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Lyonel Kaufmann blogue…

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Opinion | La distanciation sociale est un privilège – The New York Times

8 avril 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Cet tribune du New York Times met en évidence que le covid-19 est dévastateur pour les personnes les plus vulnérables de la société. Et aux Etats-Unis, en premier lieu, la population noire et les pauvres. 

Electeurs du Wisconsin se rendant aux urnes.

People like to say that the coronavirus is no respecter of race, class or country, that the disease Covid-19 is mindless and will infect anybody it can.In theory, that is true. But, in practice, in the real world, this virus behaves like others, screeching like a heat-seeking missile toward the most vulnerable in society. And this happens not because it prefers them, but because they are more exposed, more fragile and more ill.What the vulnerable portion of society looks like varies from country to country, but in America, that vulnerability is highly intersected with race and poverty.Early evidence from cities and states already shows that black people are disproportionately affected by the virus in devastating ways. As ProPublica reported, in Milwaukee County, Wis., as of Friday morning, 81 percent of the deaths were black people. Black people make up only 26 percent of that county.

Traduction :

Les gens aiment à dire que le coronavirus ne respecte pas la race, la classe ou le pays, que la maladie Covid-19 est insensée et qu’elle infectera n’importe qui, ce qui est vrai en théorie. Mais, en pratique, dans le monde réel, ce virus se comporte comme les autres, hurlant comme un missile à tête chercheuse de chaleur vers les plus vulnérables de la société. Ce à quoi ressemble la partie vulnérable de la société varie d’un pays à l’autre, mais en Amérique, cette vulnérabilité est fortement liée à la race et à la pauvreté. Les premières données provenant des villes et des États montrent déjà que les Noirs sont touchés de manière disproportionnée par le virus, et ce de manière dévastatrice. Comme l’a rapporté ProPublica, dans le comté de Milwaukee (Wisconsin), à la date de vendredi matin, 81 % des décès étaient des Noirs. Les Noirs ne représentent que 26 % de ce comté.

Pour rappel également, les républicains, majoritaires au parlement local du Wisconsin ont refusé, de reporter à juin la primaire démocrate opposant Joe Biden et Bernie Sanders et quelques élections locales, dont l’une met en jeu le siège détenu par un juge ultraconservateur à la Cour suprême de cet Etat.

Source : Opinion | Social Distancing During the Coronavirus Pandemic Is a Privilege – The New York Times

Il était une fois en Amérique: le courage d’une femme médecin | Le Temps

28 mars 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Colleen Smith travaille au sein de l’Hôpital Elmhurst dans le Queens (545 lits), où les cas de coronavirus explosent. Le New York Times vient de diffuser une vidéo montrant la médecin urgentiste à l’œuvre. C’est en fait elle qui filme son hôpital et qui se filme elle-même, façon carnet de bord. Le résultat est terrifiant. Elle dit ce qu’elle pense. Colleen Smith exprime ses inquiétudes et ses frustrations.

La vidéo du «New York Times», ici

«Je n’ai pas le soutien ni le matériel nécessaires pour m’occuper de mes patients. Et nous sommes en Amérique!» relève-t-elle face caméra, dépitée. «Nous n’avons pas non plus le bon matériel pour nous protéger nous-mêmes.» Sur la chaîne ABC, elle a qualifié la zone où sont placés les gens atteints par le Covid-19 de «parking de brancards». Une collègue ose la comparaison avec le 11-Septembre 2001: «Ici, c’est Ground Zero.»

Source : https://www.letemps.ch/monde/etait-une-amerique-courage-dune-femme-medecin

Coronavirus : le revenu universel, c’est maintenant !

23 mars 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le débat sera-t-il véritablement lancé ? L’État allemand devrait profiter de cette crise pour introduire le revenu universel à l’échelle de tout le pays, estime la Frankfurter Rundschau, le quotidien de Francfort.
— À lire sur www.courrierinternational.com/article/vu-dallemagne-coronavirus-le-revenu-universel-cest-maintenant

Crise de la natalité : où sont passés les bébés ?

8 février 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Depuis plusieurs décennies, la natalité recule dans de nombreux pays. Cette journaliste spécialisée dans les questions de genre et de reproduction analyse ce phénomène pour le New York Times et souligne que, si la baisse de la natalité traduit d’abord un progrès, elle témoigne aussi d’une faillite du capitalisme moderne, avec ses inégalités croissantes, son individualisme et son incapacité à régler la crise climatique. Extraits traduits.

La version actuelle du capitalisme globalisé et la chute de la natalité

« Notre version actuelle du capitalisme globalisé – à laquelle peu de pays et d’individus peuvent se soustraire – a généré une richesse choquante pour certains, et la précarité pour beaucoup d’autres. Ces conditions économiques génèrent des conditions sociales défavorables à la création de familles : Nos semaines de travail sont plus longues et nos salaires plus bas, ce qui nous laisse moins de temps et d’argent pour nous rencontrer, faire la cour et tomber amoureux. Nos économies, de plus en plus gagnantes, exigent que les enfants reçoivent une éducation intensive et coûteuse, ce qui crée une anxiété croissante quant au type de vie qu’un futur parent pourrait leur offrir. Le message de toute une vie nous oriente plutôt vers d’autres activités : l’éducation, le travail, les voyages.

Ces dynamiques économiques et sociales se combinent avec la dégénérescence de notre environnement d’une manière qui n’encourage guère la procréation : Les produits chimiques et les polluants s’infiltrent dans notre corps, perturbant notre système endocrinien. Chaque jour, il semble qu’une partie du monde habité soit en feu ou sous l’eau.

S’inquiéter de la chute des taux de natalité parce qu’elle menace les systèmes de sécurité sociale ou la force de travail future, c’est passer à côté de l’essentiel ; c’est le symptôme de quelque chose de beaucoup plus envahissant.

Il semble évident que ce que nous en sommes venus à considérer comme le « capitalisme tardif » – c’est-à-dire non seulement le système économique, mais aussi toutes les inégalités, les indignités, les opportunités et les absurdités qui l’accompagnent – est devenu hostile à la reproduction. Dans le monde entier, les conditions économiques, sociales et environnementales fonctionnent comme un contraceptif diffus, à peine perceptible. Et oui, cela se produit même au Danemark. »

Chine et Danemark, le même constat devant la montée du « workisme » et le déclin de la religiosité

« Lyman Stone, un économiste qui étudie la population, souligne deux caractéristiques de la vie moderne qui sont en corrélation avec une faible fécondité : la montée du « workism » – un terme popularisé par l’écrivain atlantique Derek Thompson – et le déclin de la religiosité. « Il y a un désir de faire du sens chez les humains », m’a dit M. Stone. Sans religion, l’une des façons dont les gens cherchent une validation externe est par le travail qui, lorsqu’il devient une valeur culturelle dominante, est « intrinsèquement réducteur de fertilité ».

Le Danemark, note-t-il, n’est pas une culture de bourreau de travail, mais est très laïque. L’Asie de l’Est, où les taux de fécondité sont parmi les plus bas du monde, est souvent les deux. En Corée du Sud, par exemple, le gouvernement a introduit des incitations fiscales à la procréation et a élargi l’accès aux crèches. Mais le « travail excessif » et la persistance des rôles traditionnels des hommes et des femmes se sont combinés pour rendre l’éducation des enfants plus difficile, et surtout peu attrayante pour les femmes, qui assument un deuxième poste à la maison.

La différence entre la vie dans le petit Danemark, avec son généreux système d’aide sociale et ses notes élevées en matière d’égalité des sexes, et la vie en Chine, où l’aide sociale est irrégulière et où les femmes sont victimes d’une discrimination généralisée, est énorme. Pourtant, ces deux pays connaissent des taux de fécondité bien inférieurs aux taux de remplacement.»

Le devenir de la planète : reproduction et durabilité de l’environnement

« La crise de la reproduction se cache dans l’ombre, mais elle est visible si on la cherche. Elle se manifeste chaque année par un nouveau creux dans les taux de natalité. (…)

Les conversations sur la reproduction et la durabilité de l’environnement se sont longtemps chevauchées. Thomas Malthus craignait que la croissance démographique ne dépasse l’offre alimentaire. Les années 1970 ont vu l’émergence de l’écoféminisme. Depuis les années 1990, les groupes de défense de la justice en matière de reproduction cherchent à obtenir une meilleure planète pour tous les enfants. Aujourd’hui, les BirthStrikers désavouent la procréation « en raison de la gravité de la crise écologique ».

Si la catastrophe climatique a ravivé des éléments du discours insidieux sur le contrôle de la population, elle a également suscité une nouvelle vague d’activisme, née de la compréhension de la profondeur des liens entre ces composantes fondamentales de la vie – la reproduction et la santé de la planète – et de l’action collective nécessaire pour les maintenir.

(…)

Ces relations, entre nous et le monde naturel, et entre nous et les autres, témoignent de l’interdépendance que la logique capitaliste voudrait nous faire renier.

La reproduction est le signe ultime de l’interdépendance. Nous dépendons d’au moins deux personnes pour nous rendre possibles. Nous gestons à l’intérieur d’un autre humain, et nous émergeons avec l’aide de médecins ou de doulas ou de parents. Nous grandissons dans des environnements et des communautés qui façonnent notre santé, notre sécurité et nos valeurs. Nous devons trouver des moyens concrets de reconnaître cette interdépendance et nous résoudre à la renforcer. 

(,,,)

En réfléchissant aux dons immatériels que j’aime à penser que j’ai hérités de (mon père), il est devenu évident que j’avais besoin d’une continuité génétique, aussi fictive et ténue soit-elle. J’ai alors reconnu quelque chose de précieux et d’inexplicable dans cette aspiration, et j’ai entrevu combien il pouvait être dévastateur de ne pas pouvoir la réaliser. Pour la première fois, je me suis sentie justifiée dans mon impulsion de préserver un petit morceau de moi qui, d’une certaine manière, contenait un petit morceau de lui, qui pourrait un jour revivre.»

Anna Louie Sussman est une journaliste qui écrit sur le genre, la reproduction et l’économie.

-À lire : Something is stopping us from creating the families we claim to desire. But what?

Bernard Harcourt: «La société numérique repose sur la folle divulgation de nous-mêmes» – Libération

10 janvier 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Chaque jour, les traces que nous laissons sur Internet créent un hologramme de nous-mêmes, un double de datas. Le chercheur américain montre comment la surveillance numérique s’appuie sur notre profond désir de nous exhiber. Les méthaphores de Big Brother et de prison panoptique ne suffisent plus pour comprendre ce qu’il appelle «la nouvelle société d’exposition». Professeur de droit à Columbia University et directeur d’études à l’Ehess, Bernard E.Harcourt s’intéresse désormais à la surveillance numérique et aux nouveaux rapports de pouvoir qu’elle institue. Libération l’a interviewé.

Par rapport à ses nouveaux rapports de pouvoir et cette surveillance numérique, Bernard Harcourt propose des pistes pour résister.

Piste 1 :

« Il y a pourtant des pistes de réponses. D’un côté des nouvelles technologies permettent de se rendre un peu moins visibles : systèmes de cryptage, alternatives à Facebook décentralisées et sécurisées comme la plateforme Diaspora. »

Piste 2 :

« Une autre stratégie est de «renverser la caméra» et de dévoiler les activités des gouvernements ou des firmes, tout comme les manifestants filment les violences policières et les diffusent sur les réseaux sociaux… »

Piste 3 :

« Etant donné notre implication, il va falloir repenser le système de propriété des datas. C’est compliqué, mais pas impossible (…) Là encore plusieurs solutions existent : certains proposent d’assumer la privatisation des données personnelles et que nous, sujets numériques, contrôlions la commercialisation de nos propres données. Mieux vaudrait selon moi tenter de trouver une piste autour des communs, en transformant par exemple les médias sociaux et les entreprises internet en associations non marchandes. »

-A lire : Bernard Harcourt: «La société numérique repose sur la folle divulgation de nous-mêmes» – Libération

Zed Nelson capture les effets débilitants de la gentrification dans Hackney (Londres) | British Journal of Photography

28 décembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire


Tourné sur quatre ans, le nouveau documentaire de Nelson se concentre sur une seule rue de Hackney, où des restaurants de 150 ans rencontrent des cafés branchés et des appartements de 2 millions de livres sterling.

Le premier long métrage de Zed Nelson, qui se déroule sur une décennie d’austérité, de chaos à Brexit et de tragédie à Grenfell, capture la rapide gentrification de Hoxton Street – un quartier historiquement ouvrier de Hackney, l’un des plus pauvres de Londres. Mais depuis une dizaine d’années, Hackney est devenu un haut lieu de la vie nocturne alternative, des brasseries artisanales et des cafés branchés. De plus, sa proximité avec la City de Londres, qui scintille au bout de la rue comme la cité d’émeraude d’Oz, a attiré des promoteurs privés. Des tours de luxe avec des penthouses de 2 millions de livres sterling remplacent les pubs et les commerces locaux, faisant monter les loyers déjà très élevés de la zone et remodelant rapidement la démographie locale.

Le site du film : https://www.thestreetfilm.co.uk

Source : https://www.bjp-online.com/2019/11/zed-nelson-the-street/

L’intellectuel sur le terrain : il y a 20 ans, Bourdieu face aux « sociologues de gouttières » | France Culture

8 décembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

“C’est pas Dieu, c’est Bourdieu !” Le 1er décembre 1999, Pierre Bourdieu rencontrait les habitants du Val Fourré, une “zone urbaine sensible” comme on dit, située à Mantes-la-Jolie. 20 ans après, des habitants se souviennent de cette rencontre agitée, où tout ne s’est pas passé comme prévu. France Culture revient sur cet événement. Fort et puissant.

C’était il y a 20 ans jour pour jour. Le sociologue Pierre Bourdieu, invité par l’association “Point Cardinaux” et la radio locale Radio Droit de Cité, se rendait au Val Fourré, une cité de Mantes-la-Jolie connue pour ses violentes émeutes de 1991. Au programme de cette “sortie extra-scolaire” pour le sociologue : un débat avec les habitants sur le thème des inégalités sociales. 

Bien plus que la distance – Mantes-la-Jolie n’est qu’à une cinquantaine de kilomètres de Paris, l’effort n’est pas immense -, c’est le symbole qui marque ce déplacement : il faut “sortir les savoirs hors de la cité savante”, affirmait Bourdieu dans son texte Contre-feux, pour un mouvement social européen (Raisons d’agir, 2001). Depuis les grèves de 1995 en effet, l’auteur des Héritiers se veut être une figure du “savoir engagé”, intervenant plus souvent dans l’espace public. Au Val Fourré, les règles ne sont pas celles du Collège de France ou du plateau de journalistes et d’experts, c’est un autre terrain. Face à lui, pas d’étudiants rodés à l’exercice du jeu de questions-réponses émaillé de quelques concepts sociologiques de base, mais des habitants harassés, un travailleur social en colère, un boxeur défiant…

-A lire, voir et écouter : L’intellectuel sur le terrain : il y a 20 ans, Bourdieu face aux « sociologues de gouttières » | France Culture

Crédit photo : Pierre Bourdieu, lors d’une manifestation le 16 janvier 1998.• Crédits : Yann Latronche – Getty

LesInrocks – “Kapital !”, le jeu des Pinçon-Charlot à glisser sous le sapin de vos potes de droite

7 décembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dans Kapital !, comme dans la vie, tout est politique – même si on ne s’en rend pas forcément compte. Le plateau lui-même est composé de 82 cases, “soit l’espérance de vie moyenne des Français”, indique la notice explicative (qui précise toutefois qu’il y a un écart de “treize ans de vie” entre riches et pauvres !). Avant de commencer, les joueurs lancent le dé. Celui qui fait le plus gros chiffre est le “dominant” de la partie, les autres sont les “dominés”, les deux catégories ayant leurs cartes respectives. Le premier part avec un avantage dans son stock initial de Kapitaux (la monnaie du jeu, répartie en Kapital financier, Kapital culturel, Kapital social et Kapital symbolique). Le but : en accumuler le plus possible et arriver à la dernière case.

“Mettre à bas les mécanismes de la domination sociale”
Mais c’est au cours de la partie que le jeu prend tout son sens, grâce aux cartes d’actions que l’on tire à chaque tour, et aux cases spéciales (Grève générale, Révolution, Prison et Tous ensemble). Ainsi, dans la langue des sociologues Monique et Michel Pinçon-Charlot (spécialistes de la grande bourgeoisie, et fortement engagés à gauche), qui ont conçu avec espièglerie ce nouveau jeu édité à La Ville brûle, le but devient : “Tenter de mettre à bas les mécanismes de la domination sociale pour gagner la guerre des classes !”

— À lire sur abonnes.lesinrocks.com/2019/11/29/idees/idees/kapital-le-jeu-des-pincon-charlot-a-glisser-sous-le-sapin-de-vos-potes-de-droite/

On ne sauvera pas le Web en dînant avec ses assassins

3 décembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Tribune. La dernière croisade de Tim Berners-Lee pour sauver le Web laisse un goût amer.
Celui qui fut le premier à dénoncer clairement l’emprise et la menace de ceux qu’il appelait «les Jardins fermés» entend aujourd’hui leur proposer un «contrat». Contrat qui réunirait aussi gouvernements et citoyens. Contrat suffisamment vague pour n’avoir précisément aucune valeur contractuelle. Et contrat donc immédiatement approuvé, soutenu et signé par… Google, Facebook, Twitter et Microsoft.
On ne sauvera pas le Web avec ceux qui en ont méthodiquement tué tous les principes fondateurs.

-La Tribune de Olivier Ertzscheid, enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’université de Nantes : On ne sauvera pas le Web en dînant avec ses assassins – Libération

Crédit photo : Pixabay License. Free for commercial use. No attribution required

L’Allemagne de l’Est est-elle la grande perdante de l’unification ?

8 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ouverture du « rideau de fer » lors du pique-nique européen de Sopron, à la frontière austro-hongroise, le 19 août 1989. Tamás Lobenwein/Paneuropean Picnic’ 89 Foundation

Trente ans plus tard, la fête n’est plus aussi belle que le 9 novembre 1989 quand est tombé le mur de Berlin sous la pression des Berlinois de l’Est venus vérifier s’il était bien « ouvert » comme venait de le déclarer, lors d’une conférence de presse, le porte-parole nouvellement nommé du SED (le parti communiste au pouvoir en RDA), Günter Schabowski. Pour autant le tableau est-il forcément négatif ?

Source : L’Allemagne de l’Est est-elle la grande perdante de l’unification ?

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