L’heure est à la mémoire. Sans pathos. Trois ans, un gouffre et à la fois rien. Il est des anniversaires qui sont des brûlures de l’âme. Avec tout l’amour d’un fils pour sa mère.
by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire
L’heure est à la mémoire. Sans pathos. Trois ans, un gouffre et à la fois rien. Il est des anniversaires qui sont des brûlures de l’âme. Avec tout l’amour d’un fils pour sa mère.
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«Elle a les yeux couleur de ma vague chimère
Ô toute poésie
Ô toute extase, ô Mère!
À l’autel de ses pieds je l’honore en pleurant
Je suis toujours petit pour elle, quoique grand.»
Emile Nelligan
Quelques mots, bien peu, pour ces jours de souvenir…