Mais en ce cas, pourquoi ne pas proposer plutôt un enseignement des images ou des études visuelles, plutôt que des arts? Les élèves sont-ils “submergés” d’œuvres d’art qu’il y aurait une nécessité urgente à expliquer? Nul ne l’a prétendu. Au contraire, il était frappant de constater que presque aucune œuvre d’art n’a été citée par les participants. La seule œuvre mobilisée de manière autre qu’allusive aura été la célèbre photo par Nick Ut de la petite vietnamienne fuyant nue (pour répéter la fable médiatique répandue qui veut que cette image ait “contribué à arrêter la guerre”, voir ci-dessus). Une image du photojournalisme, mal analysée, pour justifier l’enseignement de l’histoire des arts semblait une mauvaise plaisanterie plutôt qu’une justification convaincante.
RevuePresse
Revue de presse : Des outils pour contrer le plagiat | Portail du soutien à la pédagogie universitaire
Comment favoriser la création de contenu original par les étudiants? Comment s’assurer que les textes qu’ils remettent sont bien de leur cru? Dans la carte ci-dessous, nous avons regroupé différentes ressources pour vous aider à répondre à ces questions: exemples de règlements, articles sur le sujet, guides pour les enseignants. Vous y trouverez également le rapport du Groupe de travail sur le plagiat électronique présenté au Sous-comité sur la pédagogie et les TIC de la CREPUQ en décembre 2011, Les logiciels de détection de similitudes: une solution au plagiat électronique?
Des outils pour contrer le plagiat | Portail du soutien à la pédagogie universitaire
Revue de presse : 1937 – Un été en Allemagne nazie | Arte (vidéos)
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Été 1937. Julien Bryan obtient une permission spéciale pour parcourir l’Allemagne et filmer ce qu’il s’y passe. Il veut montrer aux Américains la réalité du régime. Deux mois durant, il filme un peu tout sans a priori dans un style aux antipodes de celui de Leni Riefenstahl. S’il n’a pas l’autorisation de tourner partout, il réussit néanmoins à capter ici et là des scènes sur le vif qui ne sont guère à l’avantage des dignitaires nazis. Il fera sortir clandestinement sa pellicule et la société de production américaine « March of Time » en diffusera quelques minutes lors d’un JT en 1938, le diffusera aux Etats-Unis sous le titre de « Inside Nazi Germany 1938 », en utilisant des images tournées par Julien Bryan et de nombreuses scènes « reconstituées », dès le 21 janvier 1938, dans les salles de cinéma (ciné-journal). Il s’agissait alors de mettre en accusation le régime d’Hitler. La quasi-totalité des bobines 35 mm étant restées intactes, elles ont été adaptées à la HD pour ce documentaire, réalisé par Michael Klopf. On doit la bande son au compositeur Irmin Schmidt du groupe Can, une musique aux accents funèbres inspirée par un chant de la guerre de Trente Ans.
1937 – Un été en Allemagne nazie | Arte (vidéos)
En savoir plus sur Julien Bryan :
- Julien Bryan (Wikipédia) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Bryan
- Julien Bryan sur l’Holocaust Encyclopedia (anglais) : http://www.ushmm.org/wlc/en/article.php?ModuleId=10007829
- Galerie de films – Holocaust Encyclopedia : http://www.ushmm.org/research/collections/highlights/bryan/video/
Suivant les pays, vous ne pourrez pas visionner cette vidéo. Le cas échéant, un logiciel comme Hide My Ass! Pro VPN (mac) vous sortira d’affaire !
Revue de presse : La vraie histoire des «Bienveillantes» | Bibliobs
On les appelait les Einsatzgruppen. Souvent dirigés par des intellectuels, ils assassinèrent plus de 1,5 million de juifs entre 1941 et 1942. Michaël Prazan et Christian Ingrao ont étudié ces commandos dont Jonathan Littell a tiré, en 2006, son roman fleuve
Revue de presse : FAQs for a Skeptic on Technology | Larry Cuban
Dans son dernier billet, Larry Cuban répond aux principales questions qu’on lui pose sur ses raisons d’être un sceptique relativement à l’emploi des technologies dans l’enseignement.
Cet article est aussi un bon moyen pour prendre connaissance de ses principaux travaux en la matière depuis les années 1980. D’autant que l’article est très synthétique et clair tout en présentant ceux-ci du point d e vue de l’auteur lui-même.
Cependant, il revient plus particulièrement sur les raisons de ses réserves à l’égard des technologies à l’école, des discours les promouvant et sur leurs capacités à changer les pratiques et l’institution scolaire.
Il profite donc de ce billet pour répondre aux questions qui lui sont régulièrement posée concernant ce scepticisme technologique. A l’une de ces questions, il en profite d’ailleurs de préciser qu’il est un utilisateur régulier de celles-ci — il possède aujourd’hui un ordinateur de bureau, un ordinateur portable, un iPad et un iPhone — tant pour son usage propre que dans son enseignement depuis les années 1950… à l’exception de PowerPoint.
Le passage suivant résume le mieux, à mon avis, ses réserves à l’égard des technologies éducatives :
«the enormous amount of money spent on new technologies without much evidence of their efficacy on teaching and learning means that other options such as investing in more teachers and their professional development are lost. That is inefficient and ineffective policymaking.»
Rappelons, en outre, que Larry Cuban est un enseignant progressiste. Il n’est pas un conservateur en manière éducative, bien au contraire. En 1984, il a publié un livre important intitulé «How Teachers Taught: Constancy and Change in American Classrooms, 1890-1980.» Et comme il le dit lui-même :
«In that book, I tracked the repeated (and failed) efforts of progressive reformers over a century to change classroom practice in urban, suburban, and rural classrooms from teacher-centered to student-centered lessons. […]. The idea that reforming teaching was linked to the introduction of new technologies intrigued me. »
De How Teacher Thaught (1984) à Oversold and Underused: Computers in Classrooms (2001), le grand mérite des travaux de Cuban est d’avoir systématiquement observé non pas les discours sur les pratiques, mais les réalités de celle-ci dans les classes avec ou sans ordinateurs. Ces travaux nous interrogent tant sur la manière de faire évoluer les pratiques des enseignants que sur celle d’intégrer véritablement et durablement les technologies à l’école au-delà de l’effet «Canada dry». ((Ca a la couleur de la technologie, le goût de la technologie utilisée à l’école, mais cela n’en est pas au-delà du colifichet.))
A lire donc : FAQs for a Skeptic on Technology | Larry Cuban
Revue de presse : Comment Twitter aurait pu sauver Jules César | Le Nouvel Observateur
Drôle, frais et génial : L’histoire revisitée si les réseaux sociaux avaient existé #1 La dernière journée de Jules César vue des smartphones. À suivre.
Comment Twitter aurait pu sauver Jules César – Le Nouvel Observateur
Revue de presse : Engouement massif pour les MOOC | Affaires universitaires
Qu’est-ce qu’un MOOC? Cet acronyme qui n’a apparemment pas encore été traduit signifie massive open online course, ou cours massif en ligne. Les MOOC font décidément fureur dans le milieu universitaire, en particulier aux États-Unis. Il ne se passe pratiquement pas une journée sans qu’un article ou une lettre d’opinion vantant le côté révolutionnaire de cette nouvelle tendance.
Selon un article paru dans le Globe and Mail, les universités sont à la fois motivées « par l’amélioration de leur image de marque, par leurs visées internationales et par un bon sens des affaires ».
A suivre tout en gardant un oeil critique.
Revue de presse : Cours massif en ligne (MOOC) | Techniques innovantes pour l’enseignement supérieur
Si vous envisagez de suivre un MOOC (massive open online course, ou cours massif en ligne) un de ces jours, il vous faudra prendre un temps pour comprendre le mode de fonctionnement de ce type de cours. Un point d’entrée si vous êtes francophone pourrait être cette vidéo de Stephen Downes qui nous fait le plaisir de nous faire une petite introduction en français sur le sujet.
Cours massif en ligne (MOOC) | Techniques innovantes pour l’enseignement supérieur
Revue de presse : Engouement massif pour les MOOC | Affaires universitaires
Qu’est-ce qu’un MOOC? Cet acronyme qui n’a apparemment pas encore été traduit signifie massive open online course, ou cours massif en ligne. Les MOOC font décidément fureur dans le milieu universitaire, en particulier aux États-Unis. Il ne se passe pratiquement pas une journée sans qu’un article ou une lettre d’opinion vantant le côté révolutionnaire de cette nouvelle tendance.
Selon un article paru dans le Globe and Mail, les universités sont à la fois motivées « par l’amélioration de leur image de marque, par leurs visées internationales et par un bon sens des affaires ».
A suivre tout en gardant un oeil critique.
Revue de presse : Cours massif en ligne (MOOC) | Techniques innovantes pour l’enseignement supérieur
Si vous envisagez de suivre un MOOC (massive open online course, ou cours massif en ligne) un de ces jours, il vous faudra prendre un temps pour comprendre le mode de fonctionnement de ce type de cours. Un point d’entrée si vous êtes francophone pourrait être cette vidéo de Stephen Downes qui nous fait le plaisir de nous faire une petite introduction en français sur le sujet.
Source : Cours massif en ligne (MOOC) | Techniques innovantes pour l’enseignement supérieur