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Lyonel Kaufmann blogue…

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Sur la route à moto avec un café

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Battlefield V review: war never changes – The Verge

25 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Selon le compte-rendu et l’avis d’un joueur expérimenté à propos du dernier volet de la série, Battlefield V montre que la série a besoin d’une nouvelle direction. La chronique montre les limites des jeux vidéos de guerre et envisage des ouvertures vers une expérience plus proche de l’expérience combattante. Et ainsi de l’histoire. Intéressant.

Le début de sa chronique de T.C. Sottek est sans appel :

« Combattre les nazis arrive à nouveau à point nommé, et pourtant le retour de Battlefield à la Seconde Guerre mondiale semble malavisé. Une guerre sans fin a fait des ravages dans cette série, et les généraux ont besoin d’une nouvelle stratégie.»

Cela ne l’empêche pas de commencer avec des éloges.  Battlefield V est un jeu cinématographique à couper le souffle. Ayant eu l’occasion de regarder mon fils y jouer, je confirme absolument ce point. C’est bluffant. A tel point que même moi j’ai envie d’y jouer !

Autre élément mis en avant, l’interface utilisateur est meilleure que jamais.

Cependant, jouant à Battlefield depuis 2012, notre chroniqueur a passé des milliers d’heures à jouer à ces jeux. Devenu adulte :

«Un ancien moi a décidé d’aimer ces jeux, et maintenant je suis maudit par ma maîtrise d’eux. À ce stade, il est difficile de dire si je joue pour le plaisir ou pour la routine.»

Le mode multijoueurs semble avoir atteint ses limites :

« Le mode multijoueurs de Battlefield V est essentiellement le même chaos : capturer un point, conduire un tank, piloter un avion, mourir, répéter. La personnalisation et la progression des personnages sont fastidieuses et n’ajoutent pas grand-chose à l’expérience».

Il compare alors Battlefield avec un autre wargame, Post Scriptum :

«Post Scriptum est un jeu de tir qui vous permet de faire autre chose que de tirer, ce qui devrait être l’avenir de tout jeu multijoueur avec des armes.»

Il en revient alors au mode de campagne solo présent dans Battlefield V en souhaitant que l’éditeur en fasse plus en la matière :

«Et puis il y a la campagne solo de Battlefield V, qui m’a vraiment surpris. Le format « War Stories », introduit en 2016 dans Battlefield 1, est la tentative la plus intelligente que j’aie jamais vue pour raconter des histoires en solo dans des jeux de guerre. J’aurais aimé que DICE en fasse plus. Il n’y a que trois histoires de guerre à jouer dans Battlefield V, dont une quatrième en décembre. (Battlefield 1 en avait six.)»

Une manière peut-être de se rapprocher de manière plus réaliste du contexte de guerre :

«Au lieu de jouer un héros intouchable qui massacre inexplicablement des hordes d’ennemis comme tant d’autres tireurs, ces nouvelles vous permettent d’être une partie vulnérable de la machine à tuer de la guerre, qui se sent plus authentique que d’obtenir les bons costumes.»

A ce titre, le jeu vidéo se rapprocherait plus de l’expérience combattante et ainsi de l’histoire :

« Le format des Histoires de guerre fait aussi habilement écho à l’expérience intangible d’entendre de vraies histoires de guerre racontées, qui se situent souvent à mi-chemin entre de vrais récits historiques et des contes qui s’allongent dans le temps. J’ai été impressionné par l’histoire de deux frères d’Afrique de l’Ouest qui ont été envoyés en France pour combattre pour une puissance coloniale dont ils n’avaient jamais vu la terre. Après avoir pris leurs fusils et leur avoir donné des pelles, les soldats français ont dû surmonter le racisme de leurs alliés avant d’être autorisés à atteindre la gloire au combat – pour se voir effacés de l’histoire dans l’épilogue de l’histoire. C’est une histoire serrée et puissante en solo qui s’inscrit dans le contexte moderne d’un vétéran qui réfléchit à sa longue contribution secrète à l’histoire. J’en voulais plus comme ça.»

Il termine sa chronique en appelant de ses voeux que ses histoires soient la pièce maîtresse d’un jeu plus complet et non un élément annexe d’un jeu multijoueurs. Une collection d’histoires de guerres inédites ne lui déplairait pas.

Source : Battlefield V review: war never changes – The Vergein

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“L’Adieu aux armes”, un superbe film dramatique qui surprend par sa liberté – Télérama

15 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’amour plus fort que la guerre : tel est le message de ce long métrage réalisé par Frank Borzage en 1932 et qui ressort en salles dans une version restaurée. Gary Cooper y est splendide.  Tout d’abord, ce film d’amour en temps de Première Guerre mondiale, sur le front italien, a été l’une des premières victimes de l’application du fameux code Hays, écrit en 1930. Et, sans donner raison aux censeurs de l’époque, on les comprend. Car le premier contact entre l’ambulancier américain incarné par Gary Cooper et l’infirmière (Helen Hayes) dont il va tomber follement amoureux est on ne peut plus hot. A cause d’une alerte aérienne, ils se retrouvent l’un contre l’autre, dans un sous-sol, dans le noir. Ils ne se sont jamais vus, mais l’homme, très saoul, attrape la jambe et le pied nus de cette fille en chemise de nuit, car il la prend pour une autre…

  • Lire la suite sur  “L’Adieu aux armes”, un superbe film dramatique qui surprend par sa liberté – Sortir Grand Paris – Télérama.fr

Crédit photo :  L’Adieu aux armes, de Frank Borzage (1932), avec Gary Cooper et Helen Hayes © Théâtre du Temple

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Sarah #Chardonnens « On n’arrête pas un peuple qui danse » Acte 6 Un peuple sans histoire partagée et une mémoire réconciliée a-t-il un avenir ? #lecture #été2018

7 août 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

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G7 vs Russie-Chine : deux sommets, deux photos, un perdant l’Europe post-1945 ?

10 juin 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Russie – Chine ou Chine – Russie : le nouvel ordre (économique) mondial ? C’est la question que l’on peut se poser après le fiasco du dernier G7…

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Vladimir Poutine et Xi Jinping jouent l’unité face au « babillage » du G7 [Sergei Guneyev, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP – Keystone]
Alors que le sommet du G7 a été torpillé par Donald Trump à la toute fin de la réunion, les dirigeants russe et chinois Vladimir Poutine et Xi Jinping ont eux affiché dimanche leur unité et loué l’expansion de leur bloc asiatique.

Source : Vladimir Poutine et Xi Jinping jouent l’unité face au « babillage » du G7 – rts.ch – Monde

Cette photo de Valdimir Poutine et Xi Jinping contraste largement avec celle qui restera probablement la photo du sommet du G7 à Charlevoix.

Photo prise le deuxième jour du sommet des G-7 meeting à Charlevoix, Canada.(Steffen Seibert/Ministère allemand de l’information).
Comme l’indique le Washington Post :

« Il y a eu des centaines, sinon des milliers, de photos prises au sommet du Groupe des Sept à Québec ce week-end, un rassemblement de deux jours de dirigeants d’États membres pour discuter de tout, des changements climatiques à la politique commerciale internationale.

Mais l’une d’entre elle en particulier s’est distinguée après sa publication samedi et a ricoché autour d’Internet pour sa composition surréaliste.

Sur la photo, la chancelière allemande Angela Merkel se tient derrière une longue et étroite table, les deux mains pressées fermement dans sa surface au sommet de certains documents qui sont inclinés dans tous les sens. Avec une expression aussi neutre que possible, elle regarde directement le président Trump, qui est assis de l’autre côté de la ligne de partage. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)

Source : The G-7 summit, summed up in one photo | Washington Post

Sur l’interprétation de l’attitude de Donald Trump, l’avis de Damian Paletta et Anne Gearan, toujours du Washington Post :

« Il n’a pas reculé, ni émoussé ses critiques, et malgré les références aux prénoms « Angela » et « Justin », Trump a peu fait pour masquer sa méfiance à l’égard du modèle international de consensus sur les affaires mondiales que représente le G-7.

… Trump s’était plaint aux assistants avant la réunion qu’il ne voulait pas assister aux conférences des autres leaders, et il a réfléchi à l’idée d’envoyer le vice-président Pence à sa place.

Il est arrivé à la réunion en retard et est parti tôt, tenant une conférence de presse en solo le samedi matin où il a donné l’ultimatum commercial et a dit que la taille de l’économie américaine signifie que les autres nations ne peuvent pas gagner une guerre commerciale. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)

Source : Trump removes U.S. from G-7 joint statement over escalating feud with Canada’s Trudeau | Washington Post

Plus largement que la posture photographique de Donald Trump, l’analyse sur le fiasco de la conférence par Jennifer Rubin, chroniqueuse du Washington Post apportant une perspective de centre-droite (titre de son blog : Right Turn) :

« Après le comportement atroce et irrationnel du président Trump qui a conduit au sommet du Groupe des Sept, la désintégration de l’ordre mondial libéral en place depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et la possibilité d’une grave crise internationale ne semblent plus difficiles à imaginer. Le président, insensible à l’histoire, ignorant des faits et guidé par des flagorneurs, n’a pas été forcé de s’attaquer au monde réel ni d’entendre des points de vue qui ne coïncident pas avec sa vision du monde tordue, dans laquelle les alliés nous arnaquent et les hommes forts agressifs doivent être admirés et accommodés. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)

Source : After Trump’s G-7 summit fiasco, be afraid | Washington Post

Pour Jennifer Rubin,

« Trump a démontré une fois de plus qu’il est erratique et indigne de confiance – avec ses propres alliés ! Le contraste entre sa relation antagoniste avec les alliés démocratiques et le fait qu’il n’a jamais dit un seul mauvais mot à propos de la Russie défie toute explication, à moins que l’on accepte la théorie selon laquelle il est endetté d’une manière ou d’une autre envers le président russe Vladimir Poutine, dont la campagne pour interférer dans les élections américaines a aidé à faire atterrir Trump à la Maison-Blanche. » (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)

De toutes les façons possibles, il n’y a pas de raison de se réjouir pour l’Europe et le Japon. Et la photo de ce sommet symbolisera peut-être la fin peut-être de l’ordre mondial établit après deux guerres mondiales.

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“Nota Bene”, le Youtubeur qui raconte l’histoire grâce à la pop culture

25 mars 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Les croisades, la Révolution française ou l’Egypte antique dans Assassin’s Creed , les deux guerres mondiales dans Battlefield ou Call Of Duty , ou les jeux de gestion type Age of Empire ou Civilization qui ont pour but de faire évoluer un peuple sur plusieurs périodes historiques : si elle n’est que trame de fond d’une intrigue et d’un gameplay, l’histoire est omniprésente dans les jeux vidéo.

Lire la suite : “Nota Bene”, le Youtubeur qui raconte l’histoire grâce à la pop culture

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« Looking for Lenin » – Espace Images Vevey – 24.01.-04.03.2018

11 janvier 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Looking for Lenin

Depuis la révolution ukrainienne de 2014 et près de 25 ans après le démantèlement de l’URSS, le gouvernement en place cherche à effacer tous les symboles de l’ancien régime communiste.

Témoins des manifestations de la place Maïdan, Niels Ackermann et Sébastien Gobert sont partis à la recherche d’un des principaux symboles du passé communiste : les statues de Lénine. Pendant deux ans, le duo photographie près de 70 statues et recueille autant d’entretiens avec leurs gardiens ou propriétaires. Cette série se déploie aux yeux du spectateur à la manière d’un documentaire-inventaire, dans lequel se mêlent clichés et témoignages insolites.

Cette exposition a été a été réalisée en partenariat avec la Fotostiftung Schweiz. En 2017, elle a été présentée aux Rencontres d’Arles et a fait l’objet d’une publication éditée aux éditions Fuel Publishing (les éditions Noir sur Blanc pour la version française).


NIELS ACKERMANN & SEBASTIEN GOBERT

Photoreporter pour la presse suisse et internationale. Ses reportages en Ukraine lui ont valu de nombreuses distinctions dont le Swiss Press Award. Niels Ackermann a participé au Grand Prix Images Vevey 2007/2008. Sébastien Gobert vit en Ukraine depuis 2011, où il est correspondant pour Le Monde diplomatique, Libération et Radio France internationale.

Vernissage public le 24 janvier à 18h30
Exposition à voir jusqu’au 4 mars
ENTREE LIBRE
Je-Ve : 17h-19h / Sa-Di : 14h-18h

Informations : https://www.images.ch/fr/espace-quai1/expositions/niels-ackermann_sebastien-gobert/

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Le Goncourt à Eric Vuillard et le Renaudot à Olivier Guez

6 novembre 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le Goncourt et le Renaudot ont consacré cette année deux romans ayant pour toile de fond la Deuxième Guerre mondiale et le nazisme. 

D’Eric Vuillard, on avait préféré Tristesse de la terre en 2014, l’histoire de l’invention de la société du spectacle avec Buffalo Bill. Avec L’Ordre du jour (Actes Sud), son roman paru en mai qui vient de recevoir le Prix Goncourt, il nous plonge dans les coulisses du IIIème Reich, ou comment la seconde guerre mondiale s’est aussi faite dans des salons feutrés, de bras de fer entre diplomates à des tractations entre industriels.

Même obsession pour la seconde guerre mondiale du côté du Prix Renaudot attribué aujourd’hui même à Olivier Guez pour La Disparition de Joseph Mengele (Grasset) : le récit de la planque du médecin nazi en Amérique du Sud pendant trente ans. C’est digne, très documenté, mais ça ressemble à un long article.

Source : Le Goncourt à Eric Vuillard et le Renaudot à Olivier Guez

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Les séries TV, toutes ces histoires qui donnent envie de l’Histoire

3 novembre 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

«Game of Thrones» fascine par sa médiévale attitude, «Vikings» passionne avec ses Nordiques hipsters: bulldozers de la culture populaire, les séries empoignent l’Histoire. Et elles en donnent appétit aux étudiants

Source : Les séries TV, toutes ces histoires qui donnent envie de l’Histoire

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Bramberg (1)

11 octobre 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

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Monument de la bataille de Lauren (1339) à Bramberg, sur la commune de Neuenegg.

Après Schwarzenburg et sa campagne, je poursuis en direction de Neuenegg à la recherche du monument de la bataille de Laupen (1339). Arrivé à Bramberg, le monument est facilement repérable, trônant au sommet d’une crête.

La bataille de Laupen eut lieu le 21 juin 1339. Elle opposa une coalition formée par Louis IV de Bavière contre les Bernois. Ces derniers sortirent vainqueurs près de Bramberg.

La coalition était formée des troupes de plusieurs seigneurs et comtes de l’actuelle Romandie (notamment de Fribourg, de Neuchâtel et du Jura). Ils déclarèrent la guerre à Berne à Pâques 1339 pour tenter de reprendre le contrôle de la ville de Laupen. Celle-ci fut assiégée mais les troupes bernoises commandées par Rodolphe d’Erlach et aidées par des soldats des Waldstätten provenant de Soleure, réussirent à repousser les tentatives.

L’assistance prêtée par les Waldstätten pendant la guerre de Laupen a facilité l’entrée de Berne dans la Confédération en 1353.

On attribue l’origine du drapeau suisse (en tant que signe de ralliement) à cette bataille. Les Confédérés de divers cantons, pour se différencier de l’ennemi, portèrent des croix blanches sur des habits rouges. Jusqu’alors, les troupes arboraient leurs propres couleurs.

Source : Christian Folini, « Guerre de Laupen » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.

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Sur les quais #Besançon | Photo du jour

18 septembre 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

 

Passage express sur les quais à Besançon après le #MueBesancon.

Pour plus d’information sur ce projet : Pour accompagner et suivre le projet de #MueBesancon un site dédié a été créé : http://mue.ac-besancon.fr. Sur Twitter, suivre @acbesancon @EspeBesancon @Canope_25, tag #MueBesancon

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