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Le « passe culture » : révolution ou retour à l’ancien monde ?

20 avril 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dans un article pour « The Conversation », Jean Caune, Professeur émérite en sciences de la communication, Université Grenoble Alpes, met en perspective le dispositif du passe culture présenté par Françoise Nyssen comme la mesure phare de sa politique culturelle.

Concernant le dispositif proposé par Françoise Nyssen, l’accès aux biens culturels sera opéré par le biais d’une application géo-localisée téléchargeable par tous, il deviendrait le premier réseau social culturel, et serait le dispositif amiral de la lutte contre les inégalités culturelles.

Jean Caune souligne que

« Les questions que la ministre de la culture met en débat, dans le cadre du comité d’orientation du passe culture, se focalisent sur les types d’offres disponibles et la place accordée aux plates-formes numériques. La question centrale devient celle de savoir si des produits culturels comme, par exemple, Star Wars, entrent dans le cadre des propositions de l’application. »

Pour Jean Caune, « la perspective du « passe culture » ignore la question de la relation de l’objet culturel au récepteur. Sa philosophie implicite se fonde sur des logiques de produit. L’usager du service culturel s’est transformé en cible. L’action marketing a fait place à l’action culturelle. »

Pour Caune, les rapports entre les formes artistiques et les pratiques culturelles doivent être problématisés.

Il note que

« Entre les années 60 et 80, les débats sur la culture se développaient, le plus souvent, à partir des oppositions entre culture dominante et culture dominée. À la fin des années 80, la question se déplace avec la thématique de la fracture sociale et culturelle. L’ambition de la transformation sociale et politique a été balayée, à la fois par un réalisme s’accommodant des inégalités culturelles et par un renoncement du politique à transformer le monde. La rupture de la relation entre avant-garde politique et avant-garde artistique qui date de la fin des années 70, tout comme l’usure de la thématique et de l’idéologie de la révolution dans les années 80, sont les marques de cette « fatigue de l’âme » qui renonce à penser l’articulation entre art et politique. »

Il termine en exprimant la nécessité d’un devoir de culture.

« En plus de cinquante ans, la réflexion des sociologues de la culture, les pratiques des professionnels de la culture (artistes, diffuseurs, animateurs ou médiateurs), l’action des militants de l’action culturelle et de l’éducation populaire ont patiemment et difficilement tenté de montrer que le « devoir de culture » du politique était un impératif catégorique pour lutter contre la fracture sociale et l’exclusion. »

Il s’agit de prendre en compte une série de questions essentielles :

Quel sens partagé les formes artistiques mises en culture peuvent-elles proposer ? Comment, dans le cadre de politiques publiques, les droits culturels peuvent-ils se construire ? Dans quels dispositifs d’expression et de réception, les pratiques culturelles, dans leur diversité, peuvent-elles participer à la maîtrise du langage, au développement du sens critique, à la construction du Vivre ensemble ?

Ces questions permettent de guider et d’évaluer l’action de politiques culturelles véritablement émancipatrices et s’inscrivant dans une vision d’un développement d’une culture réellement démocratique.

Lire l’article : Le « passe culture » : révolution ou retour à l’ancien monde ?

Climat. L’Amérique a un problème…

31 août 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

 

“Allô Houston, on a eu un problème…” Cette phrase célèbre de l’astronaute Jack Swigert, pour signaler au centre de contrôle de Houston une panne sur la mission Apollo 13, a inspiré plus d’un dessinateur évoquant les inondations destructrices qui ont touché la ville. Ici, le centre spatial et une navette sont représentés comme des symboles d’une Amérique sous l’eau, menacée par des catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes auxquelles elle n’est pas parfaitement préparée, causées par un changement climatique que l’actuelle administration refuse d’affronter.

L’enjeu est pourtant de taille, notamment sur le plan économique. Une étude parue en juin dans la revue Science montrait que les régions les plus vulnérables (notamment en Arizona ou au Texas) risquent une perte de 10 à 20 % de leur PIB à l’horizon 2080 si des mesures ne sont pas prises pour limiter les émissions de gaz à effet de serre.

Vu d’Allemagne. La nouveauté Macron, symptôme d’une France à bout de souffle | Courrier international

23 juin 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

 

L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, quasi inconnu il y a peu, n’aurait pas pu se produire dans un pays en bonne santé, juge la SÜDDEUTSCHE ZEITUNG. Ce changement radical rappelle celui qui se déroule aux États-Unis.

« Il y a quelques années encore prévalait cette règle d’or : les démocraties vivaient du centre ; les fortes fluctuations à droite ou à gauche n’étaient pas de bon augure et aussi ne se produisaient-elles guère. Aujourd’hui, cette règle semble avoir disparu. La droite et la gauche sont des points cardinaux qui s’estompent en politique. En France, comme dans les autres démocraties occidentales, règnent le chic de la radicalité, le glamour du chef, la promesse du révolutionnaire. Dans le pire des cas, cette promesse vient sous la forme d’un Donald Trump ; dans le meilleur, elle porte le nom d’Emmanuel Macron.Oui, le président français a l’étoffe d’un chef populiste. Son ascension est extraordinaire. Il a créé un mouvement populaire en un rien de temps. Son arrivée à la présidence et son époustouflante victoire aux législatives ne tiennent qu’à sa personne. Et tout ce pouvoir accumulé si vite doit mettre la puce à l’oreille. Comment un jeune homme politique peut-il, quasiment du jour au lendemain, rassembler un pays derrière lui ? Un système politique qui fonctionne ne s’effondre pas ainsi. Pour saisir l’ampleur de la révolution française qui est en train de se dérouler sous Macron, imaginez un instant que la CDU [Union chrétienne-démocrate, centre droit] et le SPD [Parti social-démocrate, centre gauche] passent à la trappe en un seul cycle électoral. Il se pourrait que quelque chose ne tourne pas rond. »

Source et la suite : Vu d’Allemagne. La nouveauté Macron, symptôme d’une France à bout de souffle | Courrier international

Le lecteur attentif ne sera pas sans faire le rapprochement avec les photos publiées hier concernant le passage du col du Grand-Saint-Bernard…

Source de l’image : Sur le cheval : “Syndicats”. Dessin de Tom, Pays-Bas.

Géopolitique de « Rogue One » (ou comment dire au revoir à l’Amérique)

20 janvier 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Vincent Lowy, professeur en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lorraine, nous offre une brillante et fouillée analyse de la serie Star Wars et plus particulièrement de son dernier avatar «Rogue One».

Dark Vador, idole affichée de Steve Bannon.  Pixabay
Dark Vador, idole affichée de Steve Bannon. Pixabay

Pour Lowy, Rogue One est un des premiers jalons culturels de l’ère Trump. Ce film est au leader populiste ce que Hairspray (2007) a été à Obama : un retentissant manifeste pour l’Amérique à venir.

Hanté par les fantômes numériques d’acteurs disparus, ce film boucle une boucle absurde et autoréférentielle, concluant implicitement à l’impossibilité d’un avenir commun dans une Amérique déchirée, où couve une guerre civile de basse intensité.

https://youtu.be/iJ53mRO80c0

Alors que

le modèle des premiers films de la saga était en réalité le cinéma rooseveltien de l’âge d’or, en particulier les films de Frank Capra : La guerre des étoiles, c’est Monsieur Smith au Sénat. Les sénateurs corrompus et les prévaricateurs professionnels doivent s’incliner devant l’idéalisme boy-scout et l’exercice d’une presse indépendante. Seul le retour in extremis aux valeurs des pères fondateurs d’un certain nombre de figures nixoniennes et mélancoliques permet de maintenir la foi dans la République.

Si comme le suggère Ian Doscher cité par Lowy, les rebelles de Rogue One ont l’allure des terroristes qui minent le moral de l’Occident et des gagnants de la mondialisation,

c’est que la dépression post-11 septembre touche désormais au cœur du narcissisme américain et de son envahissante psyché. Il n’y a désormais plus de conversion possible dans cette Amérique en guerre contre elle-même, où les médias traditionnels sont supplantés par des sites conspirationnistes qui menacent leur rôle historique de gardien de la démocratie.

Lowy en conclut que

Dans ce monde-là, les mauvais pères sont appelés à le rester…

À lire : Géopolitique de « Rogue One » (ou comment dire au revoir à l’Amérique)

Prolongement : Les paradoxes temporels du nouveau « Star Wars »

Chambres fédérales : Cesla Amarelle mène le bal sur l’Europe | La Liberté (16.01.2016)

18 janvier 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Deux jours après la désignation de Cesla Amarelle par le Parti socialiste vaudois, le journal La Liberté, dans son édition de ce lundi,consacré un article à la première année de législature des Chambres fédérales et s’interroge sur le glissement à droite du Parlement. Parmi les parlementaires fédéraux déterminants dans la construction d’alliance, Cesla Amarelle se distingue concernant le dossier de l’immigration.

L’introduction en première page du dossier :

Les partis bourgeois ont la majorité au parlement fédéral, mais restent divisés sur plusieurs dossiers

Un glissement à droite tout relatif

BILAN Les groupes UDC et PLR disposent de la majorité absolue au Conseil national, depuis les dernières élections du 18 octobre 2015. Qualifié de «séisme», ce basculement ne se reflète pourtant pas systématiquement dans l’élaboration des lois.

CLIVAGE L’examen de quatre dossiers importants – la fiscalité des entreprises, l’énergie, les retraites et l’immigration – tempère les réalités arithmétiques. Les partis bourgeois se retrouvent souvent opposés les uns aux autres, nouant des alliances avec la gauche.

PORTRAITS Des parlementaires jouent un rôle déterminant pour former des alliances entre partis. Cesla Amarelle, Konrad Graber, Jean-François Steiert et Jacques Bourgeois se sont ainsi distingués pour leur activisme sur ces quatre dossiers emblématiques.

L’encadré en page 3 : CESLA AMARELLE MÈNE LE BAL SUR L’EUROPE

En tant que rapporteuse de la Commission des institutions politiques, la socialiste vaudoise a mené les discussions du Conseil national sur la révision de la loi sur les étrangers qui a introduit une forme de préférence indigène «light». Tout au long des débats, elle a fait usage de ses compétences de professeure de droit pour se livrer à un cours de droit constitutionnel à l’intention de l’UDC qui critiquait cette forme de mise en oeuvre de son initiative contre l’immigration de masse. Son argument: les initiants n’ont pas le monopole de l’interprétation; il convient de se livrer à une approche d’ensemble de la Constitution tenant compte de la concordance entre les différents articles. CIM

Keystone

La preuve par l’acte de sa capacité à construire des compromis dynamiques avec la droite.

Source : La Liberte

14 janvier – Le triomphe des militant-e-s socialistes vaudois

15 janvier 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Quel beau samedi après-midi à Clarens ! Cesla Amarelle a été désignée au premier tour et à 58% des voix par les délégués du Congrès du Parti socialiste vaudois.

Voici le ticket de l'alliance rose-verte #vd2017 photo: ARC via @PascalWassmer
Voici le ticket de l’alliance rose-verte #vd2017 photo: ARC via @PascalWassmer

Je n’avais jamais assisté à un Congrès d’une telle ampleur sur sol vaudois avec ses presque 500 délégués et à une telle manifestation de vitalité de notre parti.

Jeudi passé, un article du journal 24Heures donnait un aperçu qui se voulait moins rassembleur de la campagne interne :

Comme l’ont été Pierre-Yves Maillard en 2004 puis Nuria Gorrite en 2012, Cesla Amarelle se profile comme la candidate naturelle des socialistes. Or, la partie s’annonce plus compliquée que prévu. L’Yverdonnoise pourrait ne pas être choisie samedi lors du congrès d’investiture. Des manœuvres agitent les hautes sphères du parti. A bas bruit, elles semblent viser davantage à contrer Cesla Amarelle qu’à promouvoir une autre personnalité. Ce constat découle d’observations d’élus de gauche comme de droite. http://www.24heures.ch/vaud-regions/roses-hesitent-presenter-vraie-star/story/29172365

Les militant-e-s de ce parti dont je suis fier ont donné une toute autre image de l’engagement et des valeurs socialistes qui consistent à faire campagne pour et non contre quelqu’un. Que ceux qui n’ont pas respecté ces principes aient été désavoués est une excellente chose pour notre parti et la campagne qui s’annonce. Le résultat est net et sans bavure. Il honore la candidate, notre parti et nos militant-e-s.

Je salue les trois candidates à la candidature. J’ai eu le privilège d’assister à trois de leurs prestations devant les camarades des sections ou régionales. Toutes trois ont donné une excellente image du parti par leurs talents respectifs, leurs attitudes respectueuses l’une envers l’autre et leur fairplay.

Tant Fabienne que Roxanne peuvent être fières d’elles-mêmes. Chères Fabienne et Roxanne ne prenez surtout pas votre résultat de samedi comme un désaveu de votre personne, de vos convictions ou de votre travail. Un immense merci pour votre engagement au service de notre parti et des citoyens de ce canton. Je me réjouis de chaque occasion future de vous côtoyer et plus particulièrement dans la campagne qui s’annonce.

Que rien ne soit venu déstabiliser Cesla Amarelle durant ces trois mois de campagne interne, qu’elle ait su garder une attitude positive et souriante ainsi qu’un discours clair et motivant donne un bon aperçu de la valeur de notre candidate et de sa stature de femme d’Etat.

Chapeau et respect, chère Cesla. Avec toi, le ticket socialiste et vert a fière allure. Il est motivant et mobilisateur pour tous nos militant-e-s. Ce ne sera que du bonheur que de faire campagne à tes côtés ainsi qu’aux côtés de Nuria, Pierre-Yves et Béatrice.

Depuis hier, j’en suis désormais convaincu : la campagne certes sera difficile, mais elle sera belle et couronnée de succès.

Quel modèle economique pour monétiser des contenus journalistiques qualitatifs ?

13 janvier 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dans in article récent, Christophe Lachnitt commente la situation éditoriale problématique de la plate-forme de publication Medium. Pour la deuxième fois dans la journée, je lis et je souscris à ses propos :

le meilleur modèle numérique pour monétiser des contenus qualitatifs me semble être l’abonnement. Il est notamment favorisé par le concept de longue traîne (“long tail” en anglais) qui pose que, grâce aux facultés de distribution illimitées offertes par le web, les produits les moins demandés peuvent représenter un marché cumulé supérieur aux plus populaires. En termes médiatiques, ce modèle induit qu’un producteur de contenus consacrés à un sujet de niche peut trouver sur Internet une audience conséquente.

Conclusion de son article :

De fait, si les contenus ne sont pas financés par les annonceurs, il ne reste que les internautes pour les rémunérer. Or cette seconde approche présente l’avantage de servir le citoyen alors que la première privilégie le consommateur.

Un livre pour aller plus loin : Le Génie gênant

Source : Plates-formes de contenus : la vision de Medium n’est plus prophétique

Trop de journalisme tue le journalisme

13 janvier 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Je relève les propos suivants de Christophe Lachnitt publiés à l’occasion de la campagne présidentielle americaine de 2016 :

“L’un des impacts médiatiques les plus négatifs de la révolution numérique, sociale et mobile est la multiplication sans fin du nombre de médias et de commentateurs individuels sur Internet, favorisée par la gratuité de la production et la diffusion de contenus numériques. Cette évolution présente le paradoxe d’être positive pour la liberté d’expression et négative pour la démocratie.

En effet, elle crée un besoin inextinguible de contenus pour alimenter tous ces médias. Or la qualité de cette production éditoriale ne peut pas être équivalente à sa quantité. Plus le volume de contenus augmente, plus leur valeur moyenne diminue. Trop de journalisme tue le journalisme.

Tous les médias en viennent ainsi à se focaliser sur des sujets dérisoires car les plus vils contaminent les plus sérieux : par peur d’être déconnectés du grand public, les médias d’information traitent de sujets relevant des tabloïds. La surinformation génère une sous-information”.

L’article : Trop de journalisme tue le journalisme | Superception – Toute vérité n’est que perception

Fisheye : jeux de pouvoir entre photographie et politique (no 22)

4 janvier 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le magazine photo Fisheye consacre son dernier numéro aux jeux de pouvoir entre photographie et politique. Un excellent magazine et un excellent dossier/numéro.

La présentation du numéro :

2017 sera une année politique intense, entre l’élection d’un nouveau président de la République en mai prochain et celle de l’Assemblée nationale en juin. Une belle occasion pour examiner les relations entre photographes et hommes politiques qui s’affrontent régulièrement sur les questions de pouvoir de l’image et de l’image du pouvoir. Les regards d’une douzaine d’auteurs nous ont servi de guides dans cette enquête et nous ont conduits dans des rédactions, print et web, et sur les réseaux sociaux. Une façon de décrypter comment, de l’information à la propagande, les images tentent de prendre le pouvoir sur nos consciences.

Consulter le sommaire et certaines pages de cet excellent numéro : https://issuu.com/fisheye-magazine/docs/fe22_issuu

Le site du magazine pour s’y abonner : https://www.fisheyemagazine.fr/en-kiosque/#sommaire

“Chez nous”, le film qui énerve le Front National

3 janvier 2017 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La diffusion sur Internet de la bande-annonce du film “Chez nous”, qui sort en salles le 22 février, a provoqué la colère de plusieurs dirigeants du Front national. Le film évoque la percée du parti d’extrême droite dans le Nord de la France.

Une simple bande-annonce peut provoquer les foudres d’un parti politique. C’est le cas depuis ce week-end, après la découverte par plusieurs cadres du Front national des premières images du nouveau long métrage de Lucas Belvaux, Chez nous, dont la sortie en salles est prévue le 22 février 2017.

“Chez nous”, le film qui énerve le Front national – Cinéma – Télérama.fr

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