
Le séjour dans la cité des Doges prend fin en ce sixième jour.
Le dernier jour d’un séjour dans une ville est toujours un peu particulier. Après l’heure du déjeuner, il est temps de faire sa valise et de rendre la chambre. Entre l’heure de reddition de la chambre et le départ du train (ou de l’avion), on flâne une dernière fois dans les rues, une petite horloge dans la tête.
On aurait bien apprécié un peu de soleil pour lézarder sur une terrasse, mais c’est râpé.
Nous nous décidons pour aller en direction du Rialto. Juste après, il y a, au bord du Grand Canal, un fameux marché, notamment achalandé de poissons.
Puis nous nous optons pour tenter de sortir des sentiers balisés. La partie entre le Rialto et la gare ferroviaire offre quelques variations intéressantes. Les quartiers proches des gares sont rarement glamour (une petite exception pour Cologne cependant et spontanément).
On trouve aussi des cours étonnantes avec même un peu de verdure. C’est une forme particulière de romantisme (décadent?).
Du côté de S. Croce, nous trouvons aussi une chouette petite rue où nous nous arrêtons pour boire un cappuccino.
Nous reprenons ensuite le Vaporetto pour redescendre du côté de la place San Marco.
Nous terminons ainsi par le parcours traditionnel du touriste à Venise. Il n’en demeure pas moins que chaque descente du canal permet de revisiter la cité. Il y a là un charme indéniable et toujours renouvelé.
Arrive à la place San Marco, nous dénichons un dernier resto pour nous sustenter un peu à l’écart de la grande masse.
Le dernier plat de pâtes avalé, nous partons chercher nos bagages à l’hôtel. Notre dernier Vaporetto nous amène à la gare.
Ciao Venezia.
J’archive ce reportage.