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Live concert : Beth Hart à l’Olympia #StayHome #WithMe – ARTE Concert

Fans de Beth Hart et futur fans, réjouissez-vous ! Dans cette période complexe que nous vivons, ARTE nous propose l’intégralité du concert de Beth Hart à l’Olympia, enregistré en mars de cette année.

https://youtu.be/MiObIH0A8wg

La présentation de ce concert par ARTE

En ce début d’année 2020, l’Américaine Beth Hart prend ses quartiers à l’Olympia ! Au programme ? Deux concerts : un en solo, un autre avec ses musiciens. C’est le deuxième de ces événements qui nous intéresse ici. Direction donc la mythique salle de concert parisienne pour retrouver Beth Hart en fort bonne compagnie.

Beth Hart est née à Los Angeles au début des années 70. C’est en 1996 qu’elle sort son premier album – Immortal – mais il lui faudra attendre 2011 et une collaboration avec le rockeur Joe Bonamassa pour éclater au grand jour. C’est en effet l’album de reprises Don’t Explain qui fera retentir la voix de Beth Hart au-delà des cercles initiés.La voix de Beth Hart justement parlons-en : puissante et éraillée, elle s’adapte autant au rock, qu’au jazz, au blues ou à la soul. Un organe dans le plus pur style américain en somme, qui semble racontée milles histoires.Si Beth Hart revient sur scène, c’est pour y présenter l’album War On My Mind, publié en 2019. Ce successeur de l’acclamé Fire on the Floor est une œuvre éminemment personnelle. Dans ses textes en effet, l’artiste y aborde des thèmes intimes : ses relations avec son père et sa sœur, son addiction à l’alcool…Laissez-vous donc emporter par la stupéfiante voix de Beth Hart !

ARTE Concert vous propose le meilleur de la scène européenne sur tous vos écrans : http://concert.arte.tv

Le concert sur youtube : www.youtube.com

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Vinyle : Elton John, “Live from Moscow” (Virgin/EMI)

Une vraie curiosité que ce double album (vinyle). En 1979, Elton John a accompli un cycle. Il en sort essoré et nous avec. Ses grands albums sont derrière lui, ses grandes frasques aussi et il s’est retiré du circuit en plein burn out. Sa virée à Moscou le remet en selle à l’écart. Devant un public poli mais qui brûle en secret, il se lâche entièrement. Récital au piano et grands airs de castafiore. À l’arrivée, un genre de best of en solitaire (ou en compagnie du percussionniste Ray Cooper) qui vaut le détour.

Faisant suite à la sortie de son album « Single Man », Elton John avec Ray Cooper a également écumé l’Europe la même année. Ils avaient donné deux concerts au Théâtre de Beaulieu à Lausanne. Cela a été mon premier concert « live » à 17 ans. A l’occasion de ces deux concerts, les fauteuils du théâtre n’avaient pas tous résistés à l’enthousiasme du public. Quels moments à jamais inoubliable, me concernant, au parterre juste devant la scène à proximité de l’artiste !

Le concert en vidéo (YouTube):

https://m.youtube.com/watch?v=oB5SlGhY2IA

Il s’agit en fait du dernier concert de la tournée, qui s’est tenu au Rossiya Concert Hall le 28 mai 1979 et a été diffusé en direct dans toute l’Europe par la BBC. Il s’agissait de la première liaison satellite stéréo entre l’URSS et l’Occident. Cet enregistrement de l’émission du 28 mai est devenu disponible sur plusieurs albums pirates, dont A Single Man in Moscow, et Elton John Live from Moscow 1979, un double LP limité de pressage de vinyle émis pour le Record Store Day 2019. Très rapidement, le pressage est épuisé.

Un nouveau pressage est sorti le 24 janvier 2020 sur le site d’Elton John : https://www.eltonjohn.com/stories/live-in-moscow-1979.

La playlist :

Disque 1

  1. Daniel
  2. Skyline Pigeon
  3. Take Me To The Pilot
  4. Rocket Man (I Think It’s Going To Be A Long, Long Time)
  5. Don’t Let The Sun Go Down On Me
  6. Goodbye Yellow Brick Road
  7. Candle In The Wind
  8. I Heard It Through The Grapevine

Disque 2

  1. Funeral For A Friend
  2. Tonight
  3. Better Off Dead
  4. Bennie And The Jets
  5. Sorry Seems To Be The Hardest Word
  6. Crazy Water
  7. Saturday Night’s Alright (For Fighting)/Pinball Wizard
  8. Crocodile Rock
  9. Get Back/Back In The U.S.S.R.

A voir si vous en avez l’occasion, l’incroyable documentaire de la BBC « To Russia with Elton » avec cette scène incroyable lorsque les journalistes de la BBC offre un billet de concert à un fan absolu d’Elton John qui, ne faisant pas partie des apparatchiks, n’avait pas pu obtenir de billet pour assister à un concert.

A voir aussi, le moment où Elton John ne sachant plus comment dérider le public, encadré par la police, se met à jouer, sans transition, « Le Temps des cerises ». Avec succès.

Le séjour de John en URSS a été filmé par Dick Clement et Ian La Frenais. Le film a été monté pour un documentaire télévisé, intitulé To Russia with Elton. Le film comprend des images du dernier concert de John à Moscou et des scènes montrant le contexte politique de la tournée et ses réactions à la culture russe.

Concernant cette tournée, Elton John a publié en 2019 un texte revenant sur celle-ci : Elton’s 1979 Tour of the USSR – A Look Back

Sur la tournée et le documentaire : Elton John’s 1979 tour of the Soviet Union

Photo de couverture : Elton John et Ray Cooper sur scène en URSS – Mai 1979. Provenance : https://www.eltonjohn.com/stories/eltons-1979-tour-of-the-ussr-a-look-back

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A l’écoute: Whitestone City Limits par Jesse Malin

Voilà un morceau vous donnera la pêche de bon matin ! Et pourquoi pas un dimanche matin.

Whitestone City Limits
Par Jesse Malin
De l’album Outsiders

Listen on Spotify

Jesse Malin est un musicien de rock américain, guitariste et auteur-compositeur. Il a commencé sa carrière de chanteur dans le groupe hardcore new-yorkais Heart Attack, et s’est fait connaître comme chanteur de D Generation. Il est actuellement un artiste solo, ayant enregistré de nombreux albums dont celui de Sunset Kids produit par Lucinda Williams. Au cours de sa carrière, Malin a collaboré avec Bruce Springsteen, Billie Joe Armstrong de Green Day, Ryan Adams et de nombreux autres musiciens. Il y a pire comme références musicales, ne trouvez-vous pas?

Son plus récent album,  » Sunset Kids « , voit Jesse Malin retrailler de larges pans des textures musicales américaines – en invoquant Lou Reed, Neil Young et Paul Simon. Sunset Kids  » a commencé à prendre forme lorsque Jesse a accepté l’invitation de Lucinda à la voir ouvrir ce qui a été le dernier concert de Tom Petty and the Heartbreakers.

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Sur ma platine : Whiskeytown – Pneumonia (2001)

Jolie découverte ce soir que cet album Pneumonia (2001) de Whiskeytown.

Le groupe fait partie de l’alt-country (country alternatif). La musique est soignée. Les voix composent de belles harmonies. Le tout se laisse agréablement écouter. Il y a un côté à la fois frais et apaisant.

J’y retrouve un petit côté Jackson Browne de ses premiers albums. Intéressant.

Mirror, Mirror

Whiskeytown – Pneumonia.  Listen on Spotify
Un groupe ayant une existence aussi turbulente que Whiskeytown était voué à imploser tôt ou tard, mais à ce moment-là, il avait l’un des plus grands adeptes de culte de tous les groupes de l’alt-country. La plupart des récits retracent la source de toute cette agitation au chef de groupe.
Ryan Adams, jeune auteur-compositeur, est le leader de ce groupe. Selon les informations trouvées, ses éclairs de génie iraient de pair avec un tempérament versatile et un appétit pour l’alcool. Ses performances sur scène et hors scène comptent d’innombrables disputes avec les membres du groupe qui ont inévitablement entraîné de fréquents changements de personnel.
Crazy About You

Whiskeytown – Pneumonia. Listen on Spotify
Whiskeytown a été créé en 1994 à Raleigh, en Caroline du Nord, par le chanteur/guitariste/banjoïste Adams, un ex-rockeur punk de 20 ans qui avait découvert le country-rock de Gram Parsons. Les autres membres fondateurs du groupe étaient la violoniste/chanteuse occasionnelle Caitlin Cary, le guitariste Phil Wandscher, le bassiste Steve Grothmann et le batteur Eric « Skillet » Gilmore.
Pneumonia est le troisième album officiel de Whiskeytown. Il date de 1999. Cependant, une série de fusions de labels ont mis le disque sur les tablettes indéfiniment, pendant lesquelles il a été fortement piraté et a acquis une solide réputation underground. Pneumonia est finalement sorti en 2001 sur Lost Highway, la filiale de Universal roots, et a reçu des critiques parmi les plus fortes du groupe pour son approche éclectique.
Ce sera également leur dernier album. Adams poursuivra son ascension vers la célébrité indie tandis que Cary restera également très occupée en enregistrant fréquemment au cours des années 2000.
A noter concernant Ryan Adams que le 13 février 2019, le New York Times a publié un article contenant des allégations d’inconduite sexuelle contre Adams ; plusieurs femmes ont été citées dans l’article, dont son ex-femme Mandy Moore. Dans la foulée de cette publication, Blue Note a annulé la sortie de l’album Big Colors d’Adams.
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A l’écoute: Blood and Bones par Bob Schneider

Blood and Bones
Par Bob Schneider
De l’album Blood and Bones

Listen on Spotify

Une vieille connaissance que Bob Schneider. En même temps, je l’avais quelque peu perdu de vue après son album  ”I’m Good Now” (2004). Indépendamment de la qualité musicale de ce morceau, la pochette est absolument magnifique. Bonne dégustation de ce cru.

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A l’écoute: Transatlantic Flight par Leif Vollebekk

Transatlantic Flight
Par Leif Vollebekk
De l’album New Ways

Listen on Spotify

Leif Vollebekk est un musicien canadien habitant Montréal, originaire d’Ottawa. Il a étudié la philosophie en Islande. Auteur, compositeur, interprète et multi-instrumentiste[. Sa voix a été comparée à celle de Jeff Buckley. Il dit être inspiré par Leonard Cohen et Bob Dylan. (Source Wikipedia)

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Chronique album : BAILEN Thrilled To Be Here


L’album Thrilled To Be Here de BAILEN est mon premier album découverte de cette année 2020. C’est aussi le premier album de ce groupe paru en avril 2019.

BAILEN est un trio new yorkais composé de deux frères et une sœur : les jumeaux fraternels David (batterie) et Daniel (basse) et leur jeune sœur Julia Bailen (guitare). 

L’harmonie vocale et musicale que le trio dégage font écho aux illustres prédécesseurs des années 1970 tels Fleetwood Mac et de Crosby, Stills & Nash. Le son est cependant  celui du folk indie contemporain. 

Le morceau ”Eyelash” illustre bien la qualité vocale de leur interprétation :

Ou encore avec « Something Tells Me » :

Le plus souvent, des couplets entiers sont chantés en harmonie à trois voix. Nulle doute que cette harmonie vocale et musicale s’est construite depuis l’enfance. Un peu plus âgés, les jumeaux ont eu leur propre collection de groupes d’adolescents – notamment en jouant sous le nom de Bailen Brothers – avant que le chemin de Julia ne croise celui de ses frères et qu’ils ne fusionnent en 2013 sous le nom de BAILEN. 
 
Il faut aussi relever qu’ils ont d’abord beaucoup joué sur scène avant de réaliser leur premier album sous la houlette du producteur John Congleton (St. Vincent, The War on Drugs).
 
Un premier album fort convaincant qui leur a valu une critique élogieuse du magazine Rolling Stone : Sibling Harmonies illuminate Bailen’s ‘Thrilled to Be Here’ (https://www.rollingstone.com/music/music-album-reviews/review-thrilled-to-be-here-825099/).   

BAILEN – Thrilled To Be Here

https://ift.tt/2Ynu4bW

Photo : Shervin Lainez

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A l’écoute: Wrong Direction par Hailee Steinfeld

Ce single a été annoncée le 29 décembre 2019 pour le jour de l’an. Chanson de rupture d’Hailee Steinfeld, tout l’internet pense que c’est à propos de son ex-petit ami Niall Horan du boy band One Direction (Source : https://www.usmagazine.com/entertainment/news/hailee-steinfeld-to-release-wrong-direction-after-niall-horan-split/ ).

Wrong Direction
par Hailee Steinfeld
De l’album Wrong Direction

Listen on Spotify