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85.000 vidéos de British Pathé en accès libre sur Youtube, une collection historique

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See on Scoop.it – histoire
« Nombreux sont aujourd’hui les récits dessinés qui évoquent le premier conflit mondial et certains critiques vont même jusqu’à parler d’une nouvelle écriture de la guerre en bande dessinée, voire d’un sujet à la mode. Pourquoi la Grande Guerre intéresse-t-elle autant les auteurs de bandes dessinées ? Qu’elle soit réaliste, humoristique, fantaisiste, et quelles que soient les époques (de Bécassine1 à la série Le Cœur de Bataille2 ), la bande dessinée se manifeste comme un véritable laboratoire d’imageries mémorielles de la Grande Guerre. Or loin des illustrés d’époque et depuis Tardi avec C’était la guerre des tranchées3, qui fait figure de classique fondateur – comment les dessinateurs se sont-ils emparés d’un tel sujet ? Peut-on aujourd’hui parler d’un renouveau de la Représentation de la Grande Guerre en bande dessinée ? Et si les artistes recréent et réinterprètent l’Histoire avec des référents et des approches qui leur appartiennent, est-il pertinent de parler d’une représentation de la Grande Guerre au singulier ? »
La conclusion :
«De ce rapide parcours, se dessine dans le miroir de la bande dessinée un reflet déformé de la Grande Guerre. De fait un certain nombre de stéréotypes, invariants de l’imaginaire émerge de l’étude d’un large corpus structurant ainsi le cadre d’une mythologie iconographique de la Première Guerre mondiale. Cette déformation du regard, ce travestissement de la mémoire intéresse au plus haut point l’historien car les images sur 14-18 qui peuplent notre imagination, et notamment celles des dessinateurs, ne naissent pas ex-nihilo mais sont le fait d’un long cheminement historique. Cependant, la Grande Guerre a aussi été abordée sous des angles de vue divers, cherchant aux limites du temps, de l’espace et des thèmes à concilier l’horreur de masse et l’individualisme propre au héros classique, la soumission hébétée au contexte et la notion de libre arbitre. De nouvelles voies plutôt étroites, tout en en oubliant d’autres (les bandes dessinées traitant de l’arrière demeurent encore trop peu nombreuses !) cherchent à renouveler la représentation de la Grande Guerre ce qui contribue à « rendre vivant » l’imaginaire de 14-18 dans la bande dessinée.»
See on centenaire.org
Malgré la bise qui soufflait, la journée se prêtait à profiter du soleil et de parcourir monts et vaux au guidon de Captain Jack.
Après Pont-la-Ville, je découvrais la chapelle de Thusy au bord du Lace de Gruyère.
Sur la porte, j’apprenais notamment concernant la chapelle :
«on m’appelle << chapelle de Thusy >>
Je fût citée pour la première fois en 1148. Etant l’unique église qui desservait les fidèles de Pont-la Ville et La Roche. Suite à la scisson de la paroisse en 1656, une nouvelle église fut construite à Pont-la-Ville en 1882.En 1913 on m’amputa de la nef pour ne garder que le coeur. En juin 1948, le glas sembla sonner pour moi qui aurait du être engloutie en même temps que le pont de Thusy par le Lac de la Gruyère , suite à la construction du barrage de Rossens.Dane le hammeau qu’on appelait aussi Thusy, presque sacrifié entièrement (sauf deux maison), on assista à la montée des eaux. Je me trouvais juste à la cote fatale des677 mètres. L’eau montait d’heure en heure et franchit le portail de l’enceinte où était l’ancienne nef, puis la porte du sanctuaire, jusqu’au pied de la pierre de l’autel.Je fus donc sauvée.
On m’a restaurée en 2004.»
Découvrez l’une des périodes les plus riches de l’histoire antique en vidéo de façon interactive et ludique
Dès le 4 mai 2014…
See on www.grandpalais.fr
15 000 comics en téléchargement gratuit (et légal). C’est ce que propose le Musée numérique des comics, « le meilleur site de téléchargement gratuit de comics », rapporte OpenCulture.com. Au programme, 15 000 oeuvres datant de « l’âge d’or » des comics, donc publiés avant 1959.
>> Pour télécharger ou consulter en ligne les comics, rendez-vous ici (inscription requise).
La suite : 15 000 comics à télécharger gratuitement (et légalement) – L’Express.

A la veille de Pâques, petite séance de rattrapage concernant mes chroniques mensuelles publiées sur le Café pédagogique. Il s’agit de mes chroniques des mois de janvier, février et mars. La dernière est déjà en boîte et vous pourrez bientôt la lire sur le site du Café pédagogique. Ma chronique du mois d’avril s’intitulera : Jacques Le Goff et le Moyen Âge renvoyés dans les ténèbres par Games of Thrones ?
Kaufmann, L. (2014). Dieudonné et nous. Le Café pédagogique, No 149, janvier.
Difficile, en tant que professeur d’histoire, de ne pas être interpellé en classe ou dans son enseignement par les derniers aspects médiatiques, politiques et judiciaire de l’«affaire Dieudonné». Lire la suite…
Kaufmann, L. (2014). La Suisse, entre ouverture au monde et syndrome de l’enfermement. Le Café pédagogique, No 150, février.
Le dimanche 9 février 2014, la population suisse se prononçait à 50.34% en faveur d’une initiative populaire de l’Union Démocratique du Centre (UDC) intitulée “contre l’immigration de masse”. A la suite de ce résultat, il m’est impossible de ne pas replacer ce vote dans son contexte historique. Lire la suite…
Kaufmann, L. (2014). Pourquoi enseigner la Première Guerre Mondiale en Suisse ? Le Café pédagogique, No 151, mars.
Si la Suisse a été épargnée militairement par la Première Guerre mondiale, elle n’en a pas moins été partie prenante ou touchée indirectement par le conflit mondial. Les soubresauts du conflit en Suisse déboucheront même en 1918 sur une Grève générale qui fondera la politique et les relations sociales en Suisse durant toute l’Entre-deux-guerres et même après. Au niveau économique, avec et après la guerre, le système bancaire helvétique prend définitivement son envol et la Suisse s’impose comme place financière internationale. Par ailleurs, les bases de son économie s’en trouveront radicalement transformées. Enfin, la Suisse développera le sentiment d’être un pays au destin privilégié, soit un pays neutre et épargné de toute pression extérieure (« Sonderfall Schweiz ») qui modèle, aujourd’hui encore, son rapport au monde extérieur. Lire la suite…
Il me reste à vous souhaiter de bonnes fêtes pascales.

Tomas Deszo
Via Jean-Claude Péclet
Un Hongrois de 36 ans, basé à Budapest, dont les images documentaires très dépouillées ont été publiées par de nombreux magazines dont Time, Geo, le New York Times, Le Monde et le British Journal of Photography. Sa série sur la Roumanie est tout simplement extraordinaire. Commencée en 2011, elle s’intitule « Notes pour un épilogue ».
Impressionnant portfolio en effet !
April 14, 2014 at 9:16PM
via Béquilles http://ift.tt/1hCi2Cm

Witold Pilecki témoigne à Varsovie le 3 mars 1948 (Photo PAP. AFP)
Varsovie. 19 septembre 1940. Un officier de réserve polonais, Witold Pilecki, se fait volontairement rafler par les Allemands et interner à Auschwitz pour y tisser un réseau de résistance: «Le Rapport Pilecki», à paraître en avril, livre le témoignage exceptionnel de ce héros hors du commun. C’est la première fois que ce rapport sur l’usine de la mort d’Auschwitz, devenue symbole de l’Holocauste, est publié en français, aux Editions Champ Vallon. Patrick Godfard, agrégé d’histoire, et l’ancienne directrice du bureau de l’AFP à Varsovie, Ursula Hyzy, l’ont traduit du polonais. Deux historiennes, Isabelle Davion et Annette Wieviorka ont été associées à l’ouvrage.
Lire la suite : http://ift.tt/1lwBe7n

Le constat de Pascal Duplessis :
«Ce qui m’a d’abord intéressé avec les deux témoignages rapportés, en HG et en français, c’est le déroulement de la séance. Si je reprends ces deux déroulés, voici ce que je comprends :
Sa première question :
«Qu’est-ce qui change donc avec les constituants d’une séance « classique », laquelle est depuis longtemps basée sur le triptyque « exposition – application (tâche) – structuration » ?»
Une deuxième série de questions fort pertinentes :
«Ce qui m’étonne donc le plus ici est cette évacuation de la phase d’exposition hors du cours. Pourquoi diffracter ainsi le temps du cours et renvoyer la phase expositive hors de la sphère scolaire ? Quel intérêt y a-t-il à déléguer la médiation enseignante à une médiation documentaire numérique ? Pourquoi prendre le risque que des élèves ne prennent pas le temps d’ouvrir la capsule, n’aient pas les moyens (techniques) de l’ouvrir, n’aient pas les moyens (cognitifs, culturels) de la recevoir ? Pourquoi prendre le risque d’une exposition courte et comprimée du savoir ? Pourquoi s’en remettre à une médiation technique plutôt qu’humaine pour cette exposition ?»
S’y ajoute :
«En définitive, la « classe inversée » semble pointer du doigt quelques dérives bien connues des méthodes dites « magistrales » en poussant apparemment une proposition inspirée des méthodes actives. A l’analyse pourtant, la méthode ne semble pas active mais emprunte le schéma de la transmission traditionnelle : on montre d’abord, on fait appliquer ensuite pour s’assurer que tout le monde a bien compris. Où est donc le changement annoncé ? Moins d’exposition et plus d’application. Cela suffit-il pour parler d’innovation ? Plus que tout, la « classe inversée » semble vouloir tirer sa particularité d’un usage des technologies numériques.»
Une nouvelle série de questions fort pertinentes :
«Le numérique aurait-il des vertus éducatives intrinsèques qui viendraient pallier comme ici un déficit de culture pédagogique de ces deux enseignants ? Ne pouvaient-ils pas se poser la question hors de la donne numérique et trouver des solutions pour moins parler et faire davantage réfléchir leurs élèves ? Qu’est-ce qui pouvait bien les empêcher de tenter d’autres approches, d’autres méthodes pédagogiques ?»
La conclusion finale :
«La priorité donnée à l’outil sur le but, la primauté du numérique sur le pédagogique, n’est-ce pas plutôt là qu’il faut chercher l’inversion ?»
April 9, 2014 at 1:52AM
via All News on ‘The Twitter Times: lyonelkaufmann’ http://ift.tt/1ckQxL0

«La « classe inversée » (concept médiatiquement efficace) est bien nommée, car elle suggère une rupture tout en se référant au modèle transmissif, et elle est également porteuse car chaque professeur désireux d’optimiser son usage du numérique peut s’y retrouver. Mais elle ne résout en soit aucun des enjeux scolaires, pédagogiques et éducatifs qui se posent actuellement. A travers les expériences décrites, nous y voyons plutôt un mode d’intégration pédagogique renforcée des Tic, qui unit les temps et espaces des apprentissages pour les élèves. Dans 10 ans, que sera-t-il advenu de la classe inversée ? Revenons-en à Clara, la collégienne de 2022. Si tous les soirs Clara travaille la leçon pour préparer la prochaine séance de classe inversée, sa semaine ressemblera rapidement à un enfer et la dose de travail risque d’être proprement colossale. De même la mise à disposition de ressources d’apprentissage variées ne garantira pas leur acquisition. Il est plus à souhaiter que les conditions d’enseignement au collège auront évolué, donnant plus de temps et plus de sens aux apprentissages, mettant à plat la nécessité de construire les apprentissages dans la durée, avec l’accompagnement idoine (numérique ou pas). Le numérique est à la fois un outil adéquat pour cela, tout autant qu’un média à interroger pour affronter le monde actuel. On peut souhaiter à Clara des usages plus variés du numérique, car il est peu probable qu’un usage massif de la « classe inversée » ne résolve la question de sa motivation, de ses apprentissages, de sa réussite.»
April 9, 2014 at 1:52AM
via All News on ‘The Twitter Times: lyonelkaufmann’ http://ift.tt/1g6adAp
