Depuis 2004, des chercheurs ont sondé les jeunes Québécois au sujet de la Révolution tranquille. Leurs études sont disponibles sous forme de mémoire de maîtrise ou d’articles scientifiques. Coup sur coup, ces études illustrent que les jeunes ont une ignorance pleine plutôt que vide de la Révolution tranquille. Ils possèdent plutôt une vision d’ensemble de la Révolution tranquille. Entre 2004 et 2012, pas moins de cinq études, menées par des chercheurs distincts, arrivent à ces mêmes conclusions. L’article en présente trois exemples.
Revue de presse : La motivation des enseignants pour les TIC | Éduscol numérique
Une étude suisse effectue une analyse de « l’évolution des attitudes des enseignants vis-à-vis de l’intégration des TICE » dans le canton de Fribourg. Les résultats des recherches montrent une augmentation du sentiment de compétence technique chez les professeurs, une perception plus positive des technologies de l’information et de la communication ainsi qu’une diminution globale des écarts en termes de génération et de genre. Les éléments de cette étude pourront aider à éclairer l’analyse de la motivation des enseignants français pour les TIC.
La motivation des enseignants pour les TIC | Éduscol numérique
Revue de presse : La motivation des enseignants pour les TIC | Éduscol numérique
Une étude suisse effectue une analyse de « l’évolution des attitudes des enseignants vis-à-vis de l’intégration des TICE » dans le canton de Fribourg. Les résultats des recherches montrent une augmentation du sentiment de compétence technique chez les professeurs, une perception plus positive des technologies de l’information et de la communication ainsi qu’une diminution globale des écarts en termes de génération et de genre. Les éléments de cette étude pourront aider à éclairer l’analyse de la motivation des enseignants français pour les TIC.
La motivation des enseignants pour les TIC | Éduscol numérique
Col de Jaman | Photos du jour
Aujourd’hui, j’ai profité de la fin de journée ensoleillée pour, après ma journée, me rendre au Col de Jaman et admirer le paysage.
En prenant un peu de hauteur, j’admire le col et les Alpes fribourgeoises au fond.
De l’autre côté, je peux admirer la vue sur Montreux, la Riviera et le lac Léman.
Une belle manière de terminer sa journée avant de rentrer à la maison.
#Ludovia2013 : mon voyage retour
Le retour de Ludovia à moto m’a permis tout en appréciant la route et les paysages d’avoir le temps de faire défiler dans sa tête les images, sons et impressions de cette 10e édition de Ludovia (lire Mon bilan de #Ludovia2013). Je vous présente les images du voyage de retour en guise de clôture à cette édition 2013.
Jeudi 29 août, le barcamp de synthèse terminé, il est temps pour moi de prendre congé d’Eric, Aurélie et Laurence, les chevilles plus qu’ouvrière de Ludovia. Merci à eux pour leur énergie sans faille et leur bonne humeur constante malgré la fatigue. Je prends aussi congé de mes partenaires et amis blogueurs de Ludovia ainsi que de Pascal et Virginie. Puis, je prends la route. Il est prêt de 13h00. L’objectif de cette première demi-journée consiste à s’approcher au plus près d’Alès. Pour ce faire, je démarre de suite avec le col de Chioula, puis je rejoins les routes des chemins cathares, proches du château de Quéribus pour rejoindre Narbonne, puis Bézier. Ensuite, le Massif central me tendra les bras depuis Lodève et les Grandes Causses en passant à proximité du Cirque de Navacelles.

A Ganges, je laisse la Grotte des Demoiselles pour rejoindre Alès où je passerai comme envisagé la nuit.

Vendredi 30 août, il est 10 heures lorsque je quitte Alès en direction d’Aubenas. Je me laisse dévier de mon programme initial pour emprunter les Gorges de l’Ardèche et rejoindre ensuite Bolène et la Drôme par la vallée de l’Eygues.

Je poursuis en direction de Gap pour rejoindre ensuite les Alpes en prenant le col de Festre, massif du Dévoluy.

Laissant Bourg-d’Oisan sur ma droite, j’emprunte ensuite le col du Glandon.

Il me faut ensuite rejoindre Albertville, Mégève, puis Chamonix avant de rejoindre la Suisse et Martigny par le col des Montets, les gorges du Trient et le col de la Forclaz.

Mon album photo de cette édition de Ludovia : http://lyonelk.smugmug.com/Travel/Ludovia-2013
#Ludovia2013 : mon voyage retour
Le retour de Ludovia à moto m’a permis tout en appréciant la route et les paysages d’avoir le temps de faire défiler dans sa tête les images, sons et impressions de cette 10e édition de Ludovia (lire Mon bilan de #Ludovia2013). Je vous présente les images du voyage de retour en guise de clôture à cette édition 2013.
Jeudi 29 août, le barcamp de synthèse terminé, il est temps pour moi de prendre congé d’Eric, Aurélie et Laurence, les chevilles plus qu’ouvrière de Ludovia. Merci à eux pour leur énergie sans faille et leur bonne humeur constante malgré la fatigue. Je prends aussi congé de mes partenaires et amis blogueurs de Ludovia ainsi que de Pascal et Virginie. Puis, je prends la route. Il est prêt de 13h00. L’objectif de cette première demi-journée consiste à s’approcher au plus près d’Alès. Pour ce faire, je démarre de suite avec le col de Chioula, puis je rejoins les routes des chemins cathares, proches du château de Quéribus pour rejoindre Narbonne, puis Bézier. Ensuite, le Massif central me tendra les bras depuis Lodève et les Grandes Causses en passant à proximité du Cirque de Navacelles.

A Ganges, je laisse la Grotte des Demoiselles pour rejoindre Alès où je passerai comme envisagé la nuit.

Vendredi 30 août, il est 10 heures lorsque je quitte Alès en direction d’Aubenas. Je me laisse dévier de mon programme initial pour emprunter les Gorges de l’Ardèche et rejoindre ensuite Bolène et la Drôme par la vallée de l’Eygues.

Je poursuis en direction de Gap pour rejoindre ensuite les Alpes en prenant le col de Festre, massif du Dévoluy.

Laissant Bourg-d’Oisan sur ma droite, j’emprunte ensuite le col du Glandon.

Il me faut ensuite rejoindre Albertville, Mégève, puis Chamonix avant de rejoindre la Suisse et Martigny par le col des Montets, les gorges du Trient et le col de la Forclaz.

Mon album photo de cette édition de Ludovia : http://lyonelk.smugmug.com/Travel/Ludovia-2013
Mon bilan de #Ludovia2013
Ma deuxième participation en 2013 à Ax-les-Thermes après 2010 me permet de porter un regard comparatif sur ces deux éditions.
Au moment de faire le bilan, Eric Fourcaud indiquait 700 participants à Ax-les-Thermes et un nombre comparable en ligne. A ce rythme, la participation online pourrait être supérieure à celle sur place. C’est le signe évident d’un succès de la manifestation et de la stratégie mise en place depuis 2010 avec les blogueurs invités à faire vivre Ludovia sur internet et les différents outils (podcasts et WebTV en streaming). Cette forte participation en ligne est une bonne chose puisqu’Ax-les-Thermes offre, pour l’instant, des possibilités d’hébergement limitées. Néanmoins le prochain cap sera celui des 1’000 participants sur place. Or, en 2010, on ne comptait que 250 participants… une année morose qui paraît révolue.
Comparativement à 2010, cette augmentation de la participation était très sensible à tous les événements de Ludovia des table-rondes et conférences plénière aux ExplorCamps. Seul le colloque scientifique paraît ne pas connaître une augmentation comparable. Par contre, le nombre de contributions est plus important qu’en 2010.
A côté du Ludovia officiel, des initiatives comme la WebTV tendent à créer un Ludovia «off» à l’image du Montreux Jazz tout en ménageant les partenaires officiels du «in».
L’attrait de Ludovia réside et reste dans la diversité des publics présents : membres ou offices du ministère de l’éducation, représentants des collectivités locales, éditeurs/producteurs de contenus éducatifs, enseignants et futurs enseignants, universitaires, chercheurs et geeks. Ils ont ainsi l’occasion d’échanger et d’un peu mieux se comprendre sur leurs attentes de l’éducation du/au/par le numérique. Ce dialogue est facilité par le code vestimentaire décontracté préconisé par les organisateurs. Le short et les sandales en font partie… en cas de soleil et de chaleur (trop absents cette année à mon goût).
Au côté de l’augmentation de la participation, l’augmentation des démarches entreprises par les collectivités locales m’impressionne. Le nombre de chargés de mission ou d’intégration du numérique en atteste. En trois ans, le nombre de retours d’expérimentation augmente aussi. Je note aussi qu’il ne s’agit plus seulement d’investir dans tel ou tel outil numérique, mais que les collectivités locales fixent désormais des objectifs mesurables à leurs démarches. Le chemin sera encore long, mais un effet de halo peut être espéré et les désabusements de 2010 à la suite des résultats du projet «un ordinateur pour tous» des Landes sont derrière. L’outil passe aussi au deuxième plan par rapport aux projets pédagogiques et aux effets attendus. On parle projets, collaboration ou changements.

La mutliplication des outils utilisés par les participants m’a aussi frappé comparativement à 2010. Ceux-ci déambulaient avec deux ou trois dispositifs numériques entre smartphone, ordinateur et tablette. Les participants tweetaient avec leur smartphone et prenaient des notes avec leur ordinateur ou leur tablette. Dans les ExplorCamps, les animateurs jonglaient régulièrement avec les trois. D’une ou deux tablettes en 2010, celles-ci dominaient en 2013 en termes de présence sous toutes leurs tailles et la diversité des systèmes d’exploitation. La tablette est devenue un outil professionnel. Le web 2.0 et l’html5 permettent de s’affranchir de la question du système d’exploitation de nos machines. Cette même diversité d’outils doit se retrouver entre les mains de nos élèves et permettre de nous concentrer sur les usages et les démarches pédagogiques. Le changement véritable est à ce prix.
Au final, cette édition de Ludovia a été une réussite. La morosité perceptible au terme de l’édition de 2010 fait partie désormais du passé.
Comment Isaac Asimov voyait 2014 en 1964 | Framablog
En 1964, le célèbre écrivain de science-fiction Isaac Asimov visitait l’Exposition Universelle de New York. Il se mit alors à imaginer, dans l’article traduit ci-dessous, ce qu’il pourrait bien advenir dans 50 ans, c’est-à-dire en 2014. Force est de constater que bon nombre de ses hypothèses étaient prémonitoires…

Crédit photo : Abode of Chaos (Creative Commons By)
À lire : Comment Isaac Asimov voyait 2014 en 1964 – Framablog.
#Ludovia2013 : ma journée du mercredi 28 août
Journée studieuse pour votre serviteur en ce mercredi 28 août. En effet, j’étais chargé de deux compte-rendus de table-ronde à publier sur le site de Ludovia. Celle du matin et celle de l’après-midi. Donc à chaque fois, prise de notes, puis discussion avec ma co-rapportrice, Stéphanie de Vanssay le matin et Laurence Juin l’après-midi. Heureusement, la fin de journée m’a permis de gagner une boîte de sirop d’érable et de manger le soir avec les blogueurs ludoviens.
La table-ronde du matin était consacrée a cet outil qu’est l’ENT (espace numérique de travail) et qui fait l’objet souvent à Ludovia de débats enflammés entre les autorités politiques qui les installent et les geeks ludoviens. Rien de tout cela cette année, les geeks ont ignoré superbement cette table-ronde au profit de la web-tv nouvellement instaurée cette année à Ludovia.
En 2013, le thème était «Environnement Numérique de Travail et d’apprentissage à distance, entre promesses pédagogique et imaginaires technologiques» et les participants étaient Isabelle Marx (Délégation Wallonie), Benjamin Viaud Beneylu (School ATOS), Roger Masson (Région Rhône-Alpes), Marie Deroide (DGESCO), Jean-Marie Clerc (CNED) avec Dorothée Danielewski (DGESCO) comme modératrice.

Les participants à la table-ronde avec de gauche à droite : I. Marx, B. Viaud, M. Deroide, J.-M. Clerc, R. Masson et D. Danielewski
La présence d’Isabelle Marx de la Wallonie, présentant une autre conception dans l’implantation dans un établissement d’un ENT, et celle de Benjamin Viaud, qui développe des ENT au primaire, donnaient un peu de fraîcheur au sujet et surtout des ouverture sur d’autres possibles pour l’ENT au secondaire français. Au terme de notre synthèse, Stéphanie et votre serviteur avons donné l’avis suivant :
La table-ronde a mis en évidence, d’un côté, la mise en place au secondaire d’ENT répondant d’abord à des besoins institutionnels et administratifs (gestion des notes, des absences, etc.) et, d’un autre côté, au primaire, la mise en place d’ENT répondant aux besoins pédagogiques des enseignants. Peut-on faire de l’ENT un mouton à 5 pattes qui serait LA solution unique à la gestion et la pédagogie de l’école, soit un objet total ? Nous en doutons… ne risque-t-il pas d’être plutôt un frein et un facteur d’enfermement.
Ne faudrait-il pas changer de tactique/inverser la tendance en partant des demandes des équipes enseignantes comme en Wallonie, pour une démarche plus porteuse favorisant l’adoption de l’environnement et les pratiques collaboratives ?
Enfin on peut à nouveau regretter l’absence d’usagers et de chercheurs à la table-ronde, qui auraient pu apporter des témoignages et des observations sur les usages effectifs des ENT.
Le compte-rendu fait et transmis, il était temps d’aller manger… pour au retour se préparer à la deuxième table-ronde de la journée.
Cette fois-ci, le sujet était «La classe est-elle plus mobile avec le numérique ?» avec André Delacharlerie (Délégation Wallonie), Jean-Loup Burtin (Directeur de la société FORMATICE pour BIC Education), Marie-Noëlle Martinez (chercheur AC Toulouse), Michèle Monteils (DGESCO) et Jean-Paul Moiraud avec Corinne Martignoni (DGESCO) comme modératrice.

C. Martignoni, M. Monteils, J.-P. Moiraud, A. Delacharlerie et J.L. Burtin écoutent (ou pas…) M.-N. Martinez
Contrairement au matin, les retours d’expérimentation d’outil numérique mobile par M.-N. Martinez et M. Monteils donnaient à voir concrètement sur l’utilisation du numérique par les élèves et leurs professeurs.
Au niveau de la réalisation de cette synthèse, nous avons opté Laurence et moi pour travailler «en live» avec un document Google Drive. C’était une première pour nous deux et cela était assez fascinant à faire et à voir. Impressionnante prouesse technologique qui fait qu’un texte se construit simultanément par deux personnes sans jamais rencontrer un seul problème technique. Dans tous les cas, nous avons gagné un précieux temps à l’issue de la table-ronde pour finaliser notre synthèse et l’envoyer aux organisateurs. Le temps ainsi récupéré m’a permis de rédiger mon article Ebauche de sémantique historique : les mots de #Ludovia2013 et de prendre un peu de temps pour moi juste avant de gagner, grâce à Christelle Lison, ma boîte de sirop d’érable.
Conférence européenne sur les MOOC en février 2014 @Lausanne
Du 10 au 12 février 2014 se tiendra à Lausanne la première conférence européenne sur les MOOCs. Cette conférence comporte 4 axes : politique, retours d’expérience, recherche, économique. On y trouvera certainement tous les acteurs européens.
Sourçe de l’info : Conférence européenne sur les MOOC en février 2014 | Techniques innovantes pour lenseignement supérieur.










