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Lyonel Kaufmann blogue…

Lyonel Kaufmann blogue…

Sur la route à moto avec un café

novembre 20, 2020 09:18

20 novembre 2020 by Lyonel Kaufmann

Good morning internet. It’s 9:15 o’clock. Toute belle journée à vous. Et bon week-end. Keep safe. #Hipstamatic #Jane #Inas1982 #TripleCrown #suisse🇨🇭 #latourdepeilz

https://www.instagram.com/p/CHzjs-ehcqj/

#suisse #latourdepeilz #triplecrown #inas1982 #hipstamatic #jane

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Jon Henry dénonce les violences racistes aux USA dans une série bouleversante

17 novembre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le photographe Jon Henry (Instagram ici) donne vie à une série bouleversante contre les violences racistes de la police aux Etats-Unis. Dans Stranger Fruit, des jeunes Afro-descendants posent, comme inertes, dans les bras de leurs mères. Un hommage à Sean Bell, George Floyd et les autres fils d’une Amérique ingrate. (Photo d’ouverture : © Jon Henry)

Jon Henry est le lauréat du prix Arnold Newman 2020 pour les nouvelles orientations du portrait photographique pour sa série Stranger Fruit, mettant en avant des portraits de mères Afro-Américaines tenant leurs fils dans leurs bras comme s’ils étaient décédés. Un geste d’une immense puissance suggestive, contestation poétique et efficace des violences policières sur les Afro-descendants aux Etats-Unis. Les modèles reproduisent des poses qui suggèrent « La pietà », la fameuse statue de Michel-Ange représentant la Vierge Marie tenant entre ses bras le corps inerte de Jésus.

A lire : www.lense.fr

Avec ik.me, Infomaniak lance un service e-mail très attractif

15 novembre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La semaine passée, Infomaniak a lancé un service de messagerie gratuit, baptisé ik.me. L’entreprise genevoise a multiplié ces derniers mois les lancements de services alternatifs à ceux de Google et Microsoft, notamment: un système de partage de fichiers, un service de vidéoconférence, une suite bureautique en ligne…

L’interface, qui ressemble à celle de Gmail, est sobre et permet une utilisation efficace. — © DR
L’interface, qui ressemble à celle de Gmail, est sobre et permet une utilisation efficace. — © DR

Pour ma part, j’ai déjà adopté avec satisfaction kDrive (fichiers) et sa suite bureautique en ligne. Infomaniak héberge également depuis de nombreuses années mes sites.

Le service mail ik.me est une déclinaison gratuite de son système de mail proposé avec ses hébergements. En 2020, il a été personnalisé et rendu « user friendly ».

Désormais, décliné en Ik.me, ce service mail permet à tout en chacun de réduire sa dépendance aux géants américains de la tech. Et c’est une très bonne chose.

Pour l’instant, la messagerie s’adresse à tous les internautes suisses uniquement et dans un premier temps – plus tard, il sera ouvert à l’international, selon Infomaniak.

Il ne s’agit pas d’une solution au rabais, même si, pour certains utilisateurs, il s’agira d’un premier pas avant d’opter pour la version complète de kDrive et de sa suite bureautique.

Concrètement, une adresse en @ik.me permet d’utiliser 20 Go de stockage pour ses e-mails – soit 5 Go de plus que la version gratuite de Gmail, par exemple. En parallèle, Infomaniak offre 3 Go en ligne pour partager, collaborer et synchroniser des documents et des photos sur plusieurs appareils. Infomaniak propose également, et toujours gratuitement d’un calendrier en ligne et d’un répertoire de contacts.

De manière simple, Infomaniak vous proposera des scripts pour connecter votre mail ik.me à vos logiciels de courriers (smartphone ou tablette) ainsi que vos calendriers ou contacts. Vous disposez d’une interface web simple, épurée et personnalisa ble, via votre navigateur.

Si vous souhaitez vous affranchir des GAFA et rester propriétaires de vos données, je ne peux que vous recommander cette solution proposée par Infomaniak.

A lire : Avec ik.me, Infomaniak lance un service e-mail très attractif

Zewdi, Yabsra et Ehiopia, Jour 57 du confinement – Looking out from within 2020

14 novembre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Quand une photographe plasticienne ayant l’habitude de travailler avec une équipe d’un plateau de cinéma se retrouve soudain seule pour cause de confinement, cela donne Looking Out From Within, une impressionnante série de portraits de Londoniens reclus chez eux réalisés par Julia Fullerton-Batten.

Zewdi, Yabsra and Ehiopia, Lockdown Day 57

ZEWDI

Le covid 19 m’a affecté de nombreuses façons que je ne peux pas expliquer clairement, mais je suis sûr que tout le monde se sent de la même façon, car nous sommes tous concernés. Il n’y a rien de semblable que nous ayons vécu au cours de notre vie. Il a changé la routine de chacun et la façon dont nous faisons les choses. Je suis un peu inquiet pour l’éducation des enfants parce que nous ne faisons rien qui se rapproche de ce qu’ils auraient fait à l’école avec leurs professeurs.

Je vis avec mon mari, deux enfants et un locataire. Cela me manque d’aller à l’église tous les dimanches et de voyager librement.

Je crois en Dieu et je le vénère. Je crois qu’il est tout-puissant et tout ce qu’il veut de nous, c’est que nous soyons bons les uns pour les autres et pour sa création. Je crois que Dieu a son raisonnement pour tout, mais je ne peux pas vous dire pourquoi il permet la souffrance et qui il choisit ou comment etc… Ce doit être la raison pour laquelle on dit que « Dieu travaille dans ses voies mystérieuses ».

Je ne sais pas si je peux me rendre en Éthiopie cet été. En ce moment, nous sommes tous à la maison, sauf mon mari qui doit aller travailler comme chauffeur de bus.

Julia Fullerton-Batten

Allemande installée en Angleterre depuis 1986, Julia Fullerton-Batten est une photographe plasticienne reconnue mondialement tant pour son travail de commande que personnel. La série Looking Out From Within est visible sur son site : http://www.juliafullerton-batten.com/projectmenu.php?catNo=1&gallNo=96

« Maid », le récit d’une femme de ménage américaine devenue écrivaine

11 novembre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Avec son premier roman « Maid », paru l’an dernier aux Etats-Unis et nouvellement traduit en français aux Editions du Globe, Stephanie Land met en lumière les dysfonctionnements du système social américain à travers son propre parcours de femme de ménage.

Pendant des années, Stephanie a mené une vie modeste, suffisamment confortable pour se croire à l’abri de la misère. Père électricien, mère assistante sociale, des grands-parents sans le sou, mais plein d’amour: elle vit une enfance globalement heureuse durant laquelle cette passionnée de lecture se rêve écrivaine. Mais faute de moyens pour entrer à l’université, elle va d’abord multiplier les petits jobs.
Puis elle rencontre un homme, tombe enceinte, le père de l’enfant se révèle violent. C’est là que la galère commence pour cette mère célibataire parmi d’autres, et que nous, lecteurs, découvrons les conditions de survie de toute une frange de la population américaine qui multiplie les emplois sous-payés et les déménagements à répétition comme on s’agite au milieu de l’océan pour ne pas couler.

A ses difficultés financières s’ajoute le poids des jugements dédaigneux. Parce que dans un pays bercé par l’illusion que « si tu veux tu peux », et que « en travaillant, on peut tous réussir », les pauvres sont forcément coupables de paresse. Cette humiliation, Stephanie Land la subit quotidiennement, au supermarché quand elle paie avec ses bons alimentaires, chez le pédiatre qui trouve qu’elle pourrait faire mieux pour sa fille et jusque dans sa propre famille qui persiste à la croire responsable de son sort.

Aujourd’hui quadragénaire, mariée et mère de quatre enfants, Stephanie Land a réussi son pari: en 2010, elle a obtenu un diplôme en écriture créative et elle est devenue écrivaine. Salué par la presse américaine à sa sortie, en 2019, « Maid » est en cours d’adaptation en série par Netflix.

« Maid » de Stephanie Land, traduit en français par Christel Paris, Editions du Globe.

Lire la suite : https://ift.tt/38zZraX

La Suède manque de supermarchés, les boutiques mobiles prospèrent

8 novembre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le phénomène des magasins mobiles gagne du terrain en Suède, pays où le nombre de supermarchés est en chute libre. La recette: des boutiques transportables, ouvertes 24h sur 24, sans personnel de vente mais avec identification et paiement par téléphone portable.

Au milieu des années quatre-vingt, la Suède comptait 8500 supermarchés. Aujourd’hui, ils sont moins de la moitié. Le phénomène, baptisé aussi « désert alimentaire » aux Etats-Unis, touche toute l’Europe, mais n’est pas une fatalité.

Le Suédois Daniel Lundh, créateur de la start-up Lifvs, a mis au point un concept de boutique entièrement mobile, sans personnel, où l’on accède grâce à une application et où l’on paie avec son téléphone portable. Il y en a déjà vingt dans tout le pays, et il s’en ouvre une toutes les deux semaines.
Les boutiques Lifvs ressemblent à un mobile-home de camping, de 3 mètres sur 9, avec une grande baie vitrée qui laisse voir des rayonnages et des armoires réfrigérées, comme dans un vrai supermarché. Et comme il n’y a personne derrière la caisse, pour ouvrir la porte, il faut sortir son téléphone.

Lire la suite : https://ift.tt/3p7v8yn

Roadbook – Sortie d’automne avec Captain’Adventure

18 octobre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Alors que les premières neiges sont tombées dernièrement, l’occasion est belle en ce dimanche 18 octobre pour profiter, peut-être une dernière fois, de faire une sortie dans les Préalpes vaudoises, bernoises et fribourgeoises avec Captain’Adventure.

Du côté d’Abländschen entre Saanen et le village du Jaun.

La première étape du jour est pour Les Diablerets. Son glacier est déjà enneigé alors que la station endosse les couleurs de l’automne. Le soleil et le ciel bleu complètent le tableau.

J’entreprends ensuite de gagner le col du Pillon et je m’arrête à la descente à la sortie de la forêt. Je vois ainsi le panorama sous un autre angle.

Je gagne ensuite Gstaad et Sarnen. A la sortie de Sarnen en direction de Zweisimmen, je bifurque pour rejoindre la route d’Abländschen qui permet ensuite de rejoindre le village du Jaun. C’est une route alternative à celle du col du Jaun.

J’en profite pour une photo avec Gstaad et les sommets enneigés en arrière-plan.

Je sens en même temps observé…

Je reprends ensuite ma route et mon ascension. Les couleurs de l’automne sont magnifiques et le ciel est encore bleu.

A l’occasion de cet arrêt, un cycliste s’arrête et nous aurons l’occasion d’échanger sur le magnifique décor que nous avons sous nos yeux. Admiratif, je le regarde repartir terminer l’ascension du col.

Captain’Adventure s’inscrit parfaitement dans ce décor automnal.

Arrivé au sommet et juste avant de redescendre sur le village d’Abländschen, j’oblique à droite. Je vais découvrir deux magnifiques décors.

En même temps, la météo change et le soleil disparaissant, le ciel bleu fait place à des teintes de gris en arrivant à ma première découverte du jour.

Un peu plus bas, avant la fin de la route, le passage s’ouvre du côté du col du Jaun et les paysages fribourgeois. Il reste encore un peu de ciel bleu.

Captain’Adventure s’inscrit parfaitement dans le paysage du jour.

Il est ensuite temps de rejoindre le village du Jaun. Désormais le décor et le ciel sont gris. Le soleil ne reviendra pas. Je rejoins ensuite Charmey, puis Bulle avant de rentrer, très satisfait de mon parcours du jour, à la maison.

Cliquez sur les images pour les agrandir.

« L’émotion qui fonde QAnon, c’est la méfiance contre les institutions et les élites »

18 octobre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Cette théorie complotiste, qui a fortement gagné en popularité ces dernières années, est étudiée par le professeur américain Ethan Zuckerman, spécialiste des réseaux sociaux.

Ethan Zuckermann spricht auf der re:publica 2015 am 05.05.2015 in Berlin..Copyright: re:publica/Jan Zappner

En 1964, 77 % des Américains faisaient confiance à leur gouvernement pour prendre les bonnes décisions. Lorsque Barack Obama est devenu président, ils n’étaient plus que 30 %. C’est l’idéologie dominante, et QAnon dit précisément cela : vous ne pouvez pas faire confiance au gouvernement. Il y a un « Etat profond », les Obama et les Clinton sont des « satanistes pédophiles »… C’est cette même absence de confiance qui a fait élire Donald Trump, et conduit le Royaume-Uni à quitter l’Union européenne.

Source : « L’émotion qui fonde QAnon, c’est la méfiance contre les institutions et les élites » ´

Dernière taverne avant la fin du monde – Actuel Moyen Âge

10 octobre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Une seconde maison

Une taverne au XVe siècle, BNf ms. FR 1460 f. 111V

Bien avant la crise du logement contemporaine, vivre dans le Paris médiéval quand on n’appartenait pas aux classes aisées était relativement inconfortable : on habitait dans une maison souvent sans cuisine, sans cheminée, où l’on reste uniquement le temps de dormir et où l’on vit parfois seul. Dès lors, la taverne devient un lieu convivial où l’on peut se nourrir et se désaltérer. À ce titre, dans les classes populaires il est courant de manger hors de chez soi, dans une taverne avec cuisine ou qui se fait livrer par des traiteurs. On peut y trouver de la nourriture bon marché, par exemple les « petits pâtés » des étudiants affamés ou de la charcuterie « prête à manger ». Au contraire, le bourgeois mange chez lui, se fait livrer auprès de professionnels de bouche réputés ou encore se rend dans des établissements de qualité que l’on appelle plus volontiers « hôtels ».

Pour aller plus loin

  • Claude Gauvard, « De grace especial ». Crime, État et société en France à la fin du Moyen Âge, Paris, Publications de la Sorbonne, 1991, en particulier les chapitres 6 « Ville et campagne », 9 « Nanti et marginal », 11 « L’espace maîtrisé » et 12 « L’espace perturbé ».
  • Bronislax Geremek, __Les marginaux parisiens aux XIV__e__ et XV__e__ siècles__, Paris, Flammarion, 1976.
  • Patrick Rambourg, « Les spécialistes du prêt-à-manger à Paris : cuisine publique et modes de restauration à la fin du Moyen Âge », in Vincent Marcilhac et Vincent Moriniaux, Les établissements de restauration dans le monde, actes du colloque de l’Université Paris-IV Sorbonne (12-13 octobre 2009), Paris, L’Harmattan, 2012, p. 113-125.
  • Jean Verdon, Boire au Moyen Âge, Paris, Perrin, 2002.
  • Mireille Vincent-Cassy, « Les habitués des tavernes parisienne à la fin du Moyen Âge ou les plaisirs partagés », in Claude Gauvard et Jean-Louis Robert (dir.), Être Parisien, Paris, Publications de la Sorbonne, 2004, p. 231-250.

Source : actuelmoyenage.wordpress.com

Peut-on limiter l’extension de la « société de la notation » ? | InternetActu.net

23 septembre 2020 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Vincent Coquaz (@vincentcoquaz) et Ismaël Halissat(@ismaelhat), journalistes à Libération livrent dans La nouvelle guerre des étoiles (Kero, 2020) une bonne enquête sur le sujet de la notation : simple, claire, accessible, grand public. Leur synthèse prend la forme d’un reportage informé et rythmé, proche du journalisme d’investigation télé auquel nous ont habitué des émissions comme Capital ou Cash Investigation. Reste que derrière les constats que délimitent leur enquête, notamment celui du manque de fiabilité de la notation, se pose une question de fond : comment border, limiter ou réguler cette « société de la notation » qui se met en place ?

La société de la notation

L’invention de la notation remonte au XVe siècle, sous l’impulsion des Jésuites et de la contre-réforme, qui, pour lutter contre l’expansion protestante, vont fonder des collèges dans toute l’Europe, et vont utiliser la notation pour évaluer leurs élèves, comme le pointe le spécialiste des pratiques pédagogiques Olivier Maulini. Pour distinguer et classer les élèves, la notation s’impose, et avec elle le tri et la compétition, appuie le sociologue spécialiste des politiques éducatives Pierre Merle dans Les pratiques d’évaluation scolaire (PUF, 2018). Il faudra attendre le début du XIXe siècle pour que se mette en place le barème sur 20 qui va se répandre dans tout le système scolaire à la fin du siècle. La généralisation d’une échelle plus précise va surtout permettre de renforcer la discrimination et l’individualisation, la différenciation et la hiérarchisation. La moyenne, quant à elle, apparaît au début du XXe siècle et consacre « le classement sur le savoir », puisque celle-ci va permettre d’additionner par exemple des notes en math avec des notes en sport… ce qui semble loin d’une quelconque rigueur mathématique ou scientifique. Plus omniprésente que jamais, la note va pourtant voir sa domination contestée. À la fin des années 90, de nouvelles formes d’évaluation alternatives, comme les niveaux de compétences (distinguant les notions acquises de celles qui ne le sont pas) se répandent, mais demeurent limitées et marginales par rapport à la gradation chiffrée.

Si la notation n’est pas née avec le numérique, celui-ci va être un incroyable accélérateur de « la société de la notation » et va favoriser son essor bien au-delà de la seule sphère scolaire où elle est longtemps restée limitée (la note s’étant peu imposée dans le monde du travail avant l’essor du numérique). Amazon, dès 1995, propose aux acheteurs de noter sur 5 étoiles les produits qu’ils commandent. TripAdvisor en 2000, Yelp en 2004 élargiront ces possibilités aux restaurants et hôtels. En 2008, ebay proposera aux utilisateurs de noter les vendeurs… avant que toutes les plateformes de l’économie collaborative n’emboîtent le pas à la fin des années 2000. En quelques années finalement, la note et le classement se sont imposés dans la société, tant et si bien qu’elles semblent désormais être partout. Comme si avec l’essor de la note et du classement, venait une forme de libération de l’efficacité de l’évaluation… Ce n’est pourtant pas le constat que dressent les journalistes.

Lire la suite : Peut-on limiter l’extension de la « société de la notation » ? | InternetActu.net

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