de représentation que l’on utilise, mais aussi de nos sensibilités, de nos perceptions respectives, de notre culture, et de notre idéologie éventuellement. Il n’y a pas une vérité historique, mais un ensemble de travaux historiques sur une période donnée. Et on sait bien que des mêmes sources peuvent donner lieu à des analyses divergentes. Je pense qu’il faut défendre une richesse de représentations, de créations et de disparités d’usages possibles, qui peut aller de formes très classiques, comme les grands récits rétrospectifs, jusqu’à des formes expérimentales. Certains artistes s’emparent de matériaux historiques, fixes ou animés, et font des performances, des installations, etc. A mi-chemin, des films ni expérimentaux, ni trop classiques choisissent un dispositif adapté en fonction des sources utilisées, qui correspond aussi à une hypothèse de travail, en s’éloignant de la prétention à vouloir tout raconter. Finalement, c’est l’idée selon laquelle on peut tout dire, tout montrer –cette vision totalisante de l’histoire– que je trouve effrayante. Dans l’analyse des causes et des conséquences en histoire, on se rend bien compte que les choses ne sont jamais simples et qu’il est illusoire de croire qu’on pourrait tout comprendre en regardant des fresques historiques formatées par la télévision.

Lire l’entier de l’entretien : Retrouver 14-18 : cent ans de cinéma vus par Laurent Véray | Slate.fr.

Le témoin, l’historien et le réalisateur : la place du conseiller – documents de cours | Cinémadoc

12 mars 2013 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Cette note reprend les documents et films utilisés pour le cours Histoire et cinéma (Université de Montréal) du 13 mars 2013. L’objectif principal de cette séance est de s’interroger sur le statut et la fonction du conseiller historique à partir d’exemples de films portant sur le Moyen Âge. Les deux axes principaux du cours sont les suivants:

– La question des rapports entre imagination/interprétation et attestation/positivisme.

– Les fonctions possibles du chercheur quand il participe à la réalisation d’un film à sujet historique.

La note  : Le témoin, l’historien et le réalisateur : la place du conseiller – documents de cours | Cinémadoc.

Etudes Photo n°27 – Le Rapport Karski | Cinémadoc

27 mai 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En 1977, Claude Lanzmann et son équipe ont retrouvé le résistant polonais Jan Karski. Fin 1978, après plus de trente années de silence, Karski accepte d’être filmé à son domicile pendant deux jours. Dans Shoah (1985), Claude Lanzmann octroie trente-neuf minutes à ce témoignage. En 2010, le réalisateur a repris l’entretien original pour réaliser un nouveau film, Le Rapport Karski, diffusé sur la chaîne franco-allemande Arte. À vingt-cinq ans d’intervalle, Shoah et Le Rapport Karski ont été perçus comme des documentaires, c’est-à-dire comme des films donnant un accès le plus direct possible aux paroles des témoins. Si, dans les deux cas, le réalisateur affirme son souhait de transmettre la « vérité », tant les propos qu’il a tenus au sujet de ses films que les choix visuels qu’il a effectués diffèrent. Il apparaît ainsi que la transmission de la vérité à laquelle aspire le réalisateur prend des formes distinctes selon le contexte de réalisation et questionne ainsi plus généralement la part de la médiation dans la réalisation d’un film dit documentaire.

Cet article de Rémy Besson dans Etudes Photos no 27 est donc un article important par rapport à un film régulièrement utilisé ou cité dans l’étude du génocide des Juifs.

via Etudes Photo n°27 – Le Rapport Karski. | Cinémadoc.

Les plus grands films soviétiques sur YouTube

2 mai 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Mosfilm (en russe Мосфильм) est un très grand village cinématographique situé à Moscou (au lieu-dit des « Collines des moineaux »). C’est aussi une société de production cinématographique fondée en 1920, après la nationalisation des moyens de production soviétiques. Elle a donc produit la majorité des chefs-d’œuvres du cinéma soviétique, d’Eisenstein à Tarkovsky, et même co-produit Dersu Uzala d’Akira Kurosawa. Après une passe difficile dans les années 90 après l’effondrement de l’Union soviétique, elle reprend aujourd’hui de la vitalité. De plus, en collaboration avec Google, une cinquantaine des plus grands films soviétiques en version originale sous-titrée sont désormais mis en ligne gratuitement sur YouTube.

Mosfilm_logo_old[1]

Mosfilm ajoute dans un communiqué que toutes les semaines cinq films supplémentaires seront mise à disposition sur sa chaîne www.youtube.com/mosfilm.

Plusieurs films cultes sont déjà disponibles: « Le soleil blanc du désert », un western transposé en Asie centrale sur les aventures d’un soldat soviétique; « Ivan Vassilevitch change de profession », une comédie sur un scientifique inventant une machine à remonter le temps; ou encore « L’ironie du destin » une comédie romantique sur les déboires d’un homme saoul le soir du Nouvel an.

Aujourd’hui, Mosfilm assure une grande partie de la production nationale en matière de cinéma, de télévision et de vidéo. Les studios disposent également de 13 plateaux de tournage d’une surface de 13.000 m2, ainsi que de nombreuses sections de production dans lesquelles exercent de nombreux spécialistes hautement qualifiés représentant plus de 200 métiers. Pour survivre dans un environnement de plus en plus concurrentiel, Mosfilm est même passé au numérique, même si pour le Figaro,

«le studio Mosfilm est à l’image du cinéma russe : à la pointe de la technique, mais en manque d’idées cinématographiques.»

Liens et références :

  • Mosfilm – Wikipédia
  • Le Figaro – Révolution de studio
  • Mosfilm (kinoglaz.fr – Cinéma russe et soviétique)
  • Au Pays des Tsars: Studio MosFilm : compte-rendu d’une visite des studios en 2008
  • Mosfilm, miroir d’un empire (documentaire sur les studios)
  • L’accès aux films sous-titrés directement depuis le site de Mosfilm : Catalogue Mosfilm
  • YouTube – Chaîne de mosfilm

Photo sous licence CC : http://www.flickr.com/photos/michaelrogers/2615223155/

Colloque : Histoire et littérature, regards croisés (26-28 mai 2011)

29 avril 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’Institut français d’éducation organise un colloque international qui se déroulera du 26 au 28 mai 2011 à l’IFÉ à Lyon. Ce colloque questionnera les relations entre histoire et littérature(s) et interrogera l’épistémologie et l’enseignement de deux disciplines connexes ou rivales parfois.

Cette manifestation s’articulera autour de trois axes :

  • AXE 1. Littérature et histoire, continuités de l’interdisciplinarité
  • AXE 2. Les corpus : du cours de littérature au cours d’histoire et retour…
  • AXE 3. Entre histoire et fiction : la fabrique du réel

Parmi les communications prévues et le programme fort riche, je signale plus particulièrement:

  • Marie-France Rossignol et Brigitte Marin, université de Paris-Est-Créteil, IUFM : Enseigner l’humanisme et la Renaissance en français et en histoire, un commerce équitable ?
  • Kahina Bouanane, université d’Oran (Algérie) : La construction du réel entre contenu historique et trame narrative ?
  • Maryse Vuillermet, université Claude-Bernard Lyon 1, IUFM : Albums et problématiques historiques : comprendre l’histoire et ses enjeux ?
  • Catherine Jorgensen, université Montpellier 2, IUFM : Le personnage historique dans le roman du XIXe et XXe siècles
  • Patricia Victorin et Thomas Granier, université Paul Valéry Montpellier 3 : La « fabrique du chevalier » : apport de l’histoire et de la littérature médiévales
  • Laurent Bazin, université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines : Didactique du possible : place de l’uchronie dans l’enseigne- ment des lettres et de l’histoire
  • Jean-François Py, université Claude-Bernard Lyon 1 : Fiction/peinture/histoire
  • Solveig Lepoire et Angelina Ogier, université Claude-Bernard Lyon 1, IUFM : Lecture interdisciplinaire d’un roman historique
  • Sylvie Brodziak, université de Cergy-Pontoise : L’écriture fictionnelle du retour : quelles traces pour l’histoire ?
  • Dominique Briand et Gérard Pinson, université de Caen Basse-Normandie, IUFM : Du roman à son adaptation cinématographique, du film à l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre à partir du roman
  • Pierre Bessagnet, université Toulouse 2 – Le Mirail, IUFM : Didier Daeninckx : écrire en franc-tireur pour garder trace des oubliés de l’Histoire

Pour l’ensemble du programme et les inscriptions (jusqu’au 22 mai 2011), le site de l’IFÉ de Lyon : Histoire et littérature, regards croisés : enseignement et épistémologie.

Images du Siècle des Lumières à la télévision | Bernard Papin

22 décembre 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Bernard Papin est Maître de conférences en sciences de l’information et de la communication, université Paris Sud 11. Dans son activité scientifique, il s’intéresse à la sémiologie et à l’histoire de l’audiovisuel, plus particulièrement à la fiction télévisuelle
(les genres du fictif , l’adaptation des œuvres littéraires à la télévision ou la télévision et les politiques culturelles). Il est responsable au sein du CEISME (Centre d’Etude des Images et du Son Médiatique) de Paris Sud du groupe  » Lumières et télévision  » qui s’intéresse plus spécifiquement aux représentations du Siècle des Lumières à la télévision et au cinéma, de 1950 à nos jours : adaptations, téléfilms historiques, portraits d’écrivain, etc.
Sous sa direction vient d’être publié cet ouvrage sur les Images du Siècle des Lumières à la télévision. Construction d’une culture commune par la fiction aux Editions De Boeck et Ina.

Cet ouvrage intéressera les enseignant-e-s d’histoire qui utilisent du matériel audiovisuel lors de l’étude des Lumières. Passons maintenant à la présentation de l’ouvrage par l’éditeur:

Comme média de masse, la télévision est l’un des vecteurs privilégiés des imaginaires. Quand la fiction télévisuelle s’empare du Siècle des Lumières, quelles représentations des savoirs, croyances et valeurs de l’époque de Voltaire et de l’Encyclopédie nous propose-t-elle ?

Cet ouvrage s’interroge sur la médiation par l’image télévisuelle d’une période de notre histoire qui, plus que toute autre peut-être, s’inscrit fortement dans la conscience collective nationale. Depuis plus de 50 ans, les dramatiques, les téléfilms historiques, les docufictions, les feuilletons et les séries de la télévision française invitent le téléspectateur dans les salons et les alcôves du siècle de la philosophie et du plaisir. L’important n’est pas tant de vérifier si ces représentations sont historiquement justes que de s’interroger sur la manière singulière dont se met en place une culture commune.

Les auteurs de cet ouvrage mobilisent ici les ressources des sciences de l’information et de la communication, de l’histoire, de la sociologie et des études littéraires qu’ils mettent au service d’une commune volonté de décrypter ce qui, dans les images que nous nous forgeons du passé, nous permet de mieux vivre ensemble.

Référence : Papin B. dir. (2010). Images du Siècle des Lumières à la télévision. Construction d’une culture commune. De Boeck & Ina

Polémique actuelle: Les alliés ont-ils abandonné les juifs?

4 mars 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

http://www.dipity.com/Nouvelobscom/personal/embed_tl

Shoah : ce que savaient les allié;s sur Dipity.

En août 2009, Yannick Haenel publiait son roman Jan Karski (1914-2000), résistant des bords de la Vistule pris en tenaille par l’agression hitléro-stalinienne de 1939, devenu coursier du gouvernement polonais en exil (à Angers puis à Londres), témoin singulier de l’entreprise nazie de destruction des Juifs d’Europe, sur laquelle il tenta, en vain, d’alerter jusqu’à Churchill et Roosevelt.

Dans ses deux premiers chapitres, Y. Haenel rendait compte du du témoignage livré en 1978 par Karski pour Shoah de Claude Lanzmann, puis du livre publié dès 1944 par Karski à Boston, Story of a Secret State. Dans son troisième chapitre, après le dit et l’écrit du témoin, Haenel passe alors du procès-verbal à la fiction et son récit prend la forme d’un recueillement récapitulatif, au soir de sa vie, du vieil homme qui a buté sur l’intransmissible.

En répondant par l’affirmative à la question:

Les alliés ont-ils abandonné les juifs?

Yannick Haenel relançait ainsi la polémique tout en s’en prenant à Claude Lanzman d’où une offensive rondement menée par Claude Lanzman et Annette Wieviorka en ce début 2009. Ainsi, en janvier 2009 dans la revue Histoire (no 349), Annette Wieviorka publiait un article, intitulé Faux témoignage et critiquait le roman de Haenel en répondant par la négative à la question Le romancier a-t-il tout les droit?

En ce début mars, alors qu’Arte diffusera le Rapport Karski, la réponse de Claude Lanzman à Haenel où il reprend la déposition intégrale du témoignage de Karski pour Shoah, le Nouvel Observateur construit, sous le couvert de la question de l’abandon des juifs par les alliés, à son tour un procès à charge contre Haenel en offrant largement ses pages à Claude Lanzman (Claude Lanzmann : « Les juifs n’étaient pas le centre du monde ») et Annette Wieviorka (Le vrai Karski).

Déjà violemment attaqué par Claude Lanzman dans Marianne (« Jan Karski » de Yannick Haenel: un faux roman), Yannick Haenel lui a répondu sur Médiapart:

Puis Médiapart, redonne la parole à Claude Lanzman:

Pour en revenir à l’histoire et à son enseignement pour celles et ceux qui utiliseraient Shoah, je terminerai avec les explications de Claude Lanzman sur les raisons qui l’avaient conduit à n’utiliser dans son film que partiellement le témoignage de Jan Karski. En effet, la polémique actuelle aura au moins eu le mérite, d’une part, d’expliciter les intentions de Claude Lanzman avec ce témoignage dans Shoah et, d’autre part, de nous donner l’intégralité de ce dernier (Le Rapport Karski prochainement sur Arte):

La frise chronologique dans son contexte de publication: Shoah : ce que savaient les alliés (la chronologie), Culture – Information NouvelObs.com.

Tolkien médiéval | La vie des idées

25 février 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ce compte-rendu de la Vie des idées porte sur l’ouvrage Tolkien et le Moyen Âge, recueil d’articles rédigés par des étudiants en master et doctorat sous la direction de Leo Carruthers, professeur d’anglais à Paris IV Sorbonne et directeur du Centre d’Etudes Médiévales Anglaises (CEMA). Les différents articles de ce recueil traite de l’œuvre de Tolkien dans ses rapports avec le monde médiéval. On trouve ainsi un article de Claire Jardillier sur “Les échos arthuriens dans Le Seigneur des Anneaux” aux pages 143-169 ou un autre article de Dino Meloni, sur Arda et l’inspiration antique et médiévale de son architecture et de ses édifices (p. 237-262) Les derniers articles tentent eux une incursion hors du champ littéraire pour s’attaquer à des thématiques culturelles (la féodalité, les armes et armures, la musique et la poétique, l’architecture, la magie et la médecine) spécifiques de la période médiévale.

Au final, tant le compte-rendu que le recueil d’articles —même si pour la Vie des idées il n’est pas sans certains défauts—  intéresseront les enseignants d’histoire concernant une œuvre littéraire et maintenant cinématographique qui fait partie de l’univers des adolescents et des jeunes (et moins jeunes) adultes.

via Tolkien médiéval – La vie des idées.

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