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Lyonel Kaufmann blogue…

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Sur la route à moto avec un café

Historiographie

Revue de presse : Tableau blanc interactif et efficacité pédagogique

18 décembre 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Tableau blanc interactif et efficacité pédagogique | Éduscol Numérique

Ainsi les auteurs de l’étude se sont attachés à distinguer deux manières d’appréhender ce support de plus en plus présent dans les classes : l’utilisation exclusive de l’outil par l’enseignant et le partage du tableau entre les élèves et le professeur.
Les analyses des résultats mettent en lumière un meilleur niveau d’interaction (nombre de questions posées, interactions entre pairs) lorsque les élèves bénéficient de l’usage partagé du TBI par rapport à ceux qui en ont été privés. En outre, l’étude fait également ressortir une progression plus importante dans la maîtrise des compétences visées chez le groupe expérimental. L’augmentation des performances des élèves corroborées par d’autres études citées par les auteurs semble particulièrement s’expliquer par la réflexion pédagogique des enseignants vis-à-vis de ce support.

André Loez, 14-18. Les refus de la guerre. Une histoire des mutins

30 mai 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

André Loez propose une nouvelle approche de la questions des mutineries de 1917 et renouvelle ainsi son questionnement. Le compte-rendu d’Antoine Prost dans la Revue Le Mouvement Social nous présente les éléments principaux de cet important travail.

loez-refus-guerre1.previewAinsi, pour A. Loez, avant de chercher des raisons aux mutins, il faut comprendre pourquoi le choix d’une révolte est devenu possible au printemps de 1917. L’échec du Chemin des Dames n’est pas une explication suffisante : 22 unités seulement sur les 85 touchées par les mutineries avaient été engagées le 17 avril, tandis que 19 étaient au repos complet et 8 dans un secteur calme. La 5e DI, où la mutinerie fut spectaculaire, était en réserve. La dénonciation des attaques inutiles et la lassitude de la guerre apparaissent beaucoup plus tôt. La désobéissance des soldats ne relève donc pas d’une démotivation passagère et vite surmontée, mais elle révèle que «d’autres choix et d’autres conduites sont devenues possibles et pensables, en raison d’une inflexion des cadres sociaux et symboliques de l’obéissance »
D’autres éléments et événements sont donc avancés par A. Loez pour qu’une représentation de l’avenir où il devient envisageable que la guerre puisse prendre fin parmi les mutins:

  • la Révolution russe,
  • L’entrée en guerre des États-Unis,
  • le recul allemand sur la ligne Hindenburg,
  • l’espoir suscité par les préparatifs du Chemin des Dames,
  • l’impression de flottement au sommet de la hiérarchie lors de la nomination de Pétain.

La perspective d’une paix ne serait plus absurde et prendrait plus de consistance avec les grèves de mai et surtout le congrès socialiste de Stockholm auquel les délégués français ne peuvent se rendre devant le refus du gouvernement de leur délivrer des passeports. Par ailleurs, l’exemple vite connu des premiers refus d’obéissance donne des idées.
Concernant ensuite la question du sens des mutineries. A. Loez refuse alors «la posture du chercheur omniscient qui sait lire et narrer le grand texte de l’histoire». A l’étude des propos des mutins, A. Loez définit quatre types de mutins :

  • les tapageurs,
  • les grévistes, de bons soldats injustements traités,
  • les citoyens qui réclament leurs droits,
  • les militants qui se mobilisent pour la fin de la guerre.

En définitive, pour A. Loez et A. Prost, il ne faut pas se laisser enfermer dans l’alternative patriotes ou pacifistes : la réalité est beaucoup plus complexe et mouvante. Mais une constante demeure : la nécessité, pour les mutins, de construire la légitimité de leur action.

Le compte-rendu : Antoine Prost, «Compte rendu de André Loez, 14-18. Les refus de la guerre. Une histoire des mutins, 2010 », Le Mouvement social..

La traite des Noirs vue du pont du navire négrier | RévolutionFrançaise.net

6 février 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’historien américain Marcus Rediker nous offre dans son dernier livre The Slave Ship. A Human History, disponible en collection de poche chez Penguin (2007), une magistrale histoire de la traite des Noirs au XVIIIe siècle dans laquelle ce ne sont pas tant les chiffres, les analyses de l’impact démographique ou des conséquences économiques de la déportation des esclaves qui importent, mais plutôt les éléments d’une étude sociale et culturelle de la traite vue au niveau du pont du navire négrier.

Le compte-rendu : La traite des Noirs vue du pont du navire négrier. – Révolution Française.

Conscience de soi et représentations de l’autre dans la Rome antique | Livre

26 janvier 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dans la discussion relative à la place de l’enseignement de Rome au collège (Quelle place la Rome antique doit-elle avoir à l’école (vaudoise) ?), voici une parution récente utile dans le cadre de ce débat.

Le résumé de l’ouvrage par l’éditeur :

Le renouvellement des études antiques a mis en évidence l’importance de la notion d’identité.
Les populations indigènes soumises par les Grecs puis par les Romains, les phénomènes d’acculturation ont suscité l’attention, interrogeant la manière dont ces peuples étaient représentés par les vainqueurs. En évoquant les autres, ceux-ci nous parlent d’abord d’eux-mêmes, de l’imaginaire qui les habite, bien plus qu’ils ne nous livrent des informations ethnographiques. Si les questions d’identité ethnique et culturelle ont été bien étudiées dans le monde grec, tel n’est pas le cas dans le monde romain.
Pourtant, la maîtrise d’un Empire immense est passée par l’intégration progressive de peuples très divers, et la conception romaine de l’identité culturelle s’est développée de manière originale : c’est ainsi, par exemple, que le motif de l’humanitas a permis d’articuler la relation de Rome avec les Barbares. Il s’agit donc dans ce livre non d’une mais de plusieurs identités, de la définition culturelle de la romanité et de la représentation, par les Romains, de l’altérité.

La table des matière :

La formation de l’identité romaine

  • L’appropriation de la culture grecque
  • La définition d’une identité romaine
  • Une identité menacée

L’identité de l’autre

  • L’image des barbares
  • Le cas du monde grec
  • Identités romaines loin de Rome

La référence : Mathilde Simon (collectif) (2011) Identités romaines – Conscience de soi et représentations de l’autre dans la Rome antique (IVe siècle avant J-C – VIIIe siècle après J-C) . SBN : 978-2-7288-0449-8

Livre : Identités romaines, Conscience de…. Mathilde Simon, Collectif – 9782728804498.

Wikipedia, Patrimoine culturel et historiographie | booktwo.org

8 septembre 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

«This particular book—or rather, set of books—is every edit made to a single Wikipedia article, The Iraq War, during the five years between the article’s inception in December 2004 and November 2009, a total of 12,000 changes and almost 7,000 pages.
It amounts to twelve volumes: the size of a single old-style encyclopaedia. It contains arguments over numbers, differences of opinion on relevance and political standpoints, and frequent moments when someone erases the whole thing and just writes “Saddam Hussein was a dickhead”.»

Pour la première fois dans l’histoire, nous construirions un système —peut-être pour un temps limité— capable d’enregistrer et de nous renseigner sur chacune des oscillations de la pensée sur un phénomène historique. Tout peut donner lieu à un bouton « histoire ». Et le processus de construction du récit est consultable et peut être débattu.

On Wikipedia, Cultural Patrimony, and Historiography | booktwo.org.

L’imprévu cinématographique – Laurent Véray | Cinémadoc

29 juin 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

“La reconstitution du passé n’est plus la seule motivation, ni le seul centre d’intérêt. Pas plus que les historiens, ces cinéastes ne cherchent à reconstituer la réalité d’hier à l’état brute. Ils interrogent au contraire la trompeuse évidence des images qu’ils utilisent, remettent en question leur prétendue objectivité, proposent d’autres lectures.”

Laurent Véray, « L’Histoire peut-elle se faire avec des archives filmiques ? », 1895, n°41, Archives, 2003, [En ligne], mis en ligne le 13 février 2007. URL : http://1895.revues.org/document266.html. Consulté le 29 juin 2010.

Dans cet article, ce qui intéresse Laurent Véray, c’est la manière dont : “Écrire l’histoire et filmer l’histoire peut relever d’un même régime de sens et de vérité”, soit “la mise en film de l’histoire”.

Rémy Besson poursuit son parcours et son état du champ concernant l’histoire et le cinéma au travers d’oeuvres charnières. Une nouvelle fois, il nous éclaire sur un article consultable en ligne. Doublement précieux!

via L’imprévu cinématographique – Laurent Véray | Cinémadoc.

Problématiser 14-18 : un armistice de 21 ans?

22 juin 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Les préoccupations des historiens peuvent aider les enseignants à construire une problématique à laquelle leurs élèves devront ensuite répondre. En voici un exemple à l’aide d’un article de 2008 paru dans la Revue historique des armées.

En 2008, Georges-Henri Soutou s’interroge : 1918 représentait-elle la fin de la Première Guerre mondiale? Son article s’intéresse notamment à la situation en Allemagne après la signature de l’armistice ainsi que sur les motivations de Ludendorff. De manière générale, pour Soutu, il s’agissait non pas d’armistices militaires, mais politico-militaires. D’où l’importance de cette période au cours de laquelle s’arrête la Grande Guerre, mais alors que les traités de paix se font attendre. La fin de son article, fort intéressant dans son ensemble, nous offre ensuite un bel exemple permettant de problématiser la fin du conflit et de projeter les élèves dans l’étude de l’entre-deux-guerres et la Deuxième Guerre mondiale. Nous sommes également en présence d’un travail d’histoire maniant une histoire-événementielle et une histoire-problème.

Il conclut par une interrogation: Un armistice de 21 ans ?

Puis il poursuit en posant les termes du débat historiographique apparu dans les années 1980:

Une question préoccupe les historiens depuis les années 1980 : la Deuxième Guerre mondiale, guerre totale, qui a fait 50 millions de morts, qui a vu les génocides les plus graves de l’histoire, qui a vu l’utilisation de l’arme nucléaire, était-elle un phénomène spécifique ? Ou bien faut-il considérer qu’elle prolongeait la Première Guerre mondiale, après une sorte d’armistice de 21 ans, dans ce que certains appelaient une « guerre de Trente Ans » (l’expression fut employée à l’époque par de nombreux grands responsables, comme Churchill et de Gaulle, qui avaient très nettement l’impression d’assister à la suite de l’épisode précédent) ?

Dans les lignes précédentes, l’article proposait des éléments qui peuvent être exploité dans le sens d’une Guerre de Trente Ans. Puis, dans les lignes conclusives, l’article propose ensuite des éléments invitant dans le sens d’une spécificité du deuxième conflit mondial. Ainsi en est-il de son caractère de conflit idéologique alors que la Première Guerre mondiale était essentiellement un affrontement de type national ou de conflit total, «s’évadant très largement des lois de la guerre et du droit des gens traditionnel, encore à peu près respectés en 1914-1918.»

Dans tous les cas, un joli point de départ pour construire une séquence d’enseignement englobant la conclusion de 1918, l’entre-deux-guerres et la Deuxième Guerre mondiale. Une problématique non négligeable lorsqu’on ne dispose que d’une ou deux périodes d’enseignement par semaine.

via 1918 : la fin de la Première Guerre mondiale ?.

L’historien, le film et l’anachronique – Pierre Sorlin | Cinémadoc

19 juin 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

« Nous arrivons ainsi à une première proposition : le film historique serait, davantage que beaucoup d’autres, un film situé, étroitement dépendant d’un contexte en dehors duquel il n’aurait pas de sens. Il serait, d’autre part, sous un vêtement d’emprunt, consacré d’abord et avant tout aux questions contemporaines ; par une voie détournée, il aborderait des thèmes d’actualité, prendrait position sur des conflits du moment ; en un mot, sa première caractéristique serait la retraduction, la mise au présent des événements passés. »

Pierre Sorlin, “Clio à l’écran, ou l’historien dans le noir”,  Revue d’histoire contemporaine, avril-juin 1974, p. 266

Rémy Besson nous offre une série de courts billets fort passionnant concernant l’état du champ concernant l’histoire et le cinéma au travers d’oeuvres charnières. Ici, il s’agit d’un texte de Pierre Sorlin.

Plus que toute oeuvre historique, le film serait un formidable révélateur des préoccupations du temps présent relativement au passé. Cela renforce, à mon avis, son intérêt en classe d’histoire pour notamment mettre en évidence la question du point de vue en histoire.

J’en profite pour adresser un grand merci à Rémy Besson pour son excellente initiative.

via L’historien, le film et l’anachronique – Pierre Sorlin | Cinémadoc.

La Suisse face à la guerre d’Algérie | Domaine Public

31 mars 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Domaine public publie un compte-rendu par Pierre Jeanneret de la défense de thèse présentée à Fribourg par Damien Carron, ancien collaborateur des Documents diplomatiques suisses et actuellement Délégué à la recherche à la Fondation Formation universitaire à Distance Suisse. Le titre de la thèse est La Suisse officielle face à la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962). Implication, perception, retombées.

Cette thèse se concentre donc sur la Suisse officielle et se base sur les fonds des Archives fédérales à Berne. Si la présence suisse en Algérie s’appuie depuis la conquête sur une forte colonie suisse (2’000 ressortissants suisses et leurs intérêts économiques à protéger), le Conseil fédéral sous l’influence de Max Petitpierre acquit

«la conviction que la question algérienne ne pourrait se résoudre que par la négociation, et non par les armes. Cette conviction l’amena à offrir les bons services de la Confédération, comme intermédiaire en vue de l’ouverture de pourparlers»

Pour leur part, les dirigeants algériens en Suisse du FLN furent rapidement convaincus que le vrai pouvoir étaient entre les mains du Vorort (L’Association faîtière de la grande industrie d’exportation et des banques) et des industriels. Le gouvernement suivant ensuite dans le sens des intérêts de ceux-ci. Le transfert des taxes révolutionnaires du FLN —prélevées sur les 400’000 travailleurs/résidents algériens en France— dans les coffres des banques suisses suffisent alors à convaincre le Conseil fédéral de sa neutralité.

Plusieurs pages sont consacrées également au rapport entretenu par la Suisse officielle avec la Neue Zürcher Zeitung ainsi que le positionnement des différents journaux par rapport à cette guerre de décolonisation.

Au final, pour Pierre Jeanneret, ce travail

fera date dans l’historiographie déjà abondante relative à une guerre coloniale qui n’a cessé d’aviver les passions des témoins et acteurs, et parfois celles des historiens eux-mêmes.

Cette thèse fera date également du côté de la politique menée par la Suisse officielle dans le cadre de la décolonisation, et plus particulièrement dans celle de l’Afrique, après 1945.

Le texte intégral du compte-rendu: Domaine Public : La Suisse face à la guerre d’Algérie.

Thèses sur les sciences historiques à l’ère digitale

16 septembre 2009 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dans sa contribution au colloque consacré aux médias numériques et les sciences historiques de septembre 2009, Peter Haber a présenté différentes hypothèses sur les évolutions possibles et les relations entre ère numérique et la science historique que nous résumons ici

  1. Littéracie numérique: les historiens connaissent quelles sont les informations disponibles numériquement ainsi que les avantages et les inconvénients des sources numériques et des sources analogiques.
  2. Critique de source: l’histoire numérique s’appuye sur la critique classique des sources en collaboration avec d’autres disciplines.
  3. Visualisation: l’histoire numérique est avant tout un texte scientifique utilisant les capacités multimédias des médias numériques.
  4. Collaboratif: les processus de travail sont effectué de manière collaborative, et non plus individuellement, à l’aide des technologies des réseaux numériques.
  5. Culture de l’Open source: l’activité éditoriale change et se calque sur les principes du libre-accès et de l’examen (on-line) des résultats par les pairs.
  6. Workflow: l’entier du processus historiographique est basculé dans les environnements numériques (h-desk, e-histoire).

Le résumé de cette présentation est très stimulante.

Source: Thesen zur Digitalen Geschichtswissenschaft | weblog.histnet.ch

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