Voilà une étude que l’UDC Vaud ferait bien de lire…
Une des découvertes d’Elizabeth Gershoff est l’inefficacité irrévocable de la fessée: non, les enfants fessés ne sont pas plus dociles! «Nous avons découvert que la fessée était associée à des conséquences inattendues et non recherchées par les parents, et en aucun cas liée à un résultat de docilité –pas plus à court qu’à long terme–, ce qui est pourtant le but des parents qui souhaitent avant tout discipliner leurs enfants.»
À oublier aussi, insiste Gershoff, les excuses du type «Moi, je ne m’en suis pas plus mal porté(e)!»: non seulement les enfants ayant reçu de fréquentes fessées sont plus susceptibles que les autres de développer des troubles mentaux mais ils s’exposent également à éprouver des difficultés à trouver leur place dans la société. La notion de «fréquence» n’est cependant pas détaillée, même si Gershoff précise que les preuves accumulées pointent l’aggravation de ces phénomènes en cas de fessées récurrentes.
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