Comme un dimanche à Aigle:
• visite de l’exposition « Le Premier homme », dernier jour, de @tomasz_fall a l’espace de Graffenried,
• balade dans les vignes
• repas à la Pizzeria des Alpes
#suisse🇨🇭 #vaud #aigle #commeundimanche #dessin

Comme un dimanche à Aigle:
• visite de l’exposition « Le Premier homme », dernier jour, de @tomasz_fall a l’espace de Graffenried,
• balade dans les vignes
• repas à la Pizzeria des Alpes
#suisse🇨🇭 #vaud #aigle #commeundimanche #dessin
https://www.instagram.com/p/CaxrMOCOlA8/
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Son fil Twitter ressemble à la maison des horreurs. Littéralement. “Photos de chambres d’enfants grouillant de cafards, liste The Sunday Times, de portes d’entrée tellement gonflées qu’elles s’ouvrent à peine, de fuites si importantes qu’il pleut à l’intérieur, de moisissures tellement prospères qu’elles se sont transformées en colonies de champignons, et témoignages de locataires vivant dans des conditions tellement infectes qu’ils ont développé un trouble de stress post-traumatique.”
En quelques mois, le Britannique Kwajo Tweneboa s’est transformé, à 23 ans, “en pire cauchemar des bailleurs sociaux”, note l’hebdomadaire conservateur. “Pendant que ses camarades de l’université de Leicester étudient toute la nuit, lui effectue des allers-retours avec sa ville d’origine, Londres [à environ 150 kilomètres plus au sud], où il documente les conditions de vie dans des logements sociaux en piteux état.” Avant de tweeter son indignation, “interpellant” au passage les propriétaires des murs sur son compte @KwajoHousing. Et ça marche. “Une vidéo qu’il a tournée dans un appartement infesté de cafards à Lewisham, dans le sud de Londres, a été vue 1 million de fois en vingt-quatre heures, souligne The Sunday Times. Tweneboa a envoyé un mail au directeur général du bailleur de la famille. Une heure plus tard, elle était relogée de façon permanente.”
Source : Kwajo Tweneboa, cauchemar des bailleurs sociaux britanniques
Le Palais fédéral n’aura bientôt plus tout a fait le même visage. Laissé libre provisoirement depuis 120 ans, le « tympan », soit le sommet de la façade principale, sera recouvert d’une mosaïque en hommage à la Neuchâteloise Tilo Frey (1923-2008), une des douze premières femmes, et la première femme de couleur, élues au Conseil national.
Les travaux pourront débuter dès ce printemps et le résultat sera dévoilé dans le cadre des 175 ans de la Constitution fédérale, en 2023.
Source : Le fronton du Palais fédéral aura un visage avec un hommage à Tilo Frey
Celui dont la filmographie cumule près de 21 millions d’entrées au box-office tricolore raconte le parcours du combattant qu’a été la sortie de « BigBug », une comédie dystopique sur fond de guerre entre humains et robots, avec Elsa Zylberstein, Isabelle Nanty et Dominique Pinon (deux de ses acteurs fétiches).
« Concrètement, personne n’en a voulu en France. J’ai entendu les mêmes mots, les mêmes phrases que pour ‘Delicatessen’ (ndlr: 1991, son premier long métrage) et pour ‘Amélie’: c’est trop bizarre, trop décalé. Donc trop risqué », affirme-t-il.
Alors que le projet s’apprête à tomber à l’eau, le réalisateur de 68 ans reçoit un coup de fil du géant américain du streaming: « ils ont dit oui au projet en 24 heures. Merci Netflix! », dit-il.

En faisant dialoguer réel et fiction, le photographe Tomasz Fall propose une réflexion sur la condition de l’être humain lorsqu’il est astreint par le travail. L’exposition est à voir à l’espace Graffenried à Aigle.

Lorsque Thomasz Fall était enfant, ses parents travaillaient énormément. « Nous (ndlr: lui et ses frères) les voyions très peu, ils étaient tout le temps au travail, se souvient-il. La famille en a beaucoup souffert ». Aujourd’hui à la retraite, ses parents parviennent enfin à se détacher du travail, chose impensable durant leur vie active.
De son côté, Tomasz Fall est enseignant et artiste, ce qui lui permet un rapport au temps et à la productivité très différent. « Ce luxe, je le dois à mes parents. Si j’ai pu étudier et faire des choix, c’est grâce à eux et à leurs sacrifices ».
— À lire sur www.rts.ch/
ME-VE 10H-12H/13H30-17H SA-DI 10H-12H/13H30-16H ENTRÉE LIBRE
ESPACE GRAFFENRIED, ANCIENNE MAISON DE VILLE PLACE DU MARCHÉ 2, 1860 AIGLE
2021, marque un tournant au Québec dans la place accordée au Manga. Plus tard qu’en France ou en Suisse, la manga mania a touché la Belle Province en 2021. Le Devoir y consacre un article pour en comprendre les raisons.

Le tournant ? « L’intérêt aux États-Unis, indique Mme Jean-Louis, où on s’intéresse avant cela assez peu aux mangas, par un genre de protectionnisme pour les comics américains. C’est par l’augmentation des ventes de mangas anglophones qu’on a vu la tendance arriver », et ce, même si le marché francophone, par la France, est mieux développé, et depuis plus longtemps. Chez Renaud-Bray/Archambault, c’est l’engouement en France et la création de séries Netflix qui ont signalé la tendance. « On s’est mis à acheter des collections complètes, qu’on a mises en magasin. Ça s’est vendu », explique la directrice des communications, Floriane Claveau.
Source : 2021, l’année de la mangamania au Québec | Le Devoir
Omicron pousse les hôpitaux à leurs limites, mais le système médical a toujours une responsabilité éthique envers tous les patients, quels que soient les choix qu’ils font. Dans un récent article The Atlantis explique pourquoi l’idée qui consisterait à ne pas soigné les non-vaccinés est terrible et est contraire à tous les principes médicaux. Extrait traduit.
Contrairement aux mandats de vaccination, qui limitent les emplois que les personnes non vaccinées peuvent occuper ou les espaces dans lesquels elles peuvent entrer, refuser des soins médicaux serait une question de vie ou de mort. Et dans de tels domaines, les soins médicaux devraient être offerts en fonction de l’urgence des besoins d’un patient, et non des circonstances menant à ce besoin. Les personnes dont les actions se mettent en danger, comme les fumeurs atteints d’un cancer du poumon ou les cyclistes qui tombent sans casque, sont toujours traitées. Ceux dont les actions ont mis en danger les autres, comme les conducteurs ivres ou les terroristes, sont également traités. « Nous sommes tous pécheurs », m’a dit Carla Keirns, professeure d’éthique médicale et de médecine palliative au Centre médical de l’Université du Kansas. « Personne n’a pris toutes les décisions parfaites, et aucun d’entre nous pourrait se retrouver dans une situation où nous sommes malades. » C’est un principe fondamental de la médecine moderne que « tout le monde a un droit égal à soulager de la souffrance, peu importe ce qu’il a fait ou n’a pas fait », m’a dit Daniel Goldberg, historien médical et éthicien de la santé publique à l’Université du Colorado.
Comme le montrent les exemples historiques, les personnes les plus privilégiées en bénéficient généralement lorsque les soins sont alloués. Dans les années 1960, alors que les appareils de dialyse étaient encore rares, un groupe de sept profanes a été chargé de décider quels patients devraient recevoir le traitement de sauvetage. Parmi des facteurs tels que l’âge, le sexe, l’état matrimonial, la richesse et l’éducation, le soi-disant Comité Dieu a également examiné quelles personnes avaient « le plus grand potentiel de service à la société » et étaient « actives dans le travail religieux ». Sans surprise, comme l’ont montré des analyses ultérieures, le comité a favorisé les hommes blancs d’âge moyen de la classe moyenne. « Quand il est devenu public, les Américains étaient indignés », m’a dit Keirns. « Ils ont reconnu que lorsque vous essayez de faire des distinctions morales, vous finissez par tenir contre les gens des circonstances indépendantes de leur volonté. »
Source : www.theatlantic.com/health/archive/2022/01/unvaccinated-medical-care-hospitals-omicron/621299/

Voyager en cette fin d’année 2021 est une expérience des plus particulières. Les repères et les certitudes sont absentes. Il faut être capable de faire abstraction du contexte et, en quelque sorte, être prêt à s’en détacher pour partir. L’adaptabilité est la clé chaque jour. Nous en vivons concrètement l’expérience depuis un mois environ et particulièrement ces derniers jours.
Tous devient/est une aventure, comme Ichty Boots la vit en sur sa moto et son voyage actuel vers l’Alaska :
Si nous ne sommes pas à moto en Équateur, nous n’en demeurons pas moins, à notre échelle, des aventuriers, made in 2021.
Ainsi, pour décoller demain pour Montréal, puis rejoindre notre fils à Québec, nous avons dû faire un test PCR dimanche dernier. En raison de l’arrivée du variant Omicron, les centres de test fonctionnent à plein régime. Impossible de prendre facilement rendez-vous. Mais pas seulement, puisque les résultats des tests peuvent prendre plus de temps jusqu’à 48 heures. Heureusement, nous avions pris rendez-vous à l’avance, il y a environ deux semaines et demie. Bien vu en l’occurrence.
Tous les jours, nous suivons les différents canaux de nouvelles pour être au courant des derniers développements de la pandémie et surtout des directives qui peuvent aller avec. Aujourd’hui encore, devant la progression du variant Omicron, le gouvernement du Québec tenait une conférence de presse à 13h00, heure locale, c’est-à-dire 19h00 en Suisse soit une douzaine d’heures avant de nous rendre à l’aéroport. Couvre-feu ou pas couvre-feu telle était, pour nous, la principale question du jour. Finalement, la réponse est non.
Précédemment, nous avons pris connaissance des conditions d’entrée. Non seulement, nous avons dû faire un test 72 heures avant le décollage, mais nous avons appris que nous devrons faire à un test à l’arrivée. Préalablement, nous avons dû nous inscrire pour pouvoir le passer à l’aéroport ou recevoir une trousse pour faire le test dans les 1 à 8 jours après notre arrivée. Nous avons dû aussi remplir un questionnaire d’arrivée auprès du gouvernement canadien via une App et nos documents de vaccinations seront scrutés à notre arrivée (en plus d’en avoir fourni une photo via l’application). Et évidemment, nous aurons aussi à faire un test pour le voyage retour. Telles sont les conditions aujourd’hui à notre connaissance.
Aujourd’hui encore, nous avons remplis les procédures pour l’embarquement auprès d’Air Canada, mais nous ne recevrons nos cartes d’embarquement qu’à l’aéroport. Évidemment, il s’agit pour la compagnie de s’assurer que toutes les modalités et exigences de voyage sont remplies avant de nous délivrer ces cartes. Il nous faut aussi anticiper l’arrivée à l’aéroport, car désormais il faut être au minium trois heures avant l’embarquement pour pouvoir passer à travers tous les contrôles et vérifications.
Moins problématique, l’hôtel que nous avions réservé pour notre séjour final à Montréal est finalement fermé en raison du contexte de la pandémie. Nous avons donc été relogé par leur soin au même tarif et aux mêmes conditions.
En résumé, voyager à fin 2021 nécessite d’anticiper, tout en reste souple et en s’adaptant, d’être prêt plus que jamais à gérer l’inconnu même dans le connu et de maîtriser les outils et les réseaux sociaux en continu. En d’autres termes, il faut être organisé tout en étant un adepte du lâcher prise. C’est un job à quasi plein temps.
Paradoxalement, nos valises n’ont jamais été prêtes aussi à l’avance. Quand je vous parlais de ce sens de l’anticipation pour voyager en cette fin 2021…
Dans nos bagages, devant la pénurie ou la difficulté de se procurer des auto-tests au Québec comme ailleurs, nous embarquons les nôtres ainsi qu’une belle provision de masques FFP2. L’heure est à la prévoyance.
Demain, nous nous rendrons à l’aéroport. Si rien de nouveau ne se produit durant la nuit.
Désormais en cette fin 2021, je m’efforce d’utiliser pleinement les possibilités du multitâche d’iPadOs 15 en utilisant une fenêtre flottante en plus de splitter mon écran.

Ainsi, l’idée de placer la fenêtre flottante de Drafts à gauche de l’écran est une très bonne idée pour prendre des notes à la volée en consultant mes fils rss avec Feedly ou un site via Safari ou en lisant un livre ou un document sur Notability, Kobo, Kindle ou Livre. Je me dois encore d’être plus systématique.

Avec iPadOS 15, les avancées du multitâche réduisent progressivement les écarts entre les iPad (Pro et Air 4) avec le MacBook Air et le potentiel de la puce M1 plus des nouveaux iPad Pro est là, mais reste « brimé » par le système d’exploitation.
Dans cette vidéo, Hugo présente bien la principale différence :
Comment choisir maintenant entre l’iPad Pro 12“9, un iPad Pro 11“ et un iPadAir 4 ?
Si vous devez passablement travailler en matière de retouche photo (Pixelmator Pro ou Affinity), de graphisme/illustration (Procreate) ou en contenu multimédia (LumaFusion), le choix se fera entre les deux iPad Pro. D’autant que suivant vos projets vidéos, vous serez obligé de disposez d’importantes capacités de stockage (512gb ou même 1T), car vous ne pourrez pas recourir à des fichiers stockés sur un support externe. Entre le 12″9 et le 11“, vous aurez à choisir entre le confort de l’écran et l’encombrement de l’iPad.
Pour une utilisation essentiellement bureautique, l’iPad Air 4 fera l’affaire, sauf si vous avez besoin d’une capacité de stockage supérieure à 256 gb. Mais vous pouvez également complétez votre capacité de stockage en achetant un petit disque dur externe SSD et jouer aussi avec le cloud (kDrive, Dropbox, GoogleDrive, …) sauf pour le montage vidéo (voir ci-dessus)
Dernièr question : modèle Wifi ou modèle Wifi + Cellulaire ?
Pour l’iPad Air, clairement je choisi le modèle Wifi. Pour la 4G, je me connecte à mon iPhone ou à un routeur wifi Pocket (ex. TP-Link M7350). Le routeur sera d’autant plus intéressant pour connecter plusieurs appareils.
Pour les iPad Pro M1 de 2021, le choix est moins évident. En effet, les modèles Wifi + Cellulaire sont maintenant compatibles avec la 5G. C’est un bon gage d’évolution de votre iPad pour ces prochaines années et aujourd’hui les routeurs de poche 5G sont rares et coutent chers (par exemple le modèle de chez Netgear le MR5200 à chf 750.- ou le modèle D-Link DWR-2101 à chf 433.- sur internet). Pour une comparaison entre ces deux modèles et une présentation des avantages de la 5G : https://www.nomai.fr/meilleur-routeur-5g-le-comparatif/.
De plus, pour en tirer parti, vous devrez prendre des abonnements données généralement plus chers comme chez Sunrise. Actuellement donc, j’attendrai avant d’acheter un routeur 5G externe et j’en resterai à un routeur 4G+. Concernant ces derniers, ils sont tout à fait suffisants pour les débits proposés dans l’abonnements de base 5G de Sunrise par exemple. D’autant que hors grandes localités, ce réseau est actuellement encore en 4G+. C’est ainsi encore le cas à Vevey, par exemple.
Mais surtout, la différence de prix entre le modèle Wifi ou Wifi + Cellulaire est moindre que l’achat d’un routeurs 5G et vous intégrerez directement votre carte SIM dans votre iPad Pro. Vous aurez tout dans un seul appareil et vous pourrez faire évoluer votre abonnement de données en fonction à la fois de vos besoins, du prix des abonnements et du développement du réseau 5G des opérateurs mobiles.
Acheter fin 2021 un iPad Pro 12“9 M1, ajouter un indispensable clavier additionnel (Smart ou Magic Keyboard ou Logitech) et son Apple Pencil pour un prix, voire un poids, supérieur à un MacBook Air M1 pour disposer d’un OS moins performant ne me paraît pas être le bon choix.
Entre l’iPad Pro 11“ et l’iPad Air 4, sauf si vous faites des montages vidéos conséquents et nécessitant beaucoup d’espace disque disponible sur son iPad, le meilleur choix réside dans l’iPad Air (256GB). Il fera le job. Comparativement à un MacBook Air, vous disposerez d’une machine moins encombrante et vous pourrez prendre des notes dans toutes circonstances avec le clavier ou l’Apple Pencil. Son port USB-C et un adapteur vous permettront de le brancher en HDMI le cas échéant sur un écran externe pour plus de confort suivant les tâches. C’est le meilleur rapport qualité-prix actuel.
Et vous pourrez l’utiliser longtemps encore quand je vois comment mon iPad Pro 12“9 de 2015 fait encore le job sous iPadOS15 en cette fin d’année 2021.
Comme beaucoup d’entre nous, l’apparition de la Covid-19 a eu des répercussion dans le travail de Michael Feeney. Le travail à la maison est devenu un des outils pour mettre fin à la pandémie (ou en limiter les effets).
(mac)OStalgia explore alors son workload quotidien typique sous un angle nostalgique. Il s’est posé la question suivante :
Comment aurais-je pu travailler avec les outils d’aujourd’hui avec les limitations du passé? Une connection internet instable, peu d’espace disque, Mac OS 9 et bien davantage…
Il s’est donc occupé en 2021 en imaginant à quoi ressemblerait les apps modernes à l’ère de Mac OS 9, l’ancêtre du macOS que l’on connaît toujours aujourd’hui qui a connu son heure de gloire au tournant des années 2000.
Spotify, Slack, Zoom ou encore Chrome ont été recréés avec le style et les limites de l’époque, pour un résultat surprenant et une petite dose de nostalgie que vous pouvez découvrir avec la vidéo ci-dessous.
Travaillant maintenant à Berlin, après Montréal, cet macOstalgie n’est peut être pas sans rapport avec l’Ostalgie de la période communiste dans l’ex-Allemagne de l’Est. Dans tous les cas, la même impression d’un retour vers le passé fonctionne en regardant sa vidéo.
Sur son site, vous disposerez des informations sur sa manière de procéder. Il vous propose même un kit pour reconstituer vos applications préférées de 2021 en l’an 2000. Et ainsi vous même construire votre propre macOStalgie.
Le projet de Michael Feeney : mas(OS)talgia
