
Montréal – avril 2018
Le temps est gris à mon arrivée ce lundi à Montréal.
Il fait même frisquet.
Le vol a connu quelques turbulences au-dessus du Saint-Laurent à une heure de l’arrivée. Rien de bien méchant.

Depuis l’aéroport, la situation du réseau autoroutier ne s’améliore pas. Les routes sont éventrées. Des monticules de sable et de gravier poussent en différents endroits poursuivis par des trax.
Au centre-ville, la rue Sainte-Catherine est balafrée et zébrée par les travaux. La ville est un chantier à cœur ouvert. Elle tente de panser ses plaies.
Les commerces souffrent très visiblement et pas seulement de la concurrence du commerce en ligne.

En même temps, la magie continue d’opérer.
Surtout lorsque elle se présente sous ses atours nocturnes.

That’s Montréal.
Laisser un commentaire