
Un samedi après -midi entre cinéma et bande dessinée aux couleurs de l’Antiquité et de ses représentations contemporaines.
Créateur du bouton like de Facebook, dont il a reconnu le fonctionnement addictif, Justin Rosenstein compare même Snapchat à une drogue, l’héroïne. Face à ces machines de guerre économique, comment les adolescents réussissent-ils à préserver l’authenticité de leurs relations amicales ? Comment parviennent-ils à protéger leur vie privée et la civilité de leurs échanges ?
— À lire sur theconversation.com/les-amities-des-adolescents-sont-elles-hackees-par-les-reseaux-sociaux-127882

Chevillé à Reykjavik, le pape du polar nordique cherche à perpétuer l’histoire de son pays. Son portrait par Libération.

— À lire sur next.liberation.fr/livres/2019/11/13/arnaldur-indridason-pilier-d-islande_1763185

En avril 2018, Fujifilm a annoncé l’abandon de son très apprécié film Acros 100. Un an après, Fujifilm revient avec son nouveau film Neopan 100 ACROS II. Il sera disponible au Japon dès le 22 novembre 2019 en 35mm et 120 formats.
— À lire sur www.lense.fr/news/minute-argentique-fujifilm-neopan-acros-ii/

Une nouvelle naked 900 sous la barre des 10000 francs chez BMW. Et ça c’est nouveau et intéressant…

Sur la même base moteur que la voyageuse F 900 XR, la F 900 R vient compléter la famille des F de manière esthétique affirmée et sportive. La machine offre un twin plein de pep délivrant 105 chevaux, un écran couleur et la connectivité, pour 9900 francs. Et plein d’équipements en option (payante).
— À lire sur www.actumoto.ch/2019/11/06/une-nouvelle-naked-900-sous-la-barre-des-10000-francs-chez-bmw/
Alors que la première édition de Ludovia#BE débute mardi soir, je décolle ce samedi pour Bruxelles à l’invitation de François Jourde, merci à lui !
L’embarquement à Genève-Aéroport se déroule dans les règles et d’une rapidité tout à l’honneur d’EasyJet. A 9h20, tout le monde est installé pour un vol prévu à 9h30.

Le temps est magnifique en ce début de journée. La journée promet d’être sympa dans la capitale belge et européenne.
Finalement, le brouillard s’est installé et a retardé le décollage. Normalement, nous aurons environ 30 minutes de retard.
C’est l’occasion de lire le magazine proposé par EasyJet et de découvrir comment ne pas être un touriste (même si effectivement nous en sommes un).


Parmi les recommandations, je me retrouve particulièrement dans la troisième proposition : apprendre à se perdre et sortir des sentiers battus :

Et surtout, je ne prends pas de selfie :

Légèrement décalé en plus dans le magazine de la compagnie d’aviation qui a totalement bouleversé le tourisme de masse en Europe. Ainsi, si tout le monde suivait leurs recommandations (ou du moins tous les passagers volant avec EasyJet), prendre des selfies deviendrait « untouristic », n’est-il pas? Heureusement, il reste une sacrée marge !
A l’atterrissage, le temps est également ensoleillé et nuageux à la fois. Je retrouve rapidement mes marques et prend la direction de la gare ferroviaire. Objectif, la gare centrale de Bruxelles (une des trois gares de Bruxelles desservie depuis l’aéroport). A la gare centrale, je prends une consigne pour m’alléger.
Il est alors temps de débuter ma visite « untouristic » de Bruxelles tout en retrouvant le centre historique et touristique de Bruxelles. Sacré gageure. En avant !

A proximité de la gare centrale, me dirigeant du côté de la Grande Place, je découvre cette ancienne mercerie. So Cut :

Je traverse ensuite les galeries royales datant de 1847, puis je rejoins la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule, monument imposant et fort visité. Différents monuments ou plaques agrémentent cette cathédrale. Ces éléments offrent une histoire de l’élite belge tel un monument consacré à 1914-1918 et composé uniquement de membres de la noblesse ou de la bonne bourgeoisie. Une autre frise, cachée par des chaises empilées, commémore Jean Ier de Brabant.

Mais c’est la plaque de repentance concernant les fausses accusations datant de 1370 contre la communauté juive que je vous propose dans le cadre de cette visite « untouristic ». Il aura quand même fallu attendre trois cents ans pour des excuses !

Je flâne ensuite et parvient devant l’entrée/sortie des artistes du Théâtre de la Monnaie. Et hop une photo dans l’action où je profite de la sortie inopinée d’un visiteur.

Après avoir fait ma pause déjeuner, je découvre la place des Martyrs de la Révolution belge de 1830. Profitant des rayons du soleil, un homme étendu et dormant un peu comme le dormeur du Val fait office de martyr du 21e siècle.

Au Marché aux herbes, j’écoute deux musiciens de rue et saisi à la fois une partie de la foule qui écoute et la file des clients pour la friterie Tabora.

Rue Beurre, je ne peux m’empêcher de prendre en photo la rose accompagnant le trio de la fontaine.

Il m’est difficile ensuite, à la Grand Place/Hôtel de Ville de trouver un angle particulier pour photographier la place noire de touristes.

Puis j’oblique en direction de la Rue de l’Etuve (Manneken Pis) où je préfère photographier la foules de ces admirateurs plutôt que la statue elle-même. Il est à noter que désormais le Manneken Pis est concurrencé au niveau des photos par le café attenant qui a accroché des vélos multicolores à sa façade.

En rejoignant le boulevard Anspach, je profite pour prendre un peu de végétation.

Puis un rare exemple de Street Art au centre ville.

Le boulevard Anspach lui-même me séduit par sa revitalisation en espace de vie et de nature recomposée.

Je termine mon parcours du jour par la Halle Saint-Géry, remise au goût du jour et dans un quartier désormais fort animé.

En remontant vers la gare centrale pour récupérer mes affaire, je découvre ce magasin de vinyles d’occasion. Trop bien.

Ce sera ma dernière photo du jour pour ce parcours untouristic. A suivre…

Candide, incandescent, habité, Gérard Philipe était un acteur hors pair. Bien que ringardisé un temps par la Nouvelle Vague, il demeure le comédien emblématique de l’après-guerre, synonyme de résistance, de socialisme, du Théâtre national populaire, de Jean Vilar et de Max Ophüls.
Trente-quatre films et une centaine de pièces de théâtre entre 1944 et 1959, quinze ans d’une trop courte carrière. Il est mort à 36 ans, emporté par un cancer foudroyant.
— À lire sur abonnes.lesinrocks.com/2019/10/18/livres/livres/les-derniers-jours-gerard-philipe-vus-par-jerome-garcin/
« Révolution est un terme plutôt générique que nous employons avec une certaine désinvolture. Nous nous en servons aussi bien pour définir des bouleversements historiques qui ont fait des milliers de morts (Révolution française, Révolution russe) que pour qualifier des broutilles telles que le passage à trois défenseurs de notre équipe préférée (une « révolution tactique »).
Quels farceurs. »
« The Game » d’Alessandro Baricco
Source : http://amzn.eu/0xhkJXH
Par la voie de la fiction, David Dufresne rend compte du soulèvement des Gilets jaunes depuis novembre 2018 et de la dérive autoritaire du maintien de l’ordre. Un roman très politique, qui donne de grandes claques de réalité.
La sidération et la colère ont conduit Etienne Dardel, le personnage principal de Dernière sommation (qui sort ce 2 octobre aux éditions Grasset), à endosser une mission, un jour d’émeute de décembre 2018 où les Gilets jaunes avaient pris possession de la place de l’Etoile, ce “premier sens giratoire de France”. Celle de rendre visibles les violences policières, d’alerter sur les dérives illégales du maintien de l’ordre et d’empêcher le déni politique à ce sujet.
Ce jour-là, il a eu beau zapper sur les chaînes d’info en continu, aucune image des manifestants blessés ne filtrait. De toute évidence, la télévision avait choisi son côté de la barricade. Alors, Etienne Dardel, vétéran d’internet, a allumé son ordinateur et a commencé à montrer le contre-champ inavouable du maintien de l’ordre sur Twitter : mains arrachées, joues trouées, personnes éborgnées… Le tout en interpellant à chaque fois le ministère de l’Intérieur : “Allô @Place_Bauveau, c’est pour un signalement…”
Dernière sommation, de David Dufresne, éd. Grasset, 234 p., 18€
-Lire la suite : https://abonnes.lesinrocks.com/2019/09/30/livres/livres/derniere-sommation-le-roman-dune-guerre-sociale-en-france-par-david-dufresne/
Avec la sortie d’iPadOS 13.1 pour tous, Apple poursuit sa campagne (publicitaire) en faisant découvrir les nouvelles fonctionnalités telles que le mode sombre, les gestes au clavier, le multitâches, l’écran d’accueil repensé, etc. Ce sont donc **quatre nouvelles vidéos, qui ont fait leur apparition sur sa chaîne.**
La première porte sur l’édition de texte et les nouveaux gestes pour sélectionner des mots ou des phrases, une petite gymnastique qui ne marche pas toujours du premier coup sur l’iPhone.
La seconde porte sur le mode multitâche.
On retrouve aussi comment utiliser le clavier QuickPath et le Swipe, qui permet de glisser son doigt d’une lettre à l’autre pour entrer un mot sur l’iPad et l’iPhone. Sur la tablette, QuickPath est également disponible en version clavier flottant, ce qui est pratique pour une utilisation à une main.
Enfin, la dernière et consacrée à Slide Over, qui permet désormais d’accéder rapidement aux apps récentes et favorites.
Source : www.mac4ever.com
