
Samedi matin, c’est le pied #weekend #maison #nepasseprendrelatete

En nommant un homme teinté de suspicions de haine raciale au poste de conseiller en chef de la Maison-Blanche, Donald Trump commence à confirmer la crainte qu’il fera une place belle à l’extrême-droite.
L’histoire est perverse: elle ressert les vieux plats, mais nappés d’une nouvelle sauce. Le « Nationalisme blanc » est en train de surgir, évoqué par le New York Times, The Huffington Post, CNN, The Nation, même Fox.
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Chers amis, chères amies,
Je suis désolé d’être le porteur de mauvaises nouvelles, mais je crois avoir été assez clair l’été dernier lorsque j’ai affirmé que Donald Trump serait le candidat républicain à la présidence des États-Unis. Cette fois, j’ai des nouvelles encore pires à vous annoncer: Donald J. Trump va remporter l’élection du mois de novembre.
Ce clown à temps partiel et sociopathe à temps plein va devenir notre prochain président. Le président Trump. Allez, dites-le tous en chœur, car il faudra bien vous y habituer au cours des quatre prochaines années: « PRÉSIDENT TRUMP! »
Jamais de toute ma vie n’ai-je autant voulu me tromper.
Lire la suite de la tribune de Michael Moore http://www.huffingtonpost.fr/michael-moore/cinq-raisons-pour-lesquelles-trump-va-gagner/
Note : Ce billet a d’abord été publié au Journal de Québec et au Journal de Montréal dans la section blogue. Trois visions différentes de l’éducation en provenance de trois espaces francophones souvent confrontés aux mêmes défis.
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En 1976-77, avant d’être un peu secoué par le bruit que faisait dehors des jeunes de mon âge, et en même temps que ce bain de furie, j’avais mes morts. Ils habitaient ma chambre avec une assiduité presque silencieuse et charriaient mille tempêtes. On ne leur brûlait pas des cierges, on s’infusait leurs cires, au casque par nécessité souvent. Tim Buckley était de la bande, le plus beau ? Ce visage un peu douloureux gravé sur le fond sang de Happy Sad, cousin du Van Morrison tête baissée d’Astral Weeks (vivant, lui), j’en scrutais la mélancolie déjà connue par cœur (j’avais vingt ans). La chose entrait chez vous pieds nus, au pas feutré d’un vibraphone. Strange feeling installait calmement le décor, peu de meubles, annonçait la couleur, plutôt bleue.
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Nick Drake Five Leaves Left.
Tout l’album coule d’une seule source, claire et pleine de reflets obscurs (ou l’inverse), chaude et rafraîchissante. C’est un arrachement que d’en extraire telle ou telle chanson. Fruit Tree, on le regarde assis sous l’arbre philosophal, une pomme d’or pourrie va-t-elle lui tomber dessus ? C’est la gloire qu’il n’aura jamais de son vivant. Par chance, elle tient encore à la branche et si l’émerveillement d’être au monde a son revers de douleur, on peut encore l’appeler patience. En 1969, tout est ouvert à un newcomer aussi doué que l’est évidemment Nick Drake. Ni l’ambition, ni la fatalité de la chute, ne se lisent encore dans ces traces laissées comme en passant, et qui durent, durent, n’en finissent pas de durer.
En découvrant cet album, je ne peux m’empêcher d’entendre John Martin. Belle découverte, grâce à François Gorin. Merci à lui.
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