En cette fin janvier et échéance du Brexit pour les Britanniques, nous voici en route pour un week-end à Londres.
Nous arrivons tout en douceur à l’aéroport vers 13h30. Pas de stress. Et c’est pas la foule au passage des contrôles. Cela rend les choses agréables. Nous sommes déjà en week-end. De plus, notre avion décollera vers 16h00. Ça change de mon dernier vol vers Bruxelles.
Contrairement à ce que laissait entendre les prévisions météos, le ciel a arraché les nuages et le ciel est bleu au moment du décollage. Nous volons dans le soleil. Éblouissant.
Dans l’avion, j’en profite pour débuter la lecture de « Je reste ici » de Marco Balzano.
L’arrivée à Londres se déroule dans un climat différent. Le ciel est gris. Il pleut légèrement par intermittence. Et à 17h15, nous sommes plongés à la fois dans le métro et dans la nuit que nous ne quitterons pas.
L’expérience du métro londonien entre 17h00 et 18h10 pour se rendre au centre-ville est une expérience particulière. Elle le sera plus particulièrement durant le court trajet (trois arrêts) sur la ligne du Jubile. Le qualificatif de boîte de sardines est le terme approprié en l’occurrence. Comme on dit : « ça c’est fait! ».
En soirée, nous sortons manger un très bon burger près de l’hôtel, puis nous rejoignons la Tamise au Blackfriars Bridge pour la longer en direction du London Bridge.
Cette sortie nocturne me fournit une belle occasion de tester un nouveau bijou d’appareil photographique, un Sony Alpha 7, premier du nom, et son objectif fixe Zeiss FE 35mm 2,8.
Je fais des essais pour capter les couleurs nocturnes de cette ville. Je suis satisfais des résultats de ce Londres nocturne tout en couleur.
Dans tous les cas, le résultat correspond à mes intentions.
Nous profitons ainsi du spectacle de cette ville la nuit. Splendide.
Nous rentrons ensuite à l’hôtel. Fin de la diffusion.
Photos : Sony Alpha 7 + Zeiss FE 35mm 2,8 (sauf la première prise dans l’avion avec mon iPhone 8).
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