En ce lundi 22 juillet, grâce à Mario Asselin, nous avons la chance de disposer d’une visite en « insider » de l’hôtel du Parlement québécois. Après cette visite, c’est un autre monument, de la cuisine québécoise cette fois-ci, que nous mangerons en compagnie de note guide : une poutine.
La façade de l’hôtel du Parlement.
Construit entre 1877 et 1886, l’hôtel du Parlement forme un panthéon consacré aux héros de l’Amérique française et aux grandes figures du Régime britannique. Il est l’œuvre d’Eugène-Étienne Taché (1836-1912) et comprend sur la façade principale 24 statues de bronze. Les statues évoquent la gloire de ces personnages ayant marqué l’histoire du Québec.
La devise du Québec « Je me souviens » est inscrite au fronton de l’édifice.
L’escalier principal de l’hôtel du Parlement.
Chaque groupe politique dispose de son étage pour les parlementaires et leurs collaborateurs. Actuellement, le Parlement est composé du Parti québécois (54 députés) qui forme le gouvernement, du Parti libéral du Québec (50 députés) qui forme l’opposition officielle et de la Coalition avenir Québec (18 députés) qui forme le deuxième groupe d’opposition. Il y a encore deux députés de Québec solidaire et un député indépendant. Mario Asselin, notre guide, est l’assistant parlementaire senior de la Coalition avenir Québec.
Une fois la visite terminée, nous sommes partis manger une poutine chez Ashton, le spécialiste pour la ville de Québec de ce met.
À suivre…
Charles-A. Bachand (@cabachand) dit
Je confirme : la poutine de chez Asthon est un classique sur lequel on serait fou de lever le nez 😉
Lyonel Kaufmann dit
Merci Charles-A. et désolé de ne pas avoir pu, une nouvelle fois, planifier un passage du côté d’Ottawa. Salutations à vous deux. Amitiés.
Charles-Antoine Bachand dit
Étrangement, nous étions sur Québec à peu près aux mêmes dates que toi.
Dis donc, tu seras à la 2e conférence de l’Association Internationale de Recherche en Didactique de l’Histoire et des Sciences Sociales (AIRDHSS) à Fribourg en sept. 2014? Nous y serons sûrement.
Lyonel Kaufmann dit
Si nous avions su, nous aurions eu l’occasion de boire au moins en verre ensemble.
Pour Fribourg, probablement pas… Par contre, on pourra se voir. Tiens-moi au courant.