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Revue de Presse : Découvrir la Suisse comme un touriste du XVIIIe siècle

1 février 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

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« Vue de la chute du Rhin, près de Schaffhouse », de Johann Ludwig Bleuler, Aegidius Federle et Friedrich Salathé, 1836 [DR]

Une collection de plus de 1000 oeuvres mises en ligne par la Bibliothèque nationale permet de se plonger dans les circuits du tourisme suisse des XVIIIe et XIXe siècles.

Je note:
«Une collection de plus de 1000 oeuvres mises en ligne par la Bibliothèque nationale permet de se plonger dans les circuits du tourisme suisse des XVIIIe et XIXe siècles.
Le tourbillon des chutes du Rhin, le Léman vu de Lavaux ou la silhouette blanche de la Jungfrau. Ces paysages emblématiques de la Suisse séduisent les touristes depuis plus de 200 ans.
En témoignent les quelque 1000 oeuvres mises en ligne sur Wikimedia la semaine dernière par la Bibliothèque nationale suisse. Les tableaux, disponibles en haute résolution et libres de droits, offrent une plongée dans la Suisse des XVIIIe et XIXe siècles, au fil des paysages et de scènes de la vie quotidienne. Une oeuvre d’artistes baptisés « petits-maîtres » qui a largement contribué à l’essor du tourisme dans le pays.»

via Toute l’info – RTS Un / RTS Deux http://ift.tt/1zsoLGt

Revue de Presse : La Suisse a besoin d’une politique industrielle nationale

1 février 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La Suisse a besoin d’une politique industrielle nationale
By Jean-Daniel Delley

Photo Christian Bossert

Le franc fort et ses effets sur l’économie helvétique ravivent les revendications en faveur d’un allégement de la charge fiscale et administrative des entreprises. Comme si, à lui seul, l’effacement de l’Etat représentait le remède miracle. Alors que c’est une véritable politique industrielle dont nous aurions besoin.

Le franc fort ne peut qu’accélérer le phénomène de désindustrialisation en cours. Au cours des soixante dernières années, la part du secteur manufacturier à la valeur ajoutée a chuté de 40 à 20%, et à l’emploi de 50 à 22%.

Le Conseil fédéral et la majorité du Parlement ne semblent pas s’en émouvoir. En 2004, le gouvernement refuse une motion Leutenegger-Oberholzer (PS-BL) demandant l’élaboration d’une politique industrielle. Il est suivi en 2006 par le Conseil national. La garantie de bonnes conditions-cadres – marché du travail flexible, qualité de la formation, fiscalité et charges sociales modérées – suffit à préserver l’attractivité de notre pays. D’ailleurs, remarque le Conseil fédéral, la désindustrialisation se poursuivra, accélérée qu’elle est par la mondialisation. Voilà à quoi se résume la politique industrielle de la Suisse.

En 2011, l’intérêt pour une politique industrielle digne de ce nom déborde les rangs de la gauche. Un postulat Bischof (PDC-SO) s’inquiétant de la préservation du site industriel suisse reçoit le même accueil négatif de la part du Conseil fédéral. Ce dernier réaffirme sa politique de non-intervention dans l’économie et considère que seule la concurrence est à même de sélectionner efficacement les secteurs prometteurs. Le gouvernement ignore bien sûr les exemples de soutien étatique mentionnés par le postulant, tels l’agriculture (subventions), les grandes banques (garantie implicite) et le secteur énergétique (endossement des risques liés à l’énergie nucléaire). Mais cette fois-ci, une majorité parlementaire, probablement impressionnée par toute une série de fermetures d’entreprises, appuie largement le postulat.

L’idée fait son chemin puisque l’année suivante le conseiller national de Buman (PDC-FR) publie un manifeste en faveur d’une politique industrielle. L’élu fribourgeois rappelle que «la force du tissu économique suisse réside dans un réseau de très nombreuses petites et moyennes entreprises (PME)». Si les grandes multinationales peuvent se contenter de bonnes conditions-cadres, tel n’est pas le cas des PME. Aujourd’hui, la délocalisation touche même les entreprises de pointe et la recherche. Si le parlementaire reste un ferme partisan de l’économie de marché, il en appelle à une intervention publique lorsque cette dernière menace les intérêts du pays et le vide sa substance industrielle.

Au-delà des conditions-cadres auxquelles se limite l’ambition du Conseil fédéral, Dominique de Buman propose notamment de soutenir les investissements des PME, trop souvent confrontées à la réticence des banques. L’Allemagne dispose depuis le milieu du siècle passé d’une Banque publique d’investissement qui, apparemment, n’a pas nui à son économie. Pour stimuler l’innovation, il suggère la création de pôles de compétitivité spécifiques réunissant acteurs privés et publiques, aussi bien pour le financement que pour la recherche. La Commission fédérale pour la technologie et l’innovation, avec son budget annuel de 100 millions non intégralement utilisés tant sont complexes ses critères d’attribution, ne fait pas le poids. Pour soutenir les secteurs industriels d’avenir, de Buman ne craint pas la mise en place d’un système d’autorisation pour les investissements étrangers dans les entreprises stratégiques et pour éviter le rachat intempestif de start-ups lorsque leurs innovations deviennent intéressantes pour le marché.

La gauche a ouvert ce débat depuis plusieurs années déjà. En 1992, l’Union syndicale suisse (USS) adopte une résolution pour une politique industrielle, technologique et de la recherche tournée vers l’avenir. Il s’agit de préserver la place industrielle, menacée par la recherche du profit à court terme et le manque d’innovations.

En 2009, Unia esquisse les grandes lignes d’une transformation écologique et sociale de la Suisse qui seule permettra aux entreprises de s’imposer sur les marchés européen et mondial. Au centre de ses revendications, la création d’un fonds en faveur des entreprises actives dans les technologies propres.

Plus récemment, Denknetz, la boîte à idées de la gauche syndicale, a publié une réflexion sur l’évolution de la politique industrielle en Europe depuis 1945. Pour ce qui est de la Suisse, Denknetz observe que la gauche se contente trop souvent de revendiquer une politique qui offrirait aux entreprises helvétiques les mêmes conditions et les mêmes soutiens que leurs concurrentes étrangères; en quelque sorte une perspective étroitement nationale. Or il s’agit de stimuler une profonde transformation de l’économie, à l’interne comme dans ses rapports avec l’extérieur. Une économie fournissant des produits socialement utiles tout en ménageant les ressources naturelles et l’environnement. Et une politique qui vise à terme à équilibrer les échanges avec les pays les moins développés.

Dans l’attente de ce futur coopératif et pacifié, il faudra d’abord briser la résistance du Conseil fédéral et du très libéral Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco). Et faire comprendre que le laissez-aller qu’ils persistent à défendre ne dessine aucun avenir pour la place industrielle helvétique.

Je note :
«Le franc fort et ses effets sur l’économie helvétique ravivent les revendications en faveur d’un allégement de la charge fiscale et administrative des entreprises. Comme si, à lui seul, l’effacement de l’Etat représentait le remède miracle. Alors que c’est une véritable politique industrielle dont nous aurions besoin.

Le franc fort ne peut qu’accélérer le phénomène de désindustrialisation en cours. Au cours des soixante dernières années, la part du secteur manufacturier à la valeur ajoutée a chuté de 40 à 20%, et à l’emploi de 50 à 22%.»

January 31, 2015 at 03:46PM
via Domaine Public http://ift.tt/1z1KYw0

Revue de Presse : Retour sur le New Deal

29 janvier 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Révisant l’histoire du New Deal, Ira Katznelson voit celui-ci comme un moment fondamental de réinvention de la démocratie américaine. En plaçant le Sud et le Congrès au centre de son récit, l’historien américain revoit cette histoire sur laquelle tout semblait avoir été dit.

Je retiens :

«Peut-on encore dire quelque chose de nouveau sur le New Deal ? Posée en introduction de Fear Itself : The New Deal and the Origins of Our Time, la question n’est pas que rhétorique. A la fois politologue et historien réputé, enseignant à l’Université Columbia de New York, Ira Katznelson connaît toute l’étendue de la bibliographie, des dizaines d’ouvrages et des centaines d’articles qui font des années 1930 et 1940 une terre cartographiée avec précision. Au cours des trente dernières années, l’image désormais classique d’un New Deal orchestré depuis la Maison Blanche par Roosevelt et le Brains Trust [1] s’est effacée à la faveur de nouvelles perspectives montrant les mobilisations sociales, les travaux des réseaux réformateurs à partir de l’ère progressiste (1890-1920) les efforts des hommes d’affaires soucieux de rationaliser l’économie américaine ou encore les artistes et auteurs qui façonnèrent la culture de l’époque. Ce faisant, une idée forte s’est imposée. Moins que la cohérence de l’action politique menée par Roosevelt et son efficacité dans le combat contre la crise, c’est la rupture opérée dans l’histoire de la culture politique des États-Unis que l’on souligne désormais : le New Deal fut une période de redéfinition de la liberté américaine, l’État devenant, par son intervention, le garant d’une forme de sécurité économique fondée sur des droits sociaux complétant les droits politiques déjà inscrits dans la constitution.

Ira Katznelson a pourtant réussi le tour de force d’écrire un ouvrage novateur à plus d’un titre. Pour s’en convaincre, il faut toutefois abandonner l’espoir d’y trouver une nouvelle analyse des mécanismes de la crise de 1929, ou encore un nouveau récit de la politique de développement économique que fut la Tennesse Valley Authority. Les quatre élections successives de Roosevelt n’y sont pas mentionnées, pas plus que le célèbre affrontement l’opposant aux juges de la Cour suprême en 1937. Fear Itself rebat néanmoins les cartes du New Deal en proposant une analyse novatrice et stimulante qui place le Sud et le Congrès au centre d’un récit des années 1930 et 1940, construit autour du combat entre la démocratie et le totalitarisme.»

January 29, 2015 at 07:30AM

via La Vie des idées http://ift.tt/1y8f5ya

Mouettes

29 janvier 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

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Mouette sur les quais de Montreux.

Revue de Presse : Le reportage qui a ouvert les yeux des Américains sur l’Holocauste

9 septembre 2014 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le reportage qui a ouvert les yeux des Américains sur l’Holocauste
By Mathieu Dejean

L’extermination systématique des Juifs d’Europe par l’Allemagne nazie a commencé il y a tout soixante-douze ans. Le 22 juillet 1942, un premier convoi partait du ghetto de Varsovie en direction des camps de concentration. On ignore combien de Juifs ont été déportés ce jour-là, mais, six mois plus tard, il n’y avait plus que 50.000 habitants dans le ghetto qui en comptait 550.000 à l’origine.
Le 22 décembre 1942, The New Republic publiait un reportage de Varian Fry sur les camps de la mort, qui dévoilait l’Holocauste aux yeux de l’Occident et que le journal a ressorti en juillet 2014 de ses archives. Intitulé «Le massacre des Juifs», l’article expose minutieusement les horreurs perpétrées contre les Juifs d’Europe, et accuse le pouvoir nazi, Adolf Hitler et Joseph Goebbels. Le récit a clairement vocation à sensibiliser l’opinion publique américaine sur le sort des Juifs en Europe, en rapportant «la plus effroyable image de crime de masse dans toute l’histoire de l’humanité».
Les premières lignes de son reportage en témoignent:

«Il y a des choses si horribles que les hommes et les femmes honnêtes les trouvent impossible à croire, si monstrueuses que le monde civilisé recule, incrédule, devant elles. Les récentes informations sur l’extermination systématique des Juifs dans l’Europe nazie sont de cet ordre.»

Dans son passage le plus accablant, le reportage de Varian Fry décrit les méthodes de torture et de meurtre utilisées …


La suite sur Slate.fr http://ift.tt/1z0QXPP

Revue de Presse : BMW R1200 RT – Un essai qui nous mènerait au bout du monde

20 août 2014 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

BMW R1200 RT - Un essai qui nous mènerait au bout du monde
Quand on peut se targuer d’être une référence, oser la nouveauté en passant par l’évolution est délicat. Les esthètes, les conservateurs et les puristes attendent au contour avec la ferme intention de trouver à redire. C’est dans ce climat que BMW Motorrad propose sa nouvelle R1200 RT.

via AcidMoto.ch » Essai http://ift.tt/1sUsV97

Revue de Presse : Yamaha MT-09 Street Tracker

14 juin 2014 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Yamaha MT-09 Street Tracker - L'univers du dirt track est à l'honneur !
Le 11 juin 2013, Yamaha surprenait le milieu moto en dévoilant la MT-09, roadster sportif aux lignes minimalistes. En ce mois de juin, Yamaha décline la MT-09 dans cette intéressante version Street Tracker. Les constructeurs motos se lâchent et sortent de la sinistrose…

Pour en savoir plus : AcidMoto.ch http://ift.tt/1l1R5dW

Revue de Presse : The media industry’s 2nd Apocalypse: The rapid rise of mobile | ZDNet

10 juin 2014 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

The low revenues of mobile advertising is killing digital media companies — even Google is struggling as it pulls more than a thousand engineers off other projects.

Je retiens : «Apps won’t save journalism. It is innovation in the business model that’s needed. A new way of presenting the work of journalists is useless without the means of generating funding for that work. If ads can’t fund journalism on mobile then is there another way?

Journalism is losing its desktop ads revenues in the shift to mobile — it was lousy revenues — and now they are even worse. »

via http://ift.tt/1n2tcjv

Revue de Presse : «Internet oblige le prof à remettre de l’ordre dans du désordre» | Libération

10 juin 2014 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Les cours en ligne ne signent pas la mort de l’enseignant, affirme le philosophe Marcel Gauchet. L’accès à des sources de savoir multiples accentue au contraire le besoin de médiation.

Extrait de l’interview :

« Question : Peut-on continuer à enseigner aujourd’hui comme hier ?
Sûrement pas. Contrairement à ce que l’on dit souvent, l’école est une institution qui a un facteur de changement en son sein : les élèves. Le mythe de l’école à l’abri de la société, fonctionnant comme un temple ou une caserne, est une pure fiction. Cela n’a jamais été. Les enseignants, qui ne sont pas des brutes insensibles, s’adaptent aux élèves et aux influences de la société qu’ils incarnent.
Indépendamment des directives venues d’en haut, ce sont eux qui sont à la manœuvre. Chacun trouve des façons de capter la culture des élèves pour l’enrichir, l’infléchir, s’y appuyer pour permettre des acquisitions d’une autre nature. Il ne faut pas l’oublier : la base de l’enseignement, c’est la conversation. Une conversation très particulière, parce qu’elle n’est pas gratuite et qu’elle doit mener quelque part. Globalement, le changement technique est tel qu’il affecte le fonctionnement social de tous les jours. Il est inévitable qu’il touche aussi l’école et qu’il la transforme profondément. »

Lu le Juin 9, 2014 à 4:30PM via http://ift.tt/1n2teb4

Revue de Presse : Les usages numériques des moins de 20 ans | Enseigner avec le numérique

9 juin 2014 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Les usages numériques des moins de 20 ans — Enseigner avec le numérique — Éduscol numérique
By eduscol.education.fr

L’institut Ipsos a mené, auprès d’enfants âgés de moins de vingt ans, une enquête sur la digitalisation croissante de la société française (équipement en tablettes, démultiplication des écrans, usages de l’Internet) sous la forme d’entretiens (4 000 interviews) de juin à novembre 2013.

Je note : « Les résultats de cette étude révèle un accroissement des équipements en terminaux connectés : près d’un foyer avec enfants sur deux (46%) dispose désormais en 2013 d’une tablette (contre seulement 22% en 2012). L’équipement individuel des jeunes augmente également de manière conséquente : un adolescent sur cinq utilise désormais une tablette pour son usage personnel. Ce constat s’inscrit dans une tendance plus vaste de démultiplication des écrans (ordinateur, console de jeu, smartphone, télévision). En outre, 9 adolescents sur 10 utilisent des applications mobiles pour profiter, entre autres services, de la communication sociale et des loisirs en ligne (réseaux sociaux, musique & radio, messagerie instantanée, jeux en ligne, vidéos, achats en ligne, téléphonie mais aussi informations pratiques et scolaires), tandis que les 7/12 ans privilégient le divertissement (jeux en ligne, vidéos, musique & radio). »

May 21, 2014 at 7:55PM
via All News on ‘The Twitter Times: lyonelkaufmann’ http://ift.tt/1m5Yves

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