Vendredi 6 mai. Troisième et dernière calanque de notre croisière, la Calanque d’En-Vau doit son succès à sa plage de sable fin et à ses possibilités d’escalade. Et en ce vendredi, les deux publics s’en donnent à cœur joie.
Traitement à l’ancienne pour la Calanque d’En-Vau. J’apprécie ce côté autochrome.
To be continued…
Vendredi 6 mai. Le soleil est à nouveau de la partie. Pourquoi ne pas en profiter pour aller en mer ? Touriste pour touriste, nous voici parti pour Cassis et un tour des calanques.
La foule se presse à Cassis. Notre première épreuve consiste à trouver une place parc. Tous les parkings sont complets ou presque. Nous trouvons une place au parking vers l’Acrobranche. Si les parking en périphérie sont gratuits, les navettes pour se rendre au centre-ville sont, pour leur part, payantes (1,60€ aller-retour).
Au port, s’il fait relativement beau, la mer est agitée. Seule l’excursion pour 3 calanques est offerte. 45 minutes de bateau et 16€. Départ.
Le port de Cassis à notre départ pour les calanques.
Petite leçon photo du jour : le port de Cassis, comme les Calanques, la baie de Cassis, le Cap Canaille, est pris des millions de fois par année. Peu de chance d’être plus original qu’un autre. Au mon retour, je choisis de triturer mes clichés à l’aide de différents filtres. Mes outils du jour sur mon iPad sont Photoshop Express et Pixelmator. A vous de voir !
Toujours le même port, la même photo, mais cette fois-ci avec un traitement noir/blanc pour un climat plus inquiétant. Une petite préférence ?
To be continued…
Raconte-moi, l’arbre, toutes les histoires que les bateaux te confient en passant au large si près de toi.
Raconte-moi, les saisons et les jours dans leurs splendeurs comme dans les jours de blues.
Raconte-moi les histoires que le vent charrie, les jours de soleil, mais surtout les jours de houle.
Jeudi 5 mai. Baie du Niel (Giens).
Jeudi 5 mai. Baie du Niel (Giens). La mer turquoise a des allures d’océan Pacifique.
Jeudi 5 mai. Route du sel, plage de l’Almanarre. Un kit surfeur prend son envol…
Jeudi 5 mai. Nous continuons notre exploration du bord de mer en empruntant la route du sel qui longue la mer et est bordée de plages. Nous en profitons pour admirer les kits surfeurs.
La Route du Sel, c’est la route qui relie la presqu’île de Giens à la ville de Hyères. Cette route, qui longe la plage de l’Almanarre, est un lieu magique, où se cotoient familles en promenade, planchistes (et des meilleurs!!) et kite surfers, patineurs, joggers, cyclistes, amoureux des oiseaux et de la nature.
La route est fermée pendant l’hiver à la circulation automobile.
A la belle saison, elle connaît toute la semaine une grande animation. C’est un des grands lieux de rencontre de Hyères.
La route du sel est très menacée par la montée des eaux et par les tempêtes.
Pour en savoir plus sur la situation et les menaces planant sur cette route du sel : http://laroutedusel.net/avenir-route-du-sel-hyeres.html
Jeudi 5 mai. Arrivé à destination, nous profitons de notre après-midi pour nous rendre au bord de mer. A la Tour Fondue, nous pouvons observer au loin Porquerolles et le départ des bateaux.
La Tour Fondue, est un ancien fortin, situé au sud de la presqu’île de Giens, dans le département du Var et sur la commune d’Hyères.
Le fort est vestige d’une ancienne tour défensive du xviie siècle construite sous Richelieu, au sud de la presqu’île, elle permet de localiser facilement le port réservé aux navires desservant l’île de Porquerolles.
Coordonnées : 43° 01′ 34″ N 6° 09′ 20″ E / 43.0261, 6.15556
Jeudi 5 mai, 7h00 du matin, j’ouvre les volets et la mer entre en chambre.
La journée s’annonce belle.
Mercredi 4 mai, profitant d’anticiper quelque peu le week-end de l’Ascension, nous prenons la route de l’Italie avant de nous rendre près de Toulon. Avant Gênes, nous mettons la flèche en direction de San Remo.
Une succession de tunnels nous attend, nous sortons ensuite de l’autoroute vers 20h00 à la recherche d’un hôtel. C’est à Imperia et à l’hôtel Corallo que nous faisons halte. Depuis notre chambre, nous profitons de la fin du jour et de la douceur méditerranéenne.
Nous sortons ensuite pour manger. Près du port, nous choisissons l’Osteria dai Pippi et ne le regrettons pas. Nous vous recommandons plus particulièrement les gnocchis.
Avant de rentrer, nous avons encore un dernier regard sur les vieilles rues fort charmantes du port.
Si le réveil peut parfois être difficile suivant l’heure du lever, il apporte de grands moments remplis de petits bonheurs. Ils sont à saisir avec ou sans appareil photo avec soi…
Ce vendredi matin-là, les yeux encore à moitié endormis, j’en ai rencontré un à Nyon.
