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Lyonel Kaufmann blogue…

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Sur la route à moto avec un café

Diary

Mardi 5 juillet – Etape 5 : de Stavanger à Bergen #Roadtrip #Norvège 2016

5 juillet 2016 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Deuxième jour de voyage en Norvège, je prends le rythme : lever à 7h15, départ à 9h30. Quoique, c’est lorsqu’on croit être dans le rythme que les surprises viennent. Allons-y sans plus attendre !

En fait, ma journée a été non pas double, ni triple, mais quintuple. Pour te simplifier quelque peu la vie, cher lecteur, ce premier billet sera uniquement consacré au trajet entre Stavanger et Bergen. La ville de Bergen fera elle l’objet d’au moins un autre billet. Démarrons donc !

Aujourd’hui le plan de route est extrêmement simple : rejoindre la E39 jusqu’à Bergen. Il suffit de trouver le petit encadré vert E39 avec l’indication Bergen et c’est tout bon.

En tout, jusqu’à l’hôtel, c’est 182 kilomètres sans les traversées en ferry. Ah oui, voilà qui n’est pas de la routine, la E39 est interrompue par deux traversées en ferry.


Autre chose, par deux fois, je passe sous la mer, via un tunnel, pour passer d’une terre à l’autre. C’est notamment le cas avec un tunnel de 7,6 kilomètres de long. Généralement tu commences avec le tunnel à descendre, descendre pour passer sous l’eau, tu restes un moment «à plat, puis tu remontes, remontes à la surface. La lecture de ton GPS n’est pas banale : ton tracé est sur la terre, puis tu le vois dans l’eau (ben t’y es sous l’eau).

Autrement la route est moins ébouriffante qu’hier. C’est normal, rappele-toi, c’était pas la E39 la plus belle de routes, mais la Rv460 et surtout la RV44. Donc aujourd’hui, je mettrais régulièrement le régulateur de vitesse et je regarderai tranquillement le paysage. Ce dernier ressemble quelque peu au Québec et parfois au Jura, sauf que t’est pas à 1200-1400 mètres d’altitudes, mais que tes sapins et tes cailloux sont ici à 40-50 mètres au-dessus du niveau de la mer !

Si les paysages ne sont pas aussi ébouriffants qu’hier, je trouve néanmoins un joli fjord. Je m’arrête et prend mon temps pour faire les photos d’usage à l’aide de mon trépied.


Au niveau du temps, c’est couvert à ensoleillé. Je traverse néanmoins deux averses aussi soudaines que courtes. La deuxième arrive juste au péage du deuxième ferry. La préposée me laisse passer en m’indiquant que je pourrai payer sur le ferry. Sympa, je le fais, mais en même temps je n’aurai aucun contrôle sur le ferry. Il m’est d’avis que tout était basé sur la confiance.


Après la deuxième sortie du ferry, il me reste une trentaine de kilomètres pour arriver à Bergen. Rapidement la circulation se fait plus dense. Avec 250’000 habitants (+ les voitures des touristes l’été), Bergen est la deuxième ville de Norvège. Pas rien…

J’arrive à l’hôtel avant 16h00. C’était prévu pour me laisser le temps de visiter la ville. C’est mes deuxième, troisième, quatrième et cinquième journées. Si, si…

Prochaine étape : Loen (8h14 de route et 440 kilomètres prévus… ouch!)

Lundi 4 juillet – Etape 4 : de Kristiansand à Stavanger #Roadtrip #Norvège 2016

4 juillet 2016 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Levé péniblement à 7h30, je fais la connaissance des fameux et fort copieux déjeuners norvégiens. A 9h30 débute ma première journée sur les routes norvégiennes. Attachez vos ceintures et ouvrez bien les yeux.

A peine suis-je parti au guidon de Captain Adventure que je croise sur leur moto le couple italien de la veille, puis c’est au tour des deux motos des Belges. Et tout ça à sans être encore sorti de Kristiansand.

La sortie de Kristiansand et les premiers kilomètres me permettent de prendre mes repères. Rien de très déstabilisant.

Mon premier point de chute est Mandal à 40 km de Kristiansand. Je suis sur la E39, une route nationale où la vitesse est limitée entre 70 et 80 Km/h. Attention aux radars ! Pour m’en assurer, la route étant suffisamment large et peu sinueuse, j’utilise mon régulateur de vitesse. Le paysage me fait penser au Québec (en taille plus petite néanmoins) avec ses arbres et ses petits lacs. Plutôt sympa.

Premier fjord u jour photographié après Mandal. Banal…
Premier fjord du jour photographié après Mandal. Banal…

Les choses sérieuses débutent à Vigeland quand je quitte la E39 pour la Rv 460. J’y ajoute une couche en prenant sur Åvik qui, certes est un cul-de-sac, mais qui vaut le détour avec sa route sinueuse à souhait et ses fjords d’enfer.

Åvik parce que ce village le vaut bien
Åvik parce qu ce village le vaut bien

Depuis ce moment et jusqu’à Ogna, ce sera d’enfer. A chaque virage, l’envie vient de s’arrêter pour reprendre son souffle (et des photos). Une tuerie, pas plus, pas moins. Cette journée me rappelle ces mêmes impressions de « wouah » à répétition que lorsque nous avons parcouru il y a 25 ans le Connemara. Il faudrait au moins deux semaines pour avoir le temps de s’arrêter et prendre en photos tout ce qui était fascinant. Comme il est en plus guère évident de s’arrêter au bord de la route, j’en viens presque à regretter de ne pas avoir fixé une GoPro sur mon casque ou sur la moto pour prendre en instantané toutes les photos désirées.

Après Åvik, je reviens un peu en arrière pour atteindre ma visite du jour : le phare de Lindesnes qui est le premier phare de terre ferme, datant du milieu 17e siècle, recensé en Norvège. Je ne saurais trop vous le conseiller. C’est mon coup de cœur du jour,

Le phare de Lindesnes
Le phare de Lindesnes

C’est à Lindesnes que je croise la route du couple de motards français de la veille. Elle sur sa Deauville, lui sur son Intruder. C’est Madame qui se charge de la route. Décidément, comme au Connemara une nouvelle fois, on a tendance à croiser et recroiser les mêmes personnes. Et ce n’est pas fini !

Le phare étant au point le plus méridional de la côte, un nouveau petit retour en arrière s’impose. Pas grave, je me gave une nouvelle fois de vue magnifiques. Bifurcation ensuite pour rejoindre Lyngdal. La route est toujours magnifique, puis depuis Lyngdal je reprends la E39 pour rejoindre Flekkefjord. A noter qu’il est possible d’éviter la E39 (quoique elle est plutôt sympa…) et de prendre la Rv43 qui conduit à Farsund, puis la Rv 465 qui passe par Kvinesdal avant de rejoindre Flekkefjord. C’est un détour d’au minimum 60 km… A vous de voir !

Flekkefjord est la porte d’entrée de la Rv 44 qui permet de rejoindre Stavanger par la côte. Une route I.N.D.I.S.P.E.N.S.A.B.L.E. et le mot est faible. Je crois que je n’en suis pas encore revenu.

Église de Flekkefjord
Église de Flekkefjord

Mais avant, je fais un petit arrêt dans ce charmant petit port de Flekkefjord et j’en profite pour me restaurer et pour flâner. Je vous conseille l’arrêt.

Après c’est du pur délire d’Åna-Sira à Ogna en passant par Egersund. Ca monte, ça descend, et s’enchaînent les fjords, les virages, les roches comme les plateaux. Un pur régal à moto (comme avec la Rv 460). Ce d’autant plus après près de trois jours d’autoroute.


Un peu avant Ogna, je reviens sur mes pas pour faire des photos, mais cela sera l’objet d’un billet supplémentaire pour une nouvelle rencontre sympa.

Depuis Ogna, je longe les plages pour rejoindre Bryne, puis Stavanger. Les paysages sont moins sympas, mais ça repose…

La dernière rencontre du jour a lieu en arrivant à l’hôtel : la moto des Italiens, soit également une BMW GS 1200 Adventure blanche…

Il est 19h15. J’ai parcouru 314 kilomètres et le moral est au beau fixe.

Prochaine étape : Bergen

Dimanche 3 juillet – Etape 3 : Kristiansand #Roadtrip #Norvège 2016

3 juillet 2016 by Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Entrecoupée par les bruits des supporters fêtant le succès de l’Allemagne, ma nuit s’interrompt à 7h30 avec Bruce Springsteen (« I got a sixty-nine Chevy with a 396… »). Il ne faut pas trop tarder, car j’ai un bateau à prendre à 16h00 et 511 km à faire.

Après un déjeuner relativement copieux, j’embraie à 9h00 direction l’autoroute pour Hirsthals (Danemark).

Une fois sur l’autoroute, je fais connaissance avec les travaux. Sur près de 60 kilomètres, j’ai traversé plus de 30 km dans des travaux limités à 80 km/h. Ça met d’humeur joyeuse ! D’autant que les 430 kilomètres suivants sont longs et monotones.

Au niveau de la météo, à part la neige, je vais tout rencontrer. Parfois les conditions changent sur moins d’un kilomètre. Soleil, nuages gris, nuages blancs, nuages gris ou gris très noirs extrêmement bas. Toute la panoplie y passe. Il en est de même avec la pluie, tous les modèles sont en magasin ce matin. Le pompon se produit à moins de 60 kilomètres d’Hirsthals alors que je fais le plein sur une mini-station self-service, la mousson tombe sur moi. S’en est un peu trop pour mes bottes. Elles crient « pouce », mais bon on continue. Heureusement après cette dernière bourrasque, 20 kilomètres avant Hirsthals, le ciel désormais est bleu entrecoupé de nuages blancs inoffensif et d’un fort vent. Heureusement, dis-je, car les terminal est posé au milieu de nulle part et j’ai 1h30 à attendre avant d’embarquer. Je vais pouvoir souffler et sécher…

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Comme un air de Bagdad Café avec ce terminal au milieu de nulle part.

Juste avant d’arriver au terminal, une plage de sable fin dont profitent des motorhomes. Autrement, vous arrivez dans un giratoire qui indique les noms des différentes compagnies de ferry. Point barre. Riant.

Captain Adventure attend pour embarquer
Captain Adventure attend pour embarquer

La colonne 12 est réservée aux motos. Un Norvégien et deux Allemands m’ont précédé. Suivront d’autres Norvégiens, un couple de Britanniques, un couple d’Italiens, deux Français, deux Belges et deux Norvégiennes dont une sur une Spider Can-Am trois roues, magnifiques. Et quelques autres encore.

Il convient de bien arrimer les motos…
Il convient de bien arrimer les motos…

A 16h15, il est temps d’embarquer. Ce sont les motos qui pénètrent dans la soute juste après des cyclistes. A l’intérieur, il s’agit d’arrimer nos brêles, car, même si la mer est calme, ça tangue ! Ni Christine, ni Nathan n’étant là, je bénéficie de l’aide de mon voisin allemand. Cool.

Terre norvégienne !
Terre norvégienne !

Dès que le bateau démarre vers 17h15, un gros coup de barre m’étreint. Deux heures trente plus tard, il est temps d’accoster. Il est un peu plus de 20 heures quand je mets pied à terre devant mon hôtel juste à côté du port de débarquement.

Plutôt pas mal cet hôtel , non ?
Plutôt pas mal cet hôtel , non ?

Mort de faim, je défait vite mes affaires et me précipite dans le premier restaurant venu. Il est 20h45. Mais bonne surprise alors qu’il est indiqué 21h00 comme heure de fermeture, il est encore possible de manger. N’ayant mangé qu’une pomme depuis le déjeuner, un bon morceau de viande me tend les bras.

La cathédrale de Kristiansand
La cathédrale de Kristiansand

A 22h00, je sors du restaurant. Il fait encore jour. C’est cela la vie du Nord l’été. Mais il fait frais et les gens ne s’attardent guère dans les rues.

Le Kilden en jette !
Le Kilden en jette !

Je découvre néanmoins la cathédrale et surtout le Kilden, la nouvelle salle de concert et nouvelle fierté de la ville sur Odderøya. Des cafés et restaurants complètent le tableau. Je ne m’attarde pas et rentre à l’hôtel.

Résumé du jour : 515 km parcourus. Températures entre 12,5 et 17,5 degrés. Pour arriver en Norvège, j’ai parcouru 1517 kilomètres

Prochaine étape : Stavanger par la côte.

Samedi 2 juillet Etape 2 : Hambourg #Roadtrip #Norvège 2016

3 juillet 2016 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

A 8h15, le réveil sonne après une bonne nuit de sommeil. Dehors, le temps a changé, désormais il est gris et il pleut.

Après un déjeuner copieux, il est temps de reprendre la route. A 10h30, la moto est chargée de son bardas et moteur, direction une station d’essence, car Captain Adventure a soif.

Une fois le plein fait, le rapide regard sur le temps donne la décision : ce sera l’autoroute.

Jusqu’à Göttingen, elle sera plaisante. Montées, descentes, tracé sinueux, forêts agrémentent le trajet. La pluie aussi en alternance avec un temps couvert. Après Göttingen, l’autoroute est plus monotone. Seuls les travaux agrémenteront et ralentissent quelque peu l’avancement du voyage. Quand la route le permet, je tourne la poignée des gaz… en toute légalité. Ça pousse…

Après 300 kilomètres, j’aperçois le premier bout de ciel bleu et même du soleil.

A 16h03 et deux pauses, j’arrive à Hambourg et à mon hôtel. Rapidement, je prends possession de la chambre, je gare ma moto dans le garage de l’hôtel (8€), je me change et à 17h00 je m’en vais découvrir la capitale de l’Allemagne du Nord.

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L’hôtel de ville dans la vieille ville et sous le soleil

Et c’est une très belle découverte. Il n’y a pas à dire, mais les Allemands maîtrisent l’art de la ville. Autant la vieille ville (largement reconstruite après la guerre) que la ville nouvelle sont plaisantes. S’ ajoute encore la patte des alternatifs. En plus, la ville est largement traversée par l’Elbe et c’est alors un enchantement de ponts et de canaux.

La ville nouvelle sous la pluie
La ville nouvelle sous la pluie

Il y a également beaucoup de monde dans les rues. Normal pour un samedi. Beaucoup de personnes vivant en rue également. Tout cela sans agressivité.

Ville nouvelle et quartier alternatif s'entremêlent
Ville nouvelle et quartier alternatif s’entremêlent

Beaucoup de gens sont installés le long de l’Elbe et profitent alors du soleil. Cependant, si je débute ma visite avec le soleil, soudain de brusques et violents orages se déclenchent, puis prennent rapidement fin. Tout ceci en une fraction de seconde ou presque. Dans ces moments-là, les arcades des bâtiments sont les bienvenues comme le tablier du métro aérien.

La pluie m'arrête juste avant d'arriver au port
La pluie m’arrête juste avant d’arriver au port

Au final, c’est une ville qui mérite le détour. Il faut se laisser entraîner en-dehors des chemins battus. Vous passerez alors de quartiers en quartiers, chacun très différent l’un de l’autre. Une surprise, ou presque, vous attend à chaque coin de rue. Avec l’Elbe, c’est aussi le port et ses quartiers, mais je n’ai pas eu le temps d’y parvenir, arrêté par la pluie et la faim.

Je me dirige donc vers une brasserie précédemment repérée. Le repas ne sera pas à la hauteur de l’attente. En même temps, je peux observer les clients qui regarde le quart de finale Allemagne-Italie. La joie après le but allemand fait place à de l’anxiété après l’égalisation de l’Italie. Je pars après la première prolongation. Il se fait tard.

Sur le retour, je profite pour admirer la ville de nuit.

Le long du canal les maisons et l’eau ont un petit air de Venise.

Comme un petit air de Venise
Comme un petit air de Venise

Lorsque j’arrive à proximité de la gare centrale, je m’arrête dans une fan zone. C’est l’heure des penalties.

La foule attentive
La foule attentive

Les supporters passent par tous les états d’âme avant l’explosion finale.

C'est l'explosion après le dernier penalty réussi par l'Allemagne.
C’est l’explosion après le dernier penalty réussi par l’Allemagne.

La nuit promet d’être longue. Je m’interroge sur la tolérance aux Klaxons. Est-ce une heure après le match comme sur la Riviera. Suspens.

Résumé du jour : 486 km parcourus, 6,4 litres au 100 km.

Prochaine étape : Hirsthal et le ferry pour Kristiansand

Après la pluie, le beau temps

22 juin 2016 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Photo prise le 23 septembre 2015 à 18h03

On espère, on espère en cette année 2016.

Exposition Signac | Musée Hermitage (Lausanne)

16 mai 2016 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En ce dimanche de Pentecôte, nous en profitons pour nous rendre au musée de l’Hermitage à Lausanne et visiter l’exposition consacrée à Paul Signac (1863-1935), une vie au fil de l’eau. Celle-ci est encore visible jusqu’au 22 mai.

Concernant Paul Signac, celui-ci est né à Paris le 11 novembre 1863, où il meurt le 15 août 1935, est un artiste peintre paysagiste français, proche du mouvement libertaire, qui donna naissance au pointillisme avec le peintre Seurat. Il a aussi mis au point la technique du divisionnisme. Cofondateur avec Seurat de la Société des artistes indépendants dont il fut président, il est ami avec Victor Dupont, peintre fauve et vice-président du Salon.

Le Pont de Bercy, Paris, 28 février 1925, plume, lavis d'encre brune et d'encre de Chine, collection privée.
Le Pont de Bercy, Paris, 28 février 1925, plume, lavis d’encre brune et d’encre de Chine, collection privée.

Dans l’exposition, j’ai plus particulièrement apprécié les aquarelles et le travail à l’encre de Chine. Par certains côtés, ce travail a un côté bande dessinée très actuelle. Dans l’exemple du Pont de Bercy, je me retrouve personnellement dans un univers proche de celui de Tardy. En fait, c’est plutôt l’univers de Tardy qui s’apparente à celui de Paul Signac !

Venise (1908), Le Rédempteur

Dans tous les cas, ses scènes maritimes sont tout simplement superbes.

Saint-Malo (14 mars 1928), aquarelle

Dépêchez-vous !

Chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir.

7 mai 2016 by Lyonel Kaufmann

Samedi 7 mai. Après avoir parcouru le village de Moustiers-Sainte-Marie et nous être sustenté, nous entreprenons de grimper à la chapelle de Notre-Dame-de-Beauvoir.

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Le chemin plutôt escarpé pour y monter.

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De très beaux vitraux sont à découvrir à l’intérieur de la chapelle.

Moustiers-Sainte-Marie

7 mai 2016 by Lyonel Kaufmann

Samedi 7 mai. Le soleil est présent en compagnie de nuage et d’un vent parfois capricieux et présent par rafales. La visite de Moustiers-Sainte-Marie est inscrite au programme de notre journée.

Moustiers-Sainte-Marie

Le village de Moustiers-Sainte-Marie

Moustiers-Sainte-Marie est une charmante localité fort touristique, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Elle est blottie contre un escarpement rocheux. Au-dessus du village, on accède par un chemin fort escarpé à la Chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir.

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La cascade Au centre du village avec, au-dessus, la Chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir

La baie de Cassis et les calanques

7 mai 2016 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Vendredi 6 mai. Depuis la route des Crêtes, il est encore temps de jeter un dernier regard sur la baie de Cassis et les calanques.


La baie de Cassis et les calanques : un paysage sauvage observé depuis la route des Crêtes et Cap Canaille. 

Fin du compte-rendu du vendredi 6 mai.

Cap Canaille (falaise)

7 mai 2016 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Vendredi 6 mai. Ou après la croisière dans les calanques, il est l’heure de prendre la route des Crêtes en direction de La Ciotat.

Arrivés au port, nous nous arrêtons d’abord sur une terrasse pour profiter du passage incessant de la foule sur le port, puis nous remontons à pied pour reprendre notre voiture et emprunter la très escarpée et étroite route des Crêtes. La route est fermée lorsqu’il y a trop de vent. C’est tout juste aujourd’hui, à mon humble avis.


Vue sur la mer depuis la falaise de Cap Canaille. Plutôt impressionnant, non ?

To be continued…

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