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Lyonel Kaufmann blogue…

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Sur la route à moto avec un café

histoire

Comptes-rendus : « Filmer la guerre (1944-1946). Les Soviétiques face à la Shoah »

29 septembre 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’exposition et son catalogue ouvrent des perspectives passionnantes sur la construction d’une mémoire soviétique isolée des représentations occidentales. Rendue plus complexe encore par les déplacements de frontières d’après-guerre brouillant la notion de juifs « soviétiques », « hongrois » ou « polonais », puis par la Guerre froide, elle évolue vers une reconnaissance ambiguë de la Shoah dans les années 1960. L’ignorance internationale de ces images, à l’exception de celles qui ont été utilisées lors des procès de Nuremberg, sera durable. Sans négliger la volonté parallèle des États-Unis de ne pas mettre en exergue, au moment de la libération de l’Europe, la spécificité de l’extermination des juifs, le silence autour des images soviétiques s’explique surtout d’un côté par la censure et le secret qui étaient de mise en URSS, de l’autre par la méfiance occidentale envers la propagande soviétique. Méfiance qui fut exacerbée à juste titre par l’affaire de Katyn et le film soviétique falsifié attribuant aux nazis le meurtre des officiers polonais perpétré par le NKVD en 1940. L’exposition contribue ainsi à expliciter tant la compréhension tardive de l’importance d’Auschwitz que la longue méconnaissance occidentale de la « Shoah par balles » perpétrée à l’Est et, a contrario, à avancer sur le chemin d’une mémoire européenne partagée.

Notes : Valérie Pozner, Alexandre Sumpf, Vanessa Voisin (dir.), Filmer la guerre (1944-1946). Les Soviétiques face à la Shoah, Paris, Éditions du Mémorial de la Shoah, 2015, 128 p.

via Histoire@Politique : comptes-rendus : « Filmer la guerre (1944-1946). Les Soviétiques face à la Shoah ».

Églises des Templiers | Roadbook

22 juillet 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire


A Luz-Saint-Sauveur, vous trouverez une église fortifiée dont l’origine remonte à la fin du xie siècle.

Dite « des Templiers », en fait des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, l’église saint-André a été construite aux xiie et xiiie siècles. Au xive siècle, les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem ont construit des remparts autour de l’église pour protéger les habitants de Luz des attaques des bandits espagnols appelés les «miquelets». À cette époque, un grand fossé entourait l’église et un pont-levis permettait de le franchir. Quelques années plus tard, la chapelle Notre-Dame de la Pitié a été édifiée à l’intérieur des remparts pour demander à Dieu de mettre fin à une épidémie de peste noire qui a ravagé le pays Toy vers 1650. En 1865, une nouvelle porte a été ouverte pour faciliter l’entrée. Plus récemment une nouvelle tribune a été construite.

Sur Luz-Saint-Sauveur : Article Luz-Saint-Sauveur (Wikipedia)

Lecture : Mexique : sur les pas de Frida Kahlo | Ballast

23 juin 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Comme toujours, l’icône voile la personne. Frida Kahlo décore désormais des sacs à main, inspire des couturiers et colore des tasses à thé : triste sort. Revendiquée par toutes les causes possibles et imaginables, chacun voit « Frida » (un prénom, comme toujours lorsqu’il s’agit de parler d’une femme) à sa porte. BALLAST est parti au Mexique pour tenter de retrouver un peu de la peintre, de sa vie et de ses toiles, de Mexico à l’isthme de Tehuantepec, dans l’État de Oaxaca, là où les femmes revêtent encore les tenues que Kahlo donnait à découvrir dans ses peintures.

« Je ne peux plus supporter ces maudits « intellectuels » de mes deux. C’est vraiment au-dessus de mes forces. Je préférerais m’assoir par terre pour vendre des tortillas sur le marché de Tolúca plutôt que de devoir m’associer à ces putains d’ »artistes » parisiens », jurait-elle.

Ballast l’a pris au mot et préfère pour évoquer son souvenir, les ruelles de son pays natal aux galeries de nos musées.

Le reportage : BALLAST Mexique : sur les pas de Frida Kahlo

Élisée Reclus et le génocide arménien | Géographies en mouvement

26 avril 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le géographe Élisée Reclus (1830-1905) est l’un des premiers, sinon le premier, à avoir cartographié le génocide des Arméniens. Comme quoi, la cartographie thématique et sa représentation d’événements géopolitiques existaient déjà un siècle avant aujourd’hui.

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Cette carte, à l’échelle 1 : 7 500 000, se trouve dans le volume V de son dernier ouvrage, L’Homme et la Terre (1905). Intitulée « Lieux de massacres des Arméniens », elle repère les différents « lieux d’égorgement ou de lutte » qui eurent lieu d’août 1894 à novembre 1896 à l’est de l’Anatolie. Il y ajoute, en légende, les sites de Constantinople et d’Ezeroum, précisant que « de 1896 à 1904, les tueries n’ont point cessé, mais elles ont été moins systématiques ».

Élisée Reclus, qui décède en 1905, n’a donc pu voir leur reprise en 1915-1916. Mais, en ces temps de commémoration du génocide arménien, il n’est pas inutile de voir quelle analyse il en faisait de ses prémisses.

Lire la suite  : Géographies en mouvement – Élisée Reclus et le génocide arménien – Libération.fr)

En réponse à Cesla Amarelle, le graphique de l’immigration en Suisse depuis 1860

3 mars 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Cet article intéressera plus particulièrement les historiens avec une comparaison Suisse/USA.

La semaine passée, Cesla Amarelle, conseillère nationale socialiste vaudoise et spécialiste des questions d’immigration au parlement, trouvait superbe un graphique illustrant l’immigration américaine de 1829 à nos jours, et demandait si un tel travail avait été réalisé en Suisse. Certes! La semaine passée, la Conseillère nationale Cesla Amarelle publiait le graphique suivant sur son compte…

http://www.hebdo.ch/les-blogs/dessemontet-pierre-la-suisse-%C3%A0-10-millions-dhabitants/en-r%C3%A9ponse-%C3%A0-cesla-amarelle-le

Prendre des notes à l’ère numérique (1)

23 février 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Prendre des notes à l’ère numérique (1)

Les outils numériques sont omniprésents. Ordinateurs, notebooks, tablettes, phablettes et smartphones meublent notre quotidien. Quand j’entre dans la chambre de ma fille, il n’est pas rares que je la trouve devant trois écrans. La plupart d’entre nous sont connectés à deux appareils simultanément.
Par ailleurs, la puissance d’un smartphone est digne d’ordinateurs performants récents. Les claviers prédictifs, sans parler de la reconnaissance vocale, améliorent la saisie de texte et notre rapidité d’exécution.
Pour autant, après de nombreuses années à utiliser ces outils numériques, je reprends régulièrement des carnets papiers et du plaisir d’écrire à la main.
Ces prochains jours, en déplacement à l’étranger, je vais me contenter de mon iPhone et de mes carnets en papier. Histoire de faire le point sur mon rapport à l’écriture numérique.
Pour prendre des notes, j’envisage d’utiliser : Evernote, Twitter, WordPress et ByWord. Et évidemment mon mail.
À suivre…

Revue de Presse : Imaginations historiennes

23 février 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’imagination est-elle une ressource ou une menace pour l’écriture de l’histoire ? Indéniable outil de connaissance, elle permet surtout de faire le lien avec d’autres mises en présence du passé, comme le roman, le cinéma ou les séries télévisées.

je note:

«Croisant les approches historiennes, littéraires et cinématographiques, l’ouvrage collectif Imagination et Histoire cherche autant à faire le point sur les très nombreuses réflexions épistémologiques qui traversent la discipline depuis la fin des années 1970, qu’à les renouveler. Évitant de revenir frontalement sur des problématiques liées à la mise en intrigue du passé, au rapport à la fiction ou à la falsification de l’histoire [1], il a pour principale originalité de placer au centre de l’investigation le rapport à l’imagination [2]. Celle-ci est tour à tour considérée comme une propriété intrinsèquement liée à l’écriture historienne de l’histoire ou comme une capacité propre aux réalisateurs, metteurs en scène, écrivains et autres artistes, qui expriment un point de vue sur le passé.»

via La Vie des idées http://ift.tt/17LOHDa

Par Toutatis ! La véritable histoire de nos ancêtres les Gaulois

22 février 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Trésor monétaire de Laniscat. (© Hervé Paitier / Inrap)

En 2011, pendant plus d’un an, à la Cité des sciences et de l’industrie, Les Gaulois, une expo renversante montre une tentative de fabrique de l’histoire et la construction d’une des plus grandes mythologies politiques françaises. À ­rebours des idées reçues et de l’ima­gerie d’Épinal, et grâce à cinq salles thématiques didactiques, on finissait par comprendre que l’on n’avait rien ­compris jusque-là: ces ancêtres ne portaient ni casques ailés ni braies rayées. Mieux, ils formaient une civi­lisation complexe, démocratique, qui n’attendit pas Jules César pour émerger.

Un article du Figaro en synthétisait le contenu notamment au travers d’un interview de Matthieu Poux, professeur d’archéologie à l’université Lumière-Lyon II. Ce dernier revenait sur la construction de l’image du Gaulois et son exploitation par le pouvoir. Alors il nous parle de Jules César, de Napoléon III, forgeant au 19e siècle l’image du Gaulois «national» et bien évidemment de l’influence d’Astérix et Obélix sur nos représentations «gauloises». Pour le meilleur et pour le pire…

A lire : La véritable histoire de nos ancêtres les Gaulois

Revue de Presse : Auschwitz | Aggiormento

18 février 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

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Tal Bruttmann, Auschwitz, Paris, La Découverte, Repères, 2015, 128 p., 10€.

A partir de l’ouvrage de Tal Bruttmann, Samuel Kuhn présente la particularité des témoignages des survivants de l’univers concentrationnaire qui ne peuvent dire l’indicible qu’indirectement, soit le massacre de 6 millions de Juifs, majoritairement mort à leur arrivée et à la descente du train.

L’ouvrage de Bruttman est présenté de la manière suivante :

«Le texte, serré, est accompagné de 4 tableaux, 5 cartes et 22 encadrés. La cartographie est, à elle seule, une histoire d’Auschwitz qui permet de saisir aussi bien l’évolution des espaces des multiples camps qui composent l’ensemble, que de mesurer la complexité des politiques qui y furent à l’œuvre. Les tableaux donnent à voir en un coup d’œil les bilans chiffrés issus de décennies de travail par les historiens. Les encadrés, enfin, sont à la fois constitués d’extraits de témoignages et de développements qui permettent d’éclairer le contexte et les multiples dimensions du système concentrationnaire et génocidaire. La bibliographie, riche, actualisée et polyglotte (avec des titres en français, anglais, allemand, hébreux) laisse entrevoir l’importance du travail réalisé par Tal Bruttmann pour nourrir ce livre. Parmi les 121 titres qui composent ces « repères bibliographiques », l’auteur a sélectionné une trentaine de témoignages et les ouvrages les plus directement en prise avec le sujet. Deux index (noms de personnes et lieux) viennent compléter le tout.»

L’article présente également la place de l’enseignement du nazisme et de la Shoah dans les programmes fançais et met en évidence leur place considérablement réduite (4 à 5 heures au collège par exemple sous l’angle d’une «guerre d’anéantissement»). S’ajoute la difficulté pour les enseignants à maîtriser les ressources scientifiques propres à l’ensemble des périodes et sujets enseignés et celle de mobiliser correctement les ressources à la fois épistémologiques et didactiques pour construire leurs séquences d’enseignement.

En conséquence, l’enseignement du nazisme et de la Shoah est trop souvent abordé sous l’angle émotionnel (à ce sujet et pour rappel : Kaufmann, L. (2010). Enseignement de la Shoah : il est urgent de passer au devoir d’histoire. Le Café pédagogique, No 116, octobre) et en décalage avec l’historiographie récente. L’article poursuit en présentant des ouvrages et outils de connaissance en rapport avec Auschwitz. Dans ce cadre-là, pour Samuel Kuhn, l’ouvrage de Tal Bruttmann, n’ayant pas d’équivalent en français, prend tout son sens.

Présentant ensuite la spécificité d’Auschwitz en s’appuyant sur l’historiographie de la Shoah, met en évidence le côté atypique d’Auschwitz par rapport aux centres de mises à mort que furent Chelmno, Belzec, Treblinka, Sobibor, Majdanek. En effet, dans ces centres, l’assassinat des victimes intervient au plus tard quelques heures après leur arrivée alors qu’Auschwitz fut avant tout, et en premier lieu, un camp de concentration (KZ ou KL) et appartient donc du système concentrationnaire nazi. Dès lors,

«Auschwitz est […] un lieu atypique, le seul de tous les centres de mise à mort, où fut opérée la « sélection » (p.48-49). Quand les premiers convois arrivent d’Europe de l’Ouest, en premier lieu de France (convoi du 27 mars 1942) et de Slovaquie, ils arrivent au titre de main d’œuvre en fonction d’une décision prise par Himmler. Le 4 juillet 1942, un convoi qui arrive de Slovaquie subit sur la Judenrampe (voie ferrée à 500 m de Birkenau) la toute première sélection (p.44-46). A partir de l’été 1942 et les grandes rafles liées à la « solution finale », la sélection devient la norme à l’arrivée des convois et les Juifs représentent à partir de là la majorité des détenus. Si les uns sont sélectionnés et sont donc enregistrés dans le camp (ce qui représente 205.000 personnes dont 100.000 n’en sortiront pas vivantes), les autres sont immédiatement dirigés vers des espaces contigus où ils sont assassinés. Ceux-là, il est essentiel de le noter, sont la majorité. L’immense majorité. Ce sont en effet plus de 80% des déportés juifs (890.000 personnes) qui n’ont jamais franchi les portes du camp, qui n’ont été inscrits dans aucun registre et qui ont été gazés dans les heures qui ont suivi leur arrivée.»

Dans le processus d’extermination des Juifs, Auschwitz représente, de par son caractère concentrationnaire, une forme d’«anomalie», laissant accroître que les camps de concentration auraient jouer un rôle central dans la destruction des Juifs alors que moins de 5% des victimes de la Shoah en sont issus. Pour la majorité des victimes le furent dans

«les ghettos, les camps de travaux forcés, les centres de mise à mort régionaux, les chasses à l’homme, les fusillades perpétrées par les unités d’Einsatzgruppen avec le soutien actif et logistique de la Wehrmacht ou des bataillons de police ordinaire et la complicité de populations locales accueillant les Allemands comme des libérateurs et se livrant à d’effrayants pogroms.»

Par ailleurs, Auschwitz est un lieu complexe et multiple,

«A la fois camp de concentration et centre de mise à mort. Mais aussi un vaste complexe économico-industriel en lien avec le camp et la ville. Le seul endroit de toute l’Europe sous la botte nazie, où fut mis en œuvre simultanément une telle multitude de politiques.»

A lire donc : Auschwitz | aggiornamento hist-geo

En complément à cet article d’Aggiormento et à l’ouvrage de Tal Bruttmann, je vous invite à lire ma dernière chronique du Café pédagogique (La Chronique : de quoi Auschwitz-Birkenau doit-il être la commémoration ?) ainsi que l’ouvrage de Georges Bensoussan (2012). Histoire de la Shoah. Paris: Que sais-je ?

Le numérique change-t-il l’éducation ? Que mesure-t-on?

17 février 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Avec sa dernière chronique, Martin Lessard reprend la question de l’outil versus pédagogie dans l’emploi du numérique. Tous les outils ne sont pas des fins en soi, certains cependant plus que d’autres ! Et inversement.

Le numérique doit-il changer le milieu de l’éducation? |  Triplex, le blogue techno de Radio-Canada

Des tableaux blancs interactifs (TBI) en classe? Un tel outil utilisé avec le même contexte traditionnel (cours magistral) ne change pas grand-chose.

Et les tablettes? L’outil n’est pas une fin en soi, c’est l’approche pédagogique qui fait la différence.

Mais avec une tablette, déjà, l’élève peut apprendre à son rythme (et ce, souvent de façon agréable). Et le professeur peut suivre plus facilement sa progression ou voir quelles sont ses difficultés.

L’outil permet donc de modifier le contexte d’apprentissage.

Durant le colloque de Clair, j’ai rencontré des élèves qui m’ont expliqué combien ils aimaient tout à coup faire leurs exercices de math ou de français non seulement à l’école, mais aussi à la maison

C’est bien, mais les résultats des élèves s’améliorent-ils avec tout ça? C’est la question que Martin Lessard avait précédemment posée au directeur Roberto Gauvin, au coeur et à la source du colloque Clair,  colloque qui se tient dans le petit village de Clair, au Nouveau-Brunswick, au coeur des monts Notre-Dame, près d’Edmundston (Son billet : Clair 2015, épicentre d’une nouvelle pédagogie |  Triplex, le blogue techno de Radio-Canada).

La réponse de ce dernier :

« Tout ce qui est mesuré n’est peut-être pas important, et tout ce qui est important n’est peut-être pas mesurable », a-t-il répondu, citant Albert Einstein.

Dès lors, que mesure-t-on réellement? Pour Lessard, un début de réponse se trouve peut-être dans l’ouvrage suivant :

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Dans l’être et l’écran, Stéphane Vial dit que le numérique modifie les structures de notre perception. Il ne change pas nécessairement notre être, mais il change assurément la perception que l’on a du monde et de soi-même.

La technologie, dit-il en substance, nous a accompagnés de tout temps. Et cette fois-ci, encore, elle change la perception que nous avons de ce qui nous entoure. Ce changement de perception est réel.

Il est donc normal de se demander si l’école permet de s’ajuster à ce recadrage en cours. Et de quelle façon le mesurer…

Le numérique doit-il changer le milieu de l’éducation? |  Triplex, le blogue techno de Radio-Canada

A suivre…

En attendant, trois compte-rendus de l’ouvrage de Stéphane Vial :

  • Michael Perret pour Lectures : http://lectures.revues.org/12670
  • Peppe Cavallari pour Sens Public, “Une réflexion philosophique inédite sur le web” : http://www.sens-public.org/spip.php?article1051
  • Cédrid Enjalbert dans Philosophie Magazine : http://www.philomag.com/les-livres/notre-selection/letre-et-lecran-7999
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