Matthias Heiderich, géométrie colorée, Fisheye #11
Matthias Heiderich compose une géométrie ludique qu’égaie une palette de couleurs puisées dans les nuances du ciel ou les aplats industriels.
— À lire sur Matthias Heiderich, géométrie colorée, Fisheye #11
Livre : Le Magicien de Magdalena Parys. Edition Agullo Noir
Hommage au réalisateur Claude Goretta (1929-2019) – RTS
Genève, le 21 février 2019 – La Radio Télévision Suisse rendra hommage au cinéaste genevois Claude Goretta, également réalisateur pour la TSR durant de nombreuses années, en diffusant ce soir dès 21h20 sur RTS Deux La Dentellière et L’Invitation, deux longs métrages primés au Festival de Cannes. C’est l’une des figures emblématiques du Groupe 5 qui s’est éteint hier dans sa 90e année, un réalisateur qui a œuvré avec autant de succès pour le petit que pour le grand écran.
Claude Goretta, décédé le 20 février dans sa 90e année, était entré à la Télévision Suisse Romande en 1958. À la fois réalisateur de reportages pour la télévision (Continents sans visa, Temps Présent), de téléfilms (Jean-Luc persécuté) et de films documentaires ou de fiction (Le Fou, L’Invitation, La Dentellière, La Provinciale), le cinéaste n’a cessé de créer des ponts entre télévision et 7e art.
Source : communiqué de presse de la RTS
Explorateurs, touristes et autres sauvages, de Jean Talon
Explorateurs, touristes et autres sauvages, de Jean Talon. Traduit de l’italien par Stéphanie Leblanc. Plein Jour, 160 pp., 16 €
Dix-sept histoires de sauvages puisées dans les récits d’explorateurs et ethnographes. Où on retrouve la fascinante aventure de Rasmussen, tombé dans l’eau glacée du cercle polaire arctique, nez à nez avec un ours blanc qui lui jette un regard reconnaissant, car l’ethnologue a éloigné les chiens. Naturellement, le sauvage n’est pas celui qu’on croit. Ainsi, les Trobriandais (d’un atoll au nord-est de la Nouvelle-Guinée) n’ont jamais compris ce que Malinowski était venu faire chez eux, à leur poser des questions idiotes.
Source : Judith Lyon-Caen, Gérard Oberlé, John Freeman… La sélection livres de «Libé» – Culture / Next
Climat : la réplique jeune – Libération
Alors que le mois de janvier a vu s’accumuler les mauvaises nouvelles climatiques, entre accélération de la fonte des calottes glaciaires et des neiges himalayennes et confirmation que 2018 avait été la quatrième année la plus chaude de l’histoire, la seule éclaircie est venue des jeunes. Emboîtant le pas à la Suédoise Greta Thunberg et sa grève scolaire pour le climat, les élèves belges et suisses âgés de 12 à 18 ans ont décidé de sécher massivement et régulièrement les cours pour alerter leurs dirigeants sur l’urgence climatique, avant d’être rejoints la semaine dernière par plusieurs milliers de lycéens hollandais. Si l’on prend en compte des mouvements plus épars, en Allemagne ou en Australie notamment, 70 000 jeunes font grève pour le climat chaque semaine dans 270 villes, selon un décompte du Guardian. Un chiffre promis à augmenter grâce aux Français et Britanniques qui entrent à leur tour dans la danse ce vendredi, avec une première journée de grève qui devrait ensuite suivre un rythme hebdomadaire.
—Lire la suite sur www.liberation.fr/planete/2019/02/14/climat-la-replique-jeune_1709438
février 10, 2019 00:40

On a beau dire, on a beau faire, certaines nouvelles, même attendues, peuvent laisser un peu d’amertume dans la bouche.On s’en remettra.
Six bonnes raisons de considérer le jeu vidéo comme un art | Slate.fr

Comme le cinéma avant lui ou la Bande dessinée, le jeu vidéo doit se faire sa place et être reconnu comme un produit culturel et comme art.
Selon une vieille idée reçue, le jeu vidéo serait moins «artistique» que le cinéma ou la littérature, par exemple. En cause, son interactivité, qui en laissant trop de marge de manœuvre au joueur ou à la joueuse empêcherait de faire passer des idées de manière claire.
En réalité, c’est le contraire: les jeux vidéo sont des univers, des simulations, des systèmes pourvus de règles qui nous confèrent un rôle, réagissent à nos actions et laissent plus ou moins de place à l’expérimentation. Pratiquer un jeu, c’est dialoguer avec l’esprit de celles ou ceux qui l’ont créé.
—Lire la suite : Six bonnes raisons de considérer le jeu vidéo comme un art | Slate.fr
Post-vérité, fake news, “infox” : et s’il fallait s’en réjouir ? – Les Inrocks
Résolument à contre-courant, le philosophe et sociologue Manuel Cervera-Marzal estime dans son nouvel essai (“Post-vérité, pourquoi il faut s’en réjouir”) que derrière ses aspects repoussants, la post-vérité est une occasion de régénérer la démocratie. Il explique pourquoi aux Inrocks. Extrait.
« Pour les théoriciens de la post-vérité, la montée du complotisme et du populisme sont des symptômes de cette nouvelle ère. Et sa cause résiderait dans internet et les réseaux sociaux, qui favorisent une inflation de fake news et d’intox.
Je suis en désaccord radical avec ce constat, car je considère que cela revient à diaboliser le présent, et à idéaliser le passé. Concernant le présent, je ne suis pas du tout convaincu qu’internet ait entraîné une baisse de la qualité du débat public. Je ne suis pas aveugle au fait que le complotisme, l’antisémitisme et les fake news se répandent sur internet, et grâce à internet. Mais internet a aussi permis l’émergence de Wikipédia, de nouveaux médias indépendants des marchands d’armes, de blogs qui en 2005 ont permis à des citoyens d’avoir des informations sur le traité constitutionnel européen (TCE) qui n’étaient absolument pas données par la presse nationale, et donc de se forger leur propre opinion de manière relativement éclairée… J’appelle à plus de nuances sur le présent.
Quant au passé, comment peut-on prétendre qu’avant 2016, nous étions dans l’ère de la vérité ? Je n’y crois pas un instant. Les exemples abondent : la propagande publicitaire mise en place aux Etats-Unis dans les années 30 avec les travaux d’Edward Bernays, celle des régimes totalitaires, les fausses promesses sur le diesel propre, le plein emploi, le Watergate, le Rainbow Warrior… »
—A lire : Post-vérité, fake news, “infox” : et s’il fallait s’en réjouir ? – Les Inrocks
Crédit image : Wokandapix. Pixabay License. Libre pour usage commercial. Pas d’attribution requise.
Un monumental trompe-l’œil ornera la façade historique de la gare de Vevey

Dans le cadre des travaux de transformation de la gare de Vevey, les Chemins de fer fédéraux suisses – CFF en collaboration avec Images Vevey présentent à nouveau une spectaculaire installation photographique réalisée sur mesure par l’artiste Olivier Lovey.
Après avoir investi le hall de la gare de Vevey avec une impressionnante vague en trompe-l’œil au printemps 2018 sur invitation des CFF et d’Images Vevey, Olivier Lovey réalise à nouveau une œuvre monumentale et éphémère qui ornera la façade historique de la gare de Vevey durant les importants travaux d’aménagement du bâtiment.
Suite aux rénovations, Images Vevey et les CFF sont heureux d’annoncer le retour d’un espace d’exposition au cœur de la gare prévu pour la fin de l’année 2019.
Vernissage public en présence de l’artiste devant l’installation, suivi d’une verrée mercredi 6 février de 17h à 18h
Source de l’information : https://www.images.ch/fr/